| Après le Michigan et son aventure (sans oublier sa p***** de Mad Mouse fermée), au tour de l'Indiana et de sa plage, Indiana Beach en version originale. La particularité du parc est d'être construit directement sur une longue jeté s'avançant sur un lac. Pas beaucoup de place donc, ni beaucoup d'arbres d'ailleurs et des attractions un peu entassées dans tous les sens. Dans le lot, six crédits dont trois en bois signés CCI. Ceux-là, on va les garder pour après, on commence par ceux en acier. Tout d'abord, un Jet Star Schwarzkopf et un Galaxy Pinfari ou équivalent, sympas sans plus. Plus inédit ensuite, Steel Hawg, le premier El Loco S&S, avec descente à 110°, virage incliné vers l'extérieur et deux inversions en prime. C'est pas révolutionnaire niveau sensations mais tout de même assez foune et les éléments ont l'avantage d'être variés et originaux. Au tour des Wooden maintenant avec déjà Hoosier Hurricane, un gros Out & Back construit au-dessus de l'eau sur quasi toute la longueur du parc. Y a de belles bosses et l'airtime qui va avec, très peu de vibrations, bref de la bonne came. Ensuite, Lost Coaster of Superstition Mountain, un grand huit bien conceptuel, possédant sans doute le parcours le plus tordu jamais conçu pour une montagne russe et des trains avec wagons où l'on est assis face à face. Ca remue beaucoup tout en restant dans le domaine du supportable, bref, là encore, du bon crédit. On finit avec Cornball Express, LE premier gling aaah du trip. Il est ni gros ni très long mais le parcours est bourré d'airtimes et passe comme une lettre à la poste ! Pour le reste des attractions, pas grand-chose à signaler : un Double Shot S&S, un Dark Ride interactif Sally et beaucoup de vieux flat rides. Au final, même si le parc n'est pas franchement beau ni super agréable (de l'ombre par pitié), Indiana Beach nous a tout de même bien plu grâce à sa collection de crédits bien rigolos, avec en tête, l'excellent Cornball Express ! Demain, direction plein ouest et arrêt à Wisconsin Dells pour faire du Hades et deux ou trois autres bricoles... |