Veni Vidi Crédits 4
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Live |
Mai 2015
Nous revoici en Italie, pays des raviolis et du pepperoni, à la recherche de crédits dans quelques parcs pas trop pourris ! Bon, ça va là ? Vous n’aviez pas d’autre envie que cette orgie de rime en i ? Faut croire que non… Parce que les rimes en i, honnêtement, on s’en fiche un peu, tout comme les rimes-ini d’ailleurs, même si pour ces dernières, c’est assez raccord avec le sujet de ce Trip Report !
Donc l’Italie, c’est bien beau, mais pour faire quoi ? Profiter du beau temps déjà, même si ça ne nous a pas toujours bien réussi. Faire quelques parcs également, des qu’on connaissait déjà comme Gardaland, MovieLand ou Mirabilandia et d’autres qui étaient des premières genre CineCitta World, Ai Pioppi, ZooMarine ou Luna Park Idroscala.
Et puis l’Italie c’est aussi l’occasion de visiter de jolies villes ou de savourer la gastronomie locale arrosée (avec modération) de crus qui sentent bon le soleil ! En somme un trip à la cool, avec « seulement » sept parcs sur dix jours. On pourrait presque appeler ça des vacances…
Nous revoici en Italie, pays des raviolis et du pepperoni, à la recherche de crédits dans quelques parcs pas trop pourris ! Bon, ça va là ? Vous n’aviez pas d’autre envie que cette orgie de rime en i ? Faut croire que non… Parce que les rimes en i, honnêtement, on s’en fiche un peu, tout comme les rimes-ini d’ailleurs, même si pour ces dernières, c’est assez raccord avec le sujet de ce Trip Report !
Donc l’Italie, c’est bien beau, mais pour faire quoi ? Profiter du beau temps déjà, même si ça ne nous a pas toujours bien réussi. Faire quelques parcs également, des qu’on connaissait déjà comme Gardaland, MovieLand ou Mirabilandia et d’autres qui étaient des premières genre CineCitta World, Ai Pioppi, ZooMarine ou Luna Park Idroscala.
Et puis l’Italie c’est aussi l’occasion de visiter de jolies villes ou de savourer la gastronomie locale arrosée (avec modération) de crus qui sentent bon le soleil ! En somme un trip à la cool, avec « seulement » sept parcs sur dix jours. On pourrait presque appeler ça des vacances…
Livre 1 : Grisaille et retrouvailles
Chapitre 1 : Oblivion is the new Black (Hole)
Parc visité : Gardaland
Si on est de retour à Gardaland, c’est un peu comme la dernière fois : y a un nouveau crédit, c’est un B&M, il a une théma futuro-scientifico-apocalyptique dont Merlin a le secret (voire l’obsession) et nous fallait qu’on aille tester ça ! La différence cela dit par rapport à notre précédente visite, c’est la météo… Si d’habitude l’Italie est synonyme de soleil et de températures plus qu’agréables, tel ne fut pas le cas ce coup-ci durant notre passage au Lac de Garde. Nuages, pluie fine, thermomètre coincé sous les 15°, certes ce n’est pas cela qui allait nous arrêter mais j’avoue qu’on aurait préféré un temps un brin plus clément ! Enfin, bref, le crédit, Oblivion de son petit nom, Oblivion the Black Hole de son patronyme complet, oui parce que ça a beau être un Dive Coaster, ce n’est pas la même thématique qu’à Alton Towers ! A Alton, ce sont des scientifiques fous qui veulent vous envoyer dans un trou sans fond alors qu’à Gardaland ce sont des scientifiques fous qui veulent vous envoyer dans un trou… noir ! Ok, vous savez-quoi, les scientifiques fous, justement, on s’en fout et on va dire que la théma n’est pas le plus gros point fort de cette attraction, cela dit très bien intégrée dans le parc, avec les allées qui passent un peu partout autour, offrant autant de points de vue spectaculaires sur la bête ! Niveau file d’attente, celle d’Oblivion réutilise la tente de feu Inferis, un labyrinthe horrifique qui n’aura justement pas fait long feu puisqu’il n’a été ouvert que deux saisons. Adieu les spectres et autres fantômes malveillants, place à un ensemble d’écrans, de petites animations façon Fun House (tunnel tournoyant, plaque vibrantes, etc.) et à beaucoup d’adhésifs aux murs pour cacher la misère. Oui parce que dans l’ensemble, ça fait tout de même un brin cheapouille tout ça… Ah et puis n’oublions pas la bande sonore, dont la boucle doit durer 15 secondes à tout casser, l’idéal pour vous rendre complètement barges après 30 minutes d’attente ! Cela dit, on n’aura pas eu à subir ce calvaire vu que le parc était très peu rempli, faut tout de même qu’il y ait quelques avantages à se taper une météo toute pourrie ! Bon et après, le coaster en lui-même ? J’y arrive, j’y arrive. Vous ne voulez pas que je vous parle de la gare avant ? Ok, elle n’a absolument rien de spéciale et rappelle un peu celle de Smiler par son look très chirurgical et sa panoplie d’éclairages sensés nous mettre dans l’ambiance « on va vivre trop une expérience de gue-din » ! Donc le coaster… Que c’est un Dive Coaster B&M, je l’ai déjà dit… Ici ce sont des trains de 3 rangées de 6 places Floorless, comme sur Krake à Heide Park. Ensuite, le parcours, avec le lift pour commencer, haut d’une quarantaine de mètres. Au sommet on a quelques instants pour admirer la vue sur le Lac de Garde et ses environs avant de se retrouver face vers le sol à contempler la descente qui nous attend. Don’t look down… Ah zut, c’est pas le bon Oblivion ça… Non ben là juste la chute, avec un tunnel plein de brume en bas et quelques Head Chopper qui ne fonctionnent pas terrible, en tout cas bien moins qu’ils ne le paraissent depuis l’extérieur. A la sortie du tunnel, place à la première inversion du circuit avec un Immelmann qui débouche sur une bosse où l’airtime aurait pu être un chouilla prononcé… On enchaîne alors avec une spirale bien serrée mais un peu avare en G positifs. Celle-ci est suivie par une espèce de roulement très étiré offrant un bon moment de pendouillage dans le harnais avant que le train ne finisse sur les freins de fin de parcours. C’est tout ? Ben oui, c’est tout… Et puis c’est mou aussi… Peut-être avais-je encore un souvenir trop frais du génial Sheikra de Busch Gardens Tampa refait en novembre dernier, toujours est-il qu’il m’a un peu déçu cet Oblivion. C’est quand même très court, pas franchement original et comme déjà dit quelques lignes plus haut, pas intense pour un sou. Après, tout n’est pas à jeter sur cette machine, ça reste un B&M donc bien au-dessus de la moyenne des autres montagnes russes de Gardaland ! Disons juste que, dans le même parc, on lui préfère Raptor, plus fun, mieux thématisé et surtout dont on n’a pas l’impression de déjà connaître le parcours par cœur avant même d’être monté dessus ! Ok, Oblivion c’est fait… Que dire d’autre sur Gardaland que je n’aie pas déjà dit… Que si on excepte les deux B&M locaux les autres crédits du parc sont quand même sacrément nazes ? Non, ça je crois que je le rabâche à chaque trip report… Qu’un peu comme à Europa Park, si le parc est bon dans son ensemble, que les attractions prises une par une sont plutôt sympathiques, il manque toujours un manège phare qui vaudrait à lui seul la visite ? J’ai l’impression de pas mal le répéter ça aussi… Dans ce cas, ne nous attardons pas plus qu’il ne le faut ! Au final, on aura donc passé une bonne journée à Gardaland. Y a de quoi faire même s’il n’y a pas énormément de quoi refaire. Cela dit, le parc va dans le bon sens et nous est apparu meilleur que lors de nos précédente visite, et ce malgré un temps qui ne s’y prêtait vraiment pas ! L’ensemble est propre, bien tenu et je pense que l’ajout des deux coasters B&M ne doit pas non plus être étranger à cette perception. On se revoit donc en 2019 pour le crédit suivant ? |
Chapitre 2 : Diabolik Movie Studios
Parc visité : Movieland Studios
Après Gardaland, on passe au voisin Movieland Studios, le parc le plus barge de la planète. Non, non, je vous assure, on a beau chercher, avoir été testé quelques parcs bien bizarres en Chine ou dans je ne sais plus quel coin perdu, on n’a pas encore trouvé plus dingue que Movieland Studios ! Ce parc, c’est un peu une espèce d’Universal sous exta, avec beaucoup de bricolage à gauche à droite et surtout une bonne grosse dose d’improbable, de non-mais-attend-c’est-quoi-ce-truc, bref un parc comme on aime les visiter, simplement parce que ce que vous trouverez à Movieland Studios, en plus d’être particulièrement foune, vous ne le trouverez nulle part ailleurs ! Dans le genre il y a par exemple Magma, le Tram Tour de l’extrême, que l’on fait à bord de gros 4x4 conduits par des chauffeurs particulièrement allumés sur un route bien escarpée. Une cassure un peu violente ? Pas grave, on fonce dessus et bonjour le mega airtime, y compris pour la gamine juste devant nous qui a dû avoir la peur de sa vie. Oui parce que bien entendu, il n’y a aucune ceinture de sécurité, on n’est pas aux Etats Unis ! Et puis après vas-y que je te balance la flotte, et puis les flammes, et puis re la flotte. Bref, c’est juste le grand n’importe quoi ! Cela dit, il y a pire, comme U-571… Ici, le concept est assez simple : vous êtes dans un sous-marin pris en pleine bataille navale. Le problème c’est que l’engin ne semble pas être particulièrement étanche... Limite au bout d’un moment, on en vient à se demander si on ne serait pas plus au sec directement dans l’eau ! Et puis accessoirement, en même temps qu’on essaie d’éviter les litres de flotte qui se déversent sur nous, faut aussi de se cramponner parce que c’est que ça secoue tout ça (et il n’y a toujours pas la moindre ceinture) ! Vous l’aurez compris, là encore, c’est pas le genre de truc qu’on verrait dans le premier parc d’attractions venu !! J’en arrive maintenant à la troisième attraction qui mérite de figurer dans le top 3 des machines de fous de Movieland et donc des machines de fous tous parcs confondus ! Pour le coup, celle-ci est nouvelle pour nous. Ça s’appelle Kitt SuperJet (en référence à K2000, youhou !) et le concept est une course de hors bord au milieu du décor du Stunt Show du parc, ou comment réutiliser des infrastructures existantes et occuper les pilotes des bolides du spectacle lorsque celui-ci ne joue pas. Au final, c’est simplement excellent, bien rythmé, totalement fou (encore !), en particulier quand le pilote s’amuse à raser à toute blinde les décors ou à faire faire au hors bord des 360° sur lui-même. Ajouter à cela des effets spéciaux synchro avec la ballade, une bonne grosse dose de flotte dans la gueule et vous obtiendrez la meilleure attraction du parc, et sans doute une des plus founes d’Italie ! Sinon, toujours au rayon nouveautés, il y a également celle de 2015, Diabolik Invertigo. Yeeeees, un nouveau crédit, et surtout le dernier Invertigo Vekoma qui nous manquait encore au compteur. Après, la machine est sympa, bien plus agréable que n’importe lequel de ces Boomerang de merde, mais bon, à Movieland, elle n’apporte pas grand-chose, sans doute du fait qu’il lui manque le grain de folie des autres attractions du parc… Oui parce qu’ensuite, reste encore quelques chouettes bébêtes : la trèèèèèèèèès longue Horror House ou la Free Fall Intamin première génération, qui vaut bien plus pour son côté bringuebalant, les bruits louches que fait la nacelle lorsqu’elle se déplace et, mine de rien, la très bonne sensation de chute qu’elle offre, que pour sa thématisation « librement inspirée » de celle de Tour de la Terreur Disney ! Après, on n’échappe tout de même pas à quelques déceptions comme l’espèce de Top Spin particulièrement apathique thématisé sur Tomb Raider ou le ciné interactif Terminator que personnellement je préférais avant qu’ils n’y collent des pistolets. Voilà donc pour Movieland Studios… Je vous passe le reste des attractions assez standards type Flume, Jet Star Schwarzkopf ou monorail lourdingue en mode Retour vers le Futur. Je vous passe aussi le parc aquatique qu’on aurait bien visité mais qui sera malheureusement resté fermé pour cause de météo trop mauvaise (et sans doute d’affluence nulle s’ils l’avaient ouvert). Je vous passe tout cela donc et j’en arrive à la conclusion sur Movieland, très positive je dois bien dire. Malgré le temps totalement pourri, on a bien profité de la visite : merci aux attractions originales, parfois très humides, souvent complètement barrées, ça change des autres parcs et c’est sans doute là le plus gros point fort de celui-ci ! |
Chapitre 3 : Mirabi-loose-ia
Parc visité : Mirabilandia
Mirabilandia… sous la flotte… avec DiVertical, le crédit qu’on était venu glinger, fermé… Comment vous dire… Ça ne se présentait pas sous les meilleurs auspices ! Mais allez, on n’allait pas non plus cracher sur quelques tours de Katun et d’iSpeed !! Oui parce qu’ils peuvent aller se rhabiller les deux B&M de Gardaland, Mirabilandia c’est encore et toujours là que se trouvent les meilleurs crédits d’Italie ! Néanmoins, à côté de ça, je dois bien dire qu’on a trouvé que le parc avait pris un coup de vieux. Vous allez me dire que la météo n’a pas du aider mais on a eu la même à Gardaland sans que cela nous laisse cette impression... Non, à Mirabilandia, tout semblait triste, décoloré, passé… Il faut avouer aussi que les derniers investissements n’ont pas aidé à embellir le parc. Que ce soit pour le crédit Master Thai, pour iSpeed, DiVertical ou la toute nouvelle zone dinoland, on oscille toujours entre le limite passable et l’immonde, mention spéciale au Water Coaster Intamin. Non mais comment ont-ils pu construire une horreur pareille ??? Ok, parait qu’ils vont réinjecter du cash pour reprendre la déco. En attendant, ça pique bien les yeux ce truc !! Donc voilà, pas grand-chose à vous raconter sur Mirabilandia… D’habitude c’est une des meilleures visites parcs d’un trip en Italie, là je crois que ça aura été la plus décevante et je ne pense au final pas que la fermeture de DiVertical y ait été pour grand-chose. On espère donc qu’ils vont se rattraper d’ici à notre prochain passage, peut être vers 2017-2018 vu que le parc a d’ors et déjà annoncé qu’il y aurait une grosse nouveauté à cette période… |
Livre 2 : Villes à voir
Chapitre 4 : On se gondole à Venise
Parc visité : -
Après cette première fournée de parcs, on enchaîne avec un Livre entièrement dédié aux visites culturelles. En somme si vous voulez voir des parcs et des crédits, pour pouvez tout de suite passer au chapitre 9, avant cela, inutile d’espérer en trouver ! Cela dit, il serait fort dommage de zapper les visites qui vont suivre… En matière de sites touristiques, l’Italie est en effet particulièrement bien fournie, et le moindre petit village regorge de charme et de choses à voir ! Pour commencer, Venise. Ok, ce n’est pas très nouveau, on était déjà passé dans la cité des doges il y a quatre ans mais peu importe, Venise est une ville magnifique, à l’ambiance unique, notamment le soir lorsque la majorité des touristes ont plié bagage. Comme pour les autres chapitres qui vont suivre, je ne vais pas vous faire un roman dans cette partie écrite, les photos sont bien plus parlantes et j’espère qu’elles vous donneront envie d’aller découvrir ce bijou qu’est Venise ! |
Chapitre 5 : Péripéties à Pérouse
Parc visité : -
Après Venise, on passe à une autre ville italienne un peu moins connue, Pérouse. Enfin, ce n’est pas parce qu’elle n’a pas sas Mostra, sa couleur de cheveux dédiée voire son jeux de plateau (Intrigue à Venise, j’adorais quand j’étais gamin) que Pérouse ne vaut pas la visite ! Pour vous replacer la ville dans son contexte, Pérouse est la capitale de l’Ombrie, une région montagneuse située entre la Toscane et Rome. Comme souvent en Italie, la ville a été construite au sommet d’une colline, histoire de bien pouvoir surveiller les envahisseurs en approche, qui n’ont bien entendu pas manqué au fil des siècles ! Niveau curiosité touristique, rien de très célèbre mais avec son dédale de rues sinueuses, ses jolies places bordées de palais et ses nombreux cafés avec terrasses, Pérouse a tout ce qu’il faut pour plaire et s’est avérée être une étape très agréable sur la route entre Mirabilandia et Rome ! Vous ne me croyez pas ? Et bien j’ai quelques photos pour le prouver !! |
Chapitre 6 : Journée Rome-Antique
Parc visité : -
Rome l’éternelle, la capitale du monde, ce ne sont pas les qualificatifs élogieux qui manquent pour décrire celle qui fut pendant pas loin de cinq siècles le centre de la vie occidentale. Et puis même après la chute de l’Empire, Rome a continué à rayonner dans le monde entier et il n’est sans doute aujourd’hui aucune autre ville qui puisse se targuer d’avoir un patrimoine historique aussi riche ! Entre le Colisée et le Forum, le Vatican, les sites moyenâgeux ou les innombrables monuments baroques, la ville est un véritable musée à ciel ouvert que l’on ne se lasse pas de parcourir ! Cela dit, ville musée ne veut pas dire ville morte ! Rome est une ville très animée, notamment le soir, lorsque les italiens se retrouvent sur les innombrables terrasses qui bordent les cafés du centre ville. Bref, Rome est vraiment une ville à découvrir et c’est ce que je vous propose de faire partiellement via les photos que voici ! |
Chapitre 7 : Flânerie à Florence
Parc visité : -
Après Rome, on remet le cap au nord direction la Toscane, région mythique d’Italie ou villes millénaires côtoient campagnes agricoles couvertes de vignes et d’oliveraies. Autant dire qu’il y en a pour le plaisir des yeux et du palais ! Ça tombe bien, lorsqu’on n’est pas à courir les crédits, c’est pile le genre de choses qui nous bottent, et pas seulement lorsque l’on visite la botte italienne ! Parmi toutes les villes de Toscane, la plus courue est incontestablement Florence. Berceau de la Renaissance italienne, patrie de Michel-Ange, cité d’élection des Médicis, voilà un endroit où vous êtes certains de trouver beaaaaaucoup de choses à voir, que ce soit du palais, de l’église/cathédrale ou n’importe quelle autre forme de construction, regorgeant généralement à l’intérieur de quelques chefs d’œuvre artistiques que vous avez du apercevoir un jour ou l’autre dans les livres d’Histoire. Donc voilà, ça c’est pour Florence. Comme d’habitude, la visite se continue en photos, c’est généralement plus parlant ! |
Chapitre 8 : Sienne est notre !
Parc visité : -
Un peu cachée dans l’ombre de Florence, voici Sienne. Il parait qu’entre les deux villes longtemps rivales, on se doit de faire un choix : Florence capitale de la Renaissance ou Sienne, ville moyenâgeuse qui a connue son heure de gloire durant la période gothique… Perso, j’aurais tendance à voter Sienne. La situation de la ville au sommet d’une colline façon nid d’aigle, les artères étroites bordées de hautes bâtisses aux murs de briques, Les places qui surgissent au détour d’une ruelle, je sais pas, je trouve que ça a plus de charmes… Bah, le mieux, c’est de visiter les deux, Florence ET Sienne, les deux villes se complétant du coup très bien du fait de leurs différences ! Bon et sinon concrètement, y a quoi à voir à Sienne ? Allez jeter un coup d’œil aux photos, c’est par là que ça se passe !! |
Livre 3 : Nouveaux créd’italiens
Chapitre 9 : Crédits faits maison
Parc visité : Ai Pioppi
Allez, ça suffit les palais, les églises et autres jolies bâtisses, revenons à nos bons vieux crédits et, vu que c’est le thème de ce livre, à ceux que nous n’avions pas encore au compteur ! On commence la série des +1 avec Ai Pioppi. Ce parc m’était encore totalement inconnu il y a moins d’un an, cela jusqu’à ce que je reçoive un mail de ce cher Vincecoaster m’invitant à regarder un reportage sur un papy italien fan de mécanique qui s’amusait à construire des attractions à côté de son Osteria. A Ai Pioppi, pas de constructeur connu donc, c’est uniquement du fait maison, avec pour seule source d’énergie l’effort fait par les visiteurs ! Il faut ainsi courir, pousser ou se balancer si l’on veut activer les différents manèges. Côté crédits, c’est du +4 au programme avec trois « montagnes russes » différentes dont une qui possède deux voies. Je mets montagnes russes entre guillemets car ici on est plus proche du Butterfly Heege amélioré (tous les circuits sont d’ailleurs ouverts) que du coaster avec circuit fermé, lift et tout le tintouin. Cela dit, un crédit reste un crédit et ceux d’Ai Pioppi en ont mine de rien sous le capot ! Crédit n°1 : celui avec la bosse Ah oui, j’ai oublié de préciser : pas de nom pour les attractions à Ai Pioppi. Faudra donc se contenter de dénomination telle que « le truc louche qui met la tête en bas », « le machin étrange où il faut pédaler », etc. Donc ici c’est le crédit avec la bosse, simplement parce qu’il en a une et pas les autres ! Le principe n’est pas trop compliqué : on remonte son wagonnet monoplace au sommet de la côte en le poussant vers l’arrière à la seule force des bras, on s’installe, on abaisse son harnais, on lâche le frein et c’est parti ! Descente, bosse, remontée quasi verticale et on repart en arrière. On oscille en avant, en arrière, ralentissant petit à petit jusqu’à s’arrêter totalement. Au final c’est assez rigolo et plutôt confortable malgré l’absence totale de rembourrage et un harnais qui fait avant tout penser à un instrument de torture tout droit sorti du film Saw ! Crédits n°2 et 3 : celui avec les 2 voies parallèles Sur celui-ci on retrouve le principe du crédit n°1 avec ce coup-ci des nacelles 2 places et 2 voies en parallèle. Egalement, pas de bosse mais un petit virage qui passe nickel ! Crédit n°4 : le gros balèze avec le moteur On finit par le plus intimidant des crédits d’Ai Pioppi. Là on est clairement un cran au-dessus des autres, déjà parce qu’il y a un moteur, ensuite parce que mine de rien ce truc doit bien monter à une trentaine de mètres au-dessus du sol. Et quand on se dit que tout cela est fait maison, avec sans doute une connaissance toute relative de la norme EN 13814 qui sert normalement à dimensionner les attractions, je peux vous garantir qu’on hésite un peu à monter dessus ! Et ce n’est pas l’aspect horriblement bricolé du véhicule (mention spéciale aux appui-têtes récupérés sur des voitures) ou des harnais qui allait nous rassurer ! Mais allez, c’est parti, en douceur d’abord avec une lente et longue ascension le long d’une des deux rampes du parcours. On monte, on monte, on dépasse la cime des arbres et tout à coup, clac, ça lâche et le wagon se précipite alors vers le sol, de plus en plus vite, traversant la gare avant de remonter sur une flèche verticale. Au sommet, sensation d’apesanteur pour tout le monde puis retour vers le plancher des vaches, quelques oscillations d’avant en arrière et c’est fini. Eh beh, pour du fait maison, on peut dire que ça décoiffe ! Voilà donc pour les crédits. Dans l’ensemble ils sont vraiment sympas, pas extrêmes mais bien marrant avec leur côté totalement bricolé qui ajoute pas mal à l’appréhension. En attendant de voir ce que donnera le suivant, déjà en construction en bordure du parc et qui sera équipé d’une catapulte à contrepoids, comme l’étaient les tous premiers Shuttle Loop Schwarzkopf ! Et sinon, quoi d’autre comme attractions ? Déjà pas mal de balançoires, tourniquets, trampolines et toboggans dont certains sont particulièrement gigantesques. Ensuite il y a aussi des vélos qui permettent de faire des loopings ou encore une espèce de roue infernale dans laquelle il faut courir à deux histoire de lui faire faire des 360, une aventure tout autant physique que flippante ! Au final, bilan positif pour Ai Pioppi. Ce parc, c’est une peu une grosse aire de jeux qui aurait aussi bien été conçue pour les enfants que pour les adultes. Pour les chères têtes blondes il y a les toboggans, les trampolines et les tourniquets, pour les plus grands, il y a les vélos renverseurs, la roue de la mort ou les différents crédits. Et puis si vous avez aussi envie de faire une petite glissade, personne ne vous l’interdit ! Ai Pioppi est donc un parc à voir. Il ne ressemble à aucun autre, propose des activités bien marrantes, parfaites pour se défouler le temps d’une après-midi. Non le seul regret, c’est que pour un site qui est avant tout une Osteria, ils auraient tout de même pu faire un effort sur la bouffe, parce que là, c’est vraiment pas bon ! |
Chapitre 10 : Seuls au (CineCitta) monde…
Parc visité : CineCitta World
On passe maintenant à la pièce de résistance, CineCitta World. Certes ce n’était pas le parc où nous attendaient le plus de crédits (il y en avait 4 à Ai Pioppi contre 3 ici) mais c’était néanmoins le site le plus prometteur, avec quelques grosses attractions et une thématique cinématographique qui fonctionne généralement assez bien, confère les Universal Studios, Movieland et consorts. CineCitta World se trouve au sud de Rome, à une grosse demi-heure de route du centre de la capitale italienne. Le parc n’est pas construit dans les vrais studios de CineCitta (qui se trouvent à l’est de la ville) mais sur le site de ceux de Dino de Laurentiis, un producteur italien a qui l’ont doit notamment la saga des films centrés sur le personnage d’Hannibal Lecter. Le développement de CineCitta World a été particulièrement long et laborieux. Initialement prévu pour ouvrir en 2011, le parc le sera finalement avec trois ans de retard, en juillet 2014, ce qui n’est jamais bon signe pour un projet de ce genre… Toujours est-il que nous y voilà, il est 10 heures du matin, le soleil est au rendez-vous… mais pas les clients apparemment. Avec seulement trois voitures en plus de la nôtre sur le parking, ça ne va pas être une grosse journée pour le parc ! L’impression se confirme d’ailleurs très rapidement : personne aux caisses, à peine une dizaine de visiteurs devant le petit show d’ouverture du parc et pas un seul supplémentaire qui ne passe les grilles sur toute la durée du spectacle. Honnêtement, ça faisait un bail que je n’avais pas vu un parc aussi vide ! Au plus fort de la journée, on était peut-être 50 visiteurs dans le parc. Pas très bon pour les finances tout ça, surtout qu’il parait que les jours semblables ne sont pas rares à CineCitta World. Cela dit, tout fonctionnait et on va donc pouvoir passer en revue les différentes attractions locales, à commencer comme il se doit par les crédits ! Altair CCW-0204 On démarre par le gros coaster de CineCitta World, un 10 Looping Coaster signé Intamin dont la gare est abritée dans une espèce de grand vaisseau spatial. Comme la plupart des décors du parc, celui-ci rend assez bien de loin mais une fois qu’on s’approche, on remarque très vite que tout n’est que résine de piètre qualité, qu’il manque des accessoires, de la musique, bref que tout fait très faux et surtout très vide ! Concernant le coaster, pas de grande surprise, le circuit est à peu de choses près le même que celui du Colossus de Thorpe Park. La bonne nouvelle en revanche c’est que le train est équipé de lapbar et non de harnais, ce qui lui permet de passer sans encombre (et sans bobo pour nous) les différents éléments du parcours. Après, même sans harnais, la séquence des 4 Heartline Rolls consécutifs n’est franchement pas agréable : un ça va, deux pourquoi pas mais quatre, c’est vraiment trop ! Au final on fera le grand huit une fois devant, une fois derrière et basta ! Darkmare On reste chez Intamin avec cette fois-ci un Indoor Coaster sur le thème de l’Enfer de Dante. Enfin, ça je l’ai compris en préparant ce Trip Report, non parce qu’il n’y a absolument aucune storyline, ni dans la file, ni dans la gare, seulement cet ensembles de projections sur le parcours, qui rendent plutôt bien, je vous l’accorde, mais dont on aimerait comprendre ce qu’elles viennent faire là ! Sinon niveau circuit et sensations, c’est franchement pas mal, avec de la vitesse, beaucoup de changements de direction et, cerise sur le gâteau, un rail free fall à mi-parcours. Au final, Darkmare n’est peut-être pas aussi gros et intense que son voisin Altair mais il a l’avantage d’être bien plus agréable à faire et à refaire, ce dont on ne s’est bien entendu pas privé vu l’affluence totalement nulle qu’il y avait ! Aktium Dernier de trois crédits de CineCitta World avec ce SuperSplash Mack pourvu de deux descentes. Là encore, ne me demandez pas quelle est l’histoire, je n’en sais rien et je n’ai absolument aucune idée de ce que vient faire une attraction aquatique au milieu de ce qui rappelle assez fortement les ruines d’un Colisée ! A défaut de comprendre ce qu’on essaie de nous raconter, on se contentera de l’attraction, pas mauvaise mais pas passionnante non plus. Il faut dire qu’hormis les deux descentes, il ne se passe absolument rien : pas d’effets aquatiques, aucune animation, autant dire que niveau ambiance, c’était le néant, et ce n’est pas le fait de n’être à chaque fois que deux dans le bateau qui aura arrangé les choses ! On enchaine donc avec le reste, genre les attractions à sensations. A CineCitta World il n’y en a qu’une seule mais elle est néanmoins très chouette vu qu’il s’agit d’un tour de chute libre Intamin avec différents types de nacelles et dont la base est abrité dans un éléphant géant. Un éléphant géant ? Mais qu’est-ce que ça vient foutre là ça ? Comme je suis sympa, je suis allé fouiller un peu sur le site du parc et voilà ce qu’il en ressort : en fait, l’éléphant aspire l’eau dans les entrailles de la terre et la transforme en nuages afin de cacher la porte du temple qui se trouve sur son dos et dans lequel se trouvent des saphirs bleus découverts par le docteur Lewis. Non non, je vous jure ce n’est pas une blague, c’est vraiment la storyline de l’attraction ! D’accord, d’accord… Et ils espèrent sincèrement que quelqu’un va la comprendre ?? Allez, enchainons, avec Aquila IV par exemple, une visite de sousmarins dont on aimerait bien qu’elle débouche sur quelque chose mais non, on ne fait que traverser une succession de salles où il ne se passe rien si ce n’est quelques effets bien risibles. Un préshow sans attraction derrière en quelque sorte… Après cela, reste encore la grande zone enfants, avec sa bonne dizaine d’attractions Zamperla parmi lesquelles un très gros Splash Battle qu’on n’aura pas testé vu qu’il n’y avait absolument personne d’autre pour batailler avec nous. C’est ballot ça… Autre attraction qu’on ne testera pas, le Cine Tram. Il s’agit d’un Tunnel Immersif de chez Simworx, qui était prévu pour ouvrir avec le parc l’an dernier mais qui ne semble toujours pas vouloir fonctionner depuis ! Et donc voilà, le tour de CineCitta World est fait, reste plus qu’à conclure ! Commençons par le positif… Quelques bons manèges déjà, ce qui inclut les 3 crédits (avec une réserve sur le Looper tout de même) et la Free Fall. Un parc super propre ensuite, avec des employés très sympathiques qui n’ont pas trop la pression du débit et peuvent donc se permettre de quelque peu discuter avec vous. Saluons également le fait que tout fonctionnait alors qu’il n’y avait absolument personne dans le parc. J’en connais certains autres qui ne se seraient pas privés de fermer une ou deux attractions histoire de faire des économies sur le personnel ! A côté de cela, le parc n’est pas exempt de défauts. Le plus notoire est la thématique… Non parce qu’un parc sur le cinéma c’est bien mais pour moi, cela impose d’impliquer ses visiteurs dans des histoires afin qu’ils se sentent un minimum au cœur de l’action. Le problème c’est que lorsque ces histoires sont incompréhensibles ou font références à des films que personne n’a vu, c’est con mais il y a très peu de chance que cela fonctionne ! Ajouter que les décors, bien qu’impressionnants, sont souvent très monolithiques et font finalement très lisses et creux par manque d’accessoires et de détails. Au final, il n’y a donc aucune immersion et même quand on est pas loin d’y être comme dans la rue western, paf, voilà-t-y pas qu’il y a l’énorme vaisseau spatial du coaster Intamin en plein dans le champ de vision pour tout fiche en l’air ! Autre défaut selon moi, l’organisation très étrange de CineCitta World avec cette gigantesque place au milieu, ces attractions très isolées, sans lien les unes avec les autres, un manque d’espaces verts et d’endroit où se poser ou encore cette zone enfants totalement à part, qu’on rejoint par un long chemin qui donne presque l’impression de sortir du parc. On aurait aimé que tout soit un peu plus connecté, que la zone avec la Free Fall et sa végétation luxuriante ne se limite par exemple pas à cette seule attraction mais en intègre une autre, voire un petit snack avec une terrasse dans le même style. Idem avec le SuperSplash romain et le resto qui se trouve juste à côté : ils partagent la même thématique mais semblent déconnectés l’un de l’autre. Au final, CineCitta World n’est pas un mauvais parc mais il est aussi loin d’en être un bon. Disons que si on a passé un bon moment là bas, pas sûr qu’on y reviendra de si tôt ! Ça me rappelle d’ailleurs un peu l’autre parc local, Rainbow MagicLand, lui aussi pas dépourvu de bonnes attractions mais où le charme n’opère tout simplement pas ! |
Chapitre 11 : C’est nous les gars de ZooMarine
Parc visité : ZooMarine
On continue dans le parc romain avec ZooMarine, situé à seulement un petit quart d’heure de route de CineCita World et pouvant parfaitement se combiner avec se dernier sur une journée si vous voulez ajouter deux crédits supplémentaires à votre compteur ! Comme son nom l’indique, on a à faire là à un ersatz de Sea World, avec tout ce qu’il faut de spectacles de cabrioles d’animaux marins en tout genre, autant dire du pain béni pour nous pour qui les poissons et compagnie ne rendent jamais mieux que une assiette, sous forme de sushis ! Cela dit, tant qu’à être là, on a tout de même laissé sa chance au show de dauphins. Donc Flipper passe dans le cerceau, Flipper tape dans la balle, c’est génial, on en redemande… ou pas ! Du coup les crédits… A l’image du reste du parc, ils sentent bons les années 80 puisqu’il s’agit d’une magnifique Pomme et d’un bon vieux Looping Star Schwarzkopf, limite plus sympa que l’infernal Looper Intamin du voisin CineCitta World. Pour le reste des attractions, pas grand-chose de bien intéressant : pas mal de water rides (Flume, Splash Battle et toboggan en canots), ce qui peut se comprendre vu la localisation du parc à proximité de la mer, un peu de manèges pour mioches aux couleurs criardes, quelques aires de jeux et un micro parc aquatique. Ah et puis n’oublions pas le parcours à pied en mode Jurassic Park, pas aussi cheap qu’on aurait pu se l’imaginer mais pas non plus grandiose pour autant ! Voilà donc pour Zoomarine. C’était court mais en même temps le parc ne mérite pas qu’on en fasse un roman, pas que ce soit nul à 100%, juste que les parcs animaliers, ce n’est pas notre came à quelques exceptions près, exceptions dont Zoomarine ne fait pas partie ! |
Chapitre 12 : Derniers crédits et arrivederci !
Parc visité : Luna Park Idroscala
Le meilleur pour la fin ? Ou pas… Non là franchement, je ne sais pas ce qu’il nous a pris… Enfin si je sais, l’attrait de trois super crédits totalement dingos, du genre italien bien douloureux, qu’on ne pouvait pas laisser passer avant de reprendre l’avion pour rentrer à la maison… Enfin, bref, on est donc à Luna Park Idroscala, dans la banlieue de Milan, dans un parc coincé entre les voies de chemin de fer, l’autoroute et l’aéroport. Autant dire qu’en termes d’emplacement, on a déjà vu plus glamour… Si on est là, c’est donc pour les crédits, qui contrairement à ce qu’annonçait rcdb n’étaient pas trois mais seulement deux, zut alors ! Pour ne rien gâcher, c’est le potentiellement plus intéressant des trois qui manquait à l’appel. Intéressant, intéressant… on parle d’un coaster Pinfari ! Ben vous n’avez pas vu les deux autres, à savoir un Pomme et une espèce de Wild Mouse totalement foireuse, sans doute un des plus douloureux crédits que j’ai fait depuis notre voyage en Chine ! A côté de cela, Luna Park oblige, c’est du forain, du forain et encore du forain, de préférence bariolé à outrance, vraiment le truc qui vous pique les yeux tellement les couleurs sont flashy et les faux Mickey, Reine des Neiges et consort mal reproduits ! Non mais allez voir les photos, les mots ne suffisent pas à décrire une telle débauche de mauvais goût !! Quoi d’autre à ajouter… Ben rien, je crois que Luna Park Idroscala ne mérite guère plus que les quelques lignes que je viens de lui accorder. Si jamais vous passez par Milan Linate, allez y faire un tour, ça prend 30 minutes et il y a un +2 qui vous attend. Sinon, passez votre chemin, vous ne manquerez absolument rien, pire vous éviterez à vos yeux une agression particulièrement violente ! Quant à une conclusion globale sur le trip ? Plus ça va, plus je me dis que l’Italie vaut bien plus pour ces curiosités touristiques, ses villes magnifiques, sa campagne envoûtante que pour ses parcs. Pour le coup on n’a pas eu trop de chance avec les gros porteurs que sont Mirabilandia, Gardaland et, dans une moindre mesure, Movieland, qu’on a visité avec une météo particulièrement peu propice. Pour les autres, certes il a fait beau mais là c’était le contenu qui pêchait… |