Mai 2007
Revis notre aventure en live !
Si vous demandez à un alcoolique ce que lui évoque l’Italie, il vous répondra : Rome. Si vous posez la même question à une personne née en 1007, elle vous dira : Milan ! Et si vous évoquez l’idée à un parkfan, il vous hurlera dessus : KATUN et enchaînera directement sur une tirade sans fin, vantant les mérites de cette belle drop ou de ce Zero G Roll fantastique. En même temps, c’est vrai qu’il est terrible ce grand huit…
C’est donc pour faire Katun et quelques autres attractions bien réjouissantes que nous avons décidé d’aller faire un petit tour en Italie, avec un peu de chance il fera beau et on mangera sûrement mieux qu’en Hollande ! Au programme, quatre parcs, Mirabilandia bien entendu mais aussi Movieland Studios qu’on n’avait pas encore visité, Gardaland parce qu’on ne pensait pas que ça allait être si pourri et Fantasy World Minitalia pour faire +2…
Pour un trip il faut aussi des participants… Au forfait de base Tchitchi + Tschutschu nous avons ajouté l’option Balooscope, les jeux de mots Matthieu et un rital d’adoption, Vincenzo Ottovolante, plus connu sous nos latitude par le pseudonyme Vincecoaster. Le tout a été entassé avec style dans la Scherziemobile qui a passé les Alpes pour l’occasion.
Ok, je crois qu’on a tout, le planning, la dream team et le stock de vannes donc allons-y, c’est parti pour trois chapitres de comptes rendus. Bonne lecture !
Revis notre aventure en live !
Si vous demandez à un alcoolique ce que lui évoque l’Italie, il vous répondra : Rome. Si vous posez la même question à une personne née en 1007, elle vous dira : Milan ! Et si vous évoquez l’idée à un parkfan, il vous hurlera dessus : KATUN et enchaînera directement sur une tirade sans fin, vantant les mérites de cette belle drop ou de ce Zero G Roll fantastique. En même temps, c’est vrai qu’il est terrible ce grand huit…
C’est donc pour faire Katun et quelques autres attractions bien réjouissantes que nous avons décidé d’aller faire un petit tour en Italie, avec un peu de chance il fera beau et on mangera sûrement mieux qu’en Hollande ! Au programme, quatre parcs, Mirabilandia bien entendu mais aussi Movieland Studios qu’on n’avait pas encore visité, Gardaland parce qu’on ne pensait pas que ça allait être si pourri et Fantasy World Minitalia pour faire +2…
Pour un trip il faut aussi des participants… Au forfait de base Tchitchi + Tschutschu nous avons ajouté l’option Balooscope, les jeux de mots Matthieu et un rital d’adoption, Vincenzo Ottovolante, plus connu sous nos latitude par le pseudonyme Vincecoaster. Le tout a été entassé avec style dans la Scherziemobile qui a passé les Alpes pour l’occasion.
Ok, je crois qu’on a tout, le planning, la dream team et le stock de vannes donc allons-y, c’est parti pour trois chapitres de comptes rendus. Bonne lecture !
Chapitre 1 : Croft alors, Lara n’est pas encore là !
Parc visité : Movieland Studios
Premier jour, premier parc et premier crédit… Ah ben non, pas de crédit à Movieland Studios… Enfin si, y en a un, mais les grands n’ont pas le droit de monter dessus. C’est nul, pathétique, totalement révoltant mais franchement, vous savez quoi ? Ben ça n’a pas du tout gâché notre visite. Encore qu’il n’y ait pas Katun à Mirabilandia je pourrais trouver ça dommage (correction, je me tirerais une balle), qu’il n’y ait pas Blue Tornado à Gardaland, je…euuuuh… m’en foutrais royalement. Ben voilà, pour Movieland c’est pareil, ne pas pouvoir monter sur le micro crédit du parc n’a même pas réussi à m’arracher une larme… Quel cœur de pierre suis-je devenu ?? Bref, on ne va pas épiloguer trois plombes sur le sujet… On pourrait bien sûr, ça nous permettrait par un jeu de transitions des plus surprenantes d’évoquer la notion de désordre telle que la définissait Nietzsche ou parler de la reproduction de ces hermaphrodites de castors lapons. Mais non, contentons-nous de passer en revue les attractions du parc. Enfin avant une petite intro... C’est non loin de la belle Vérone que se place notre scène, Movieland Studios étant situé à quelques kilomètre de la cité au balcon le plus célèbre du monde, au bord du lac de Garde, juste à côté de Gardaland, parc le plus visité d’Italie et on se demande bien pourquoi. Niveau style, le parc rappelle plus un Universal Studios qu’un Warner Bros Movie World (je ne citerais pas la bouse parisienne), à savoir que Movieland ne comporte pas beaucoup de manèges mais plutôt des shows et des attractions à effets spéciaux, d’ailleurs souvent pas mal inspirées de celles d’Universal. A présent, si vous daignez nous écouter patiemment, notre zèle s’efforcera de corriger notre insuffisance. Autrement dit, c’est parti mon kiki ! Attraction n°1 : Hollywood Tower. Le concept : un Free Fall Intamin première génération dont le fonctionnement évoque celui d’une usine à gaz qui ferait même passer mon Scherzie préféré pour un amateur. Donc en gros vous monter par quatre dans une petite cabine, ça recule, ça s’accroche à un lift vertical, ça monte dans un bruit très bizarre de boulons mal serrés, ça ravance, ça branle, ça fait tininini tininini et ça tombe. Très bonne sensation de chute, un max de G lorsque la nacelle passe à l’horizontale et un freinage un brin violent. Enfin au premier tour on était complètement mort de rire, mdr comme on dit chez les djeuns (eh oui TnP c’est chébran grave). Très surprenant donc et très marrant ! On continu par Magma, une espèce de Tram Tour sous amphétamines. Là c’est tout sauf une promenade de santé : le chauffeur conduit comme un dingue dans des chemins hyper sinueux et à peine plus larges que le camions dans lequel on est assis. Ensuite ça explose, ça fume, on se prend des hectolitres de flotte sur la gueule, bref, c’est méga foune mais je suis pas super sûr que la TUV validerait une telle attraction… Manège suivant : Tomb Raider. Ah non, c’est pas encore ouvert pour les visiteurs… Donc on va aller voir le spectacle de Zorro qui est en fait un déjeuner spectacle, un peu comme Videopolis à Disney, l’odeur de friture en moins. Les penes au pesto étaient bonnes, le show pas franchement terrible… On enchaînera avec celui des cascadeurs, déjà plus marrant car plus impressionnant et surtout plus intéressant car on y apprend pas mal de trucs, notamment qu’il y a une des pom-pom-girls du parc qui est particulièrement bien roulée… On enchaîne ensuite avec un tour de monorail, assez pathétique je dois bien dire puis par un tour de bûches sans grand intérêt et qui mouillent à peine. Par contre, un truc qui mouille, c’est U-571, le simulateur de sous marin qui s’apparente plutôt à un simulateur de machine à laver… Après être passé en prélavage dans la première salle du show (très jolie d’ailleurs) grâce à une dizaine de bombes à eau vicieusement placées, on pénètre dans un suppositoire géant (le sous marin quoi), on s’assied et… Et ben ça n’arrête plus. Ca secoue, la flotte arrive de partout, tout le monde tombe sur tout le monde, c’est un bordel sans nom et une crise de fou rire générale. Comme Magma, c’est le genre d’attraction qu’on ne pourrait jamais voir en France, en Allemagne ou dans le Benelux et, comme Magma, c’est également un monument de foune ! C’est bien simple, on a adoré ! Pour se sécher un peu (y en avait bien besoin), direction le spectacle de Rambo. Ce qui est marrant à Movieland, c’est que vu le peu de budget, on retrouve les mêmes acteurs dans tous les shows. Le moine de Zorro fait du jet ski chez les cascadeurs, celui qui joue Rambo fait la gentille fée chez Peter Pan, etc… Concernant le spectacle, c’est plutôt pas mal. Ca bouge bien, ça pète bien, comme toujours en Italie, ça parle un peu trop mais au final, ça reste toujours mieux que Moteurs Action. Si on continue au rayon des shows, on a aussi fait celui des effets spéciaux (nul à chier, à éviter) ainsi que celui des Blues Brothers qui brille surtout par sa scène de Table Dance ma foi assez… intéressante… Juste à côté se trouve la Horror House, réputée particulièrement extrême niveau sueurs froides. Mouais, je sais pas, je dois m’être habitué à ce genre d’attraction (sous entendez, je suis complètement blasé) parce que ça ne m’a pas fait grand-chose, sauf peut-être la scène finale avec la chaîne à cadavre. Enfin, si c’était Baloo qui écrivait ces lignes, il vous dirait qu’il a failli faire dans son froc ! Enfin voilà, personnellement j’ai plus flippé dans celle de Parque de Atracciones de Madrid… On termine par la dernière attraction du parc : Terminator 5D. Oui carrément 5, on en est plus à une ou deux près… L’histoire reprend grosso modo celle du show d’Universal sauf que là c’est fait avec les moyens du bord… Le film est donc tourné dans le parc même et le « sosie » de Schwarzie est blond et deux fois moins large que l’original. Mais au final, même si c’est horriblement ringard (faut pas le prendre au premier degré quoi), il y a quand même quelques très bon effets, surtout sur la fin. Voilà, on a fait le tour. Conclusion sur Movieland Studios ? Ben c’était très sympathique, souvent un brin barré mais ça ne me dérange pas, bien au contraire. Les créateurs du parc ont fait un sacré beau boulot car avec peu de moyens, ils ont quand même réussi à produire des attractions qui ont de la gueule, le tout dans un parc assez petit mais très agréable. Donc bravo à eux et quant à vous, je ne peux que vous encourager à aller y faire un tour ! |
Chapitre 2 : Ca Katun !
Parc visité : Mirabilandia
Bon allez, même si la journée d’hier était très sympathique, aujourd’hui on passe vraiment aux choses sérieuses, direction Mirabilandia et son méga joujou en acier : Katun ! Aaaaaah Katun, ça faisait quatre ans que je n’avais pas posé mes fesses sur ce chef d’œuvre et je dois bien dire qu’il m’avait manqué ! Heureux de constater que la bête est toujours aussi féroce, pleine de G et de moments de pure folie comme cet énorme Zero G Roll ou ce Cobra Roll pris avec tellement de vitesse qu’on a du mal à comprendre ce qui se passe. Bref, c’est fun, c’est fou, c’est hélas loin de chez nous mais putain, quel pied ce grand huit ! Pour le reste des crédits, deux juniors coasters (Vekoma et L&T) classiques et pas renversants, un gros Wooden tout blanc auquel il manque hélas une touche d’airtime, un Powered Mack qui, comme tous les autres, ne sert absolument à rien et une Wild Mouse, autrefois ultra hardcore et donc plutôt appréciable, mais devenue aujourd’hui aussi molle que ses consoeurs et donc d’un intérêt très limité. Rayon Water Rides, on a droit à un Flume assez originalement thématisé automobile avec une jolie descente en Double Down à la fin, un Raft Ride assez long mais hélas peu intense et peu humide et enfin un Shoot the Chute signé Hopkins qui ravira tous les amateurs de trempage dans les règles de l’art (de la pointe des cheveux aux ongles des orteils) dont nous faisons partie ! Ensuite il y a aussi un dark ride, baptisé Ghostville et qui vous emmènera à la découverte d’une ville fantôme du Far West. L’attraction est assez bien fichue, très longue avec des décors très nombreux et plutôt variés qui manquent hélas parfois un peu de profondeur. Autre bon point, la présence d’acteur cachés au milieu de tout ça qui prendront un malin plaisir à vous faire sursauter à coup de « bouh », de « wazaaaa » ou de « excusez-moi, l’attraction est finie, veuillez quitter le wagonnet par la gauche »… Pour le reste, pas mal d’attractions familiales (tasses, carrousels, etc..), une très grande zone pour les enfants et une encore plus grande roue Pax qui fait plein de drôle de bruits… Egalement deux tours S&S, un Space Shot et une Turbo Drop, des toboggans en canoës pneumatiques ainsi que pas mal de shows. On a vu celui de Police Academy, un spectacle de cascades avec tout un armada de bagnoles méga tunées, des motos qui volent dans tous les sens, la dose habituelles d’explosions et même un char d’assaut. Ah j’ai oublié de parler des nouveautés. Bon Raratonga, le Splash Battle tout riquiqui, ben c’était pas encore fini donc on n’a pas pu trop le faire, dommage car le temps s’y prêtait bien… Par contre, ce qu’on a fait, c’est le nouveau film 4D, Fly me to the Moon, le nouveau chef d’œuvre de Nwave qui, comme tous les films de Nwave, est tout sauf un chef d’œuvre. Oui parce que certes la qualité de l’animation est vraiment nickel, mais l’histoire, pfff, fallait s’accrocher pour ne pas s’endormir. Ajoutez qu’il y a peut être eu trois effets 4D sur 20 minutes de films, que ça n’arrêtait pas de causer (et quand c’est en italien, c’est un peu dur à suivre) et vous comprendrez aisément qu’on n’ait pas trop accroché… Sur ce, je crois qu’on a fait le tour… Donc voilà, après ma deuxième visite à Mirabilandia, mon avis n’a pas beaucoup changé sur le parc. C’est propre, c’est très agréable, il y a des attractions pour tous les goûts et surtout, un bon gros Katun pour satisfaire les notre ! Bref, ce parc est clairement pour nous le meilleur d’Italie, bien loin devant Gardaland, qui, comme nous le verrons dans le chapitre suivant, est vraiment une grosse arnaque ! |
Chapitre 3 : On n’a pas gardé le meilleur pour la fin…
Parc visité : Gardaland, Fantasy World Minilandia
Dernier jour de parcs et faut bien dire qu’on n’a pas vraiment gardé le meilleur pour la fin, ce que vous aurez d’ailleurs compris en lisant le titre de ce chapitre… Au programme : Gardaland, le parc le plus visité d’Italie et Fantasy World Minitalia, le parc le plus… enfin plutôt le moins… enfin un parc complètement nul quoi… Etape n°1 : Gardaland On est arrivé sur place un peu à la bourre et mauvaise nouvelle, la place d’entrée est noire de monde. Super… Faut dire que c’est sacrément bien fichu l’accès à ce parc. Dix tourniquets grand maximum et juste après, un méga rétrécissement de l’allée. Du coup, c’est le gros bordel, ça bouscule, ça se marche dessus, on en profite pour écraser deux trois chiards et on se dirige vers Fuga da Atlantide. Arrivée devant et passé le coup du « ouah c’est beau », arrive le coup du « ah cool y a personne dans la file » puis très rapidement celui du « c’est en panne ». Ca commence bien… On poireaute un peu, cinq minutes, dix minutes, un quart d’heure et comme rien ne semble redémarrer, on se tire direction le fond du parc et Sequoia Adventure. Arrivé sur place, bah c’est pas encore ouvert pour les visiteurs, pfff. Juste à côté, les bûches ont l’air de tourner donc on se met dans la file et lorsque c’est notre tour d’embarquer, ah ben non, on embarque pas ! L’attraction continue de fonctionner mais personne ne monte dedans… « Perchè. », demande Vincent (en italien dans le texte) à la dame ? « Parce que », nous répond-t-elle avec son air de vendeuse des Galeries Lafayette. Limite ça commence à bien faire… Direction I Corsari et, nom de djou, si c’est pas ouvert, on se casse de ce parc de merde ! Ah ben c’est pas ouvert… Ok on se tire, tant pis pour le crédit qui me manque, je ne reste pas une seconde de plus dans ce parc de merde ! Ah mais là un employé nous fait signe… Miracle en plus il parle français ! Et il nous explique qu’en fait il y a des problèmes de surtension sur le réseau électrique du parc. Non mais ils pouvaient pas le dire plus tôt les autres, ça nous aurait évité de passer une demie heure à tourner dans le parc en se faisant jeter de toutes les attractions… Finalement tout rouvre, alléluia, on va enfin pouvoir faire du manège… de merde me dis-je en descendant de Sequoia Adventure. Non mais ça sert à rien ce truc ! Et même si le pendouillage la tête en bas n’est pas désagréable comme je le craignais, l’attraction n’a vraiment aucun intérêt. Enfin si, ça fait +1… On a ensuite enchaîné les deux dark rides du parc : I Corsari et Valle dei Re, tous deux vraiment très bien faits, longs, immersifs, bref, excellent dans leur catégories. Par contre les coasters, on les a zappé. On avait déjà tous Blue Tornado (SLC Vekoma), Magic Mountain (Looper Vekoma) et Ortobruco Tour (Junior Pinfari) au compteur donc inutile de perdre son temps sur des merdes pareilles. A la place, allons tester le nouveau ciné 4D du parc, Time Voyagers, avec écran à 220° s’il vous plaît. Alors je suis peut-être complètement con, mais faudrait qu’on m’explique quel est le rapport entre le film (nullissime soit dit en passant) et le nom de l’attraction. En quoi deux robots typés années 60 qui se baladent dans un vaisseau à la découverte d’un temple inca englouti et d’une sorte de civilisation extra terrestre à la Abyss ont un rapport avec un voyage dans le temps. Sur la façade, il y a bien cette espèce de Mount Rushmore moche avec la tête d’un astronaute, d’un conquistador et de je ne sais plus quoi encore donc on s’attend à une balade à travers plusieurs époques. Ben non, c’est juste une balade dans le n’importe quoi. Vraiment un des pires cinés 4D que j’ai faits. Ceci expliquant peut-être cela, c’est une production interne Gardaland… Seul point positif, on est très bien assis, ce qui permet de s’endormir facilement ! Après… euh après, ou est-ce qu’on a été se faire chier… Ah oui, la maison de Prezzemolo, autrement dit, la Mad House du parc. Le meilleur passage, à savoir l’ascenseur et sa musique à se tordre de rire était HS, super… Je sais pas, ils ont du se passer le mot pour faire de notre visite la pire qui soit… Dépités et vu qu’il commence à faire bien chaud, on se lance vers les attractions aquatiques. On laisse tomber les bûches, on a les mêmes à Europa Park et je n’ai pas vraiment envie de revoir la tronche de la grognasse qui y bosse. Du coup direction Jungle Rapids, un très joli Raft Ride hélas aussi humide qu’un Round Boat Ride. Juste à côté, il y a Fuga da Atlantide, ouvert cette fois-ci, fonctionnant avec un débit absolument pathétique grâce notamment à l’absence de la moitié des bateaux du parcours et à des employés qui préféraient discuter entres eux plutôt que de faire charger les embarcations. Et l’attraction en elle-même ? Ben c’est comme le reste du parc, joli mais à mourir d’ennui ! Après cela, on a décidé d’arrêter les frais, inutile de passer plus de temps dans ce pitoyable parc ! Non mais vraiment je crois que je n’avais jamais eu une aussi mauvaise visite depuis bien longtemps. Des employés désagréables, des attractions qui tournent pour la plupart en sous capacité et qui de toute manière, Dark Rides mis à part, son d’un inintérêt stupéfiant. Non mais franchement, les coasters sont nuls, les water rides sont nuls, les flat rides sont nuls, mais c’est joli ! Ca tombe mal, je m’en contrefiche que ce soit joli, un SLC aussi bien thématisé soit-il restera toujours pour moi une belle grosse merde, pareil pour un Raft Ride qui ne mouille pas alors qu’il fait 25°. Allez, fuyons, fuyons vers notre seconde destination : Fantasy World Minilandia Alors je ne sais pas si c’est les quelques heures passées à Gardaland qui nous avaient complètement sapées le moral, mais je dois bien dire qu’on n’avait pas trop le sourire aux lèvres en arrivant devant les portes du parc. Et la visite n’a pas été d’une grande aide… Pour résumer Fantasy World, ben c’est pas folichon… Le parc fait très vieillot, les deux crédits sont signé Pinfari et Sartori, ce qui vous laisse présager de leur qualité… Quant à la partie Italie en miniature, qui est pourtant sensée être le produit d’appel du parc, et bien c’est dans un état lamentable, les maquettes sont pour la plupart cassées, les herbes ont envahi les routes et les voies de chemin de fer, y a rien qui bouge, bref c’est à se demander s’ils ont déjà effectué le moindre entretient depuis l’ouverture. Seul rayon de soleil au milieu de cet océan de médiocrité, un sympathique Flume Ride (qui mouille !!!!!) et une tour de chute libre un peu lente au démarrage (5 minutes de monté) mais bien punchy dans la descente. Comme vous aurez pu le comprendre, c’était pas vraiment une journée à sauter de joie. C’est un peu dommage de finir un trip sur une note si négative, mais c’est comme ça, hélas les mauvais parcs existent et le plus dingue c’est que certains font des millions de visiteurs… Vous aurez compris qu’il y en a un dont le nom commence par G et j’en connais également un dont les initiales sont WDS mais dont je tairais le nom complet par respect pour ce dernier. Enfin, on aura quand même bien profité de ces quelques jours passés sous le soleil du pays de la pizza, merci pour cela à Movieland, merci à Katun et à la plupart des autres attractions de Mirabilandia. Par contre Gardaland et Fantasy World, allez vous cacher, vous êtes pas trop pourris, bouh ! Voila, c’était donc le mot de la fin. Fin ! |