Avril 2007
Après les numéros 1 et 2, voici venir la fin de la trilogie God Save the Foune avec ce numéro 3. En attendant bien sûr que ça devienne une tétralogie avec un quatrième numéro…Donc ce coup-ci, c’est quoi le concept ? Et bien après s’être occupé des Middlands en 2005 et de Londres en 2006, on s’est dit qu’il serait de bon ton d’en finir avec l’Angleterre et de faire les quelques gros crédits qui manquaient encore à notre compteur.
Du coup, direction Flamingoland, Lightwater Valley et quelques autres parcs pas forcément très connus mais possédant chacun des bébêtes intéressantes (enfin qui en avait l’air on va dire après coup) comme le plus long grand huit d’Europe (Ultimate), le plus haut Inverted d’Europe (Jubilee Odyssey) ou, last but not least comme on dit là bas, le seul Boomerang anglais actuellement en fonctionnement (sic). Et puis, vu que c’est dans le coin, on va aussi se faire deux jours à Alton Towers, parce que, l’Air de rien, on n’aime(esis) quand même beaucoup, beaucoup ce parc !
La grande question que vous vous posez tous, et vous avez bien raison, c’est mais qui donc a pu participé à un trip pareil, quels sont les fous qui ont dit oui à l’idée d’aller faire un SLC Vekoma de 51m de haut ???
Rescapé de God Save The Foune n°2, Baloo est de retour mais ce n’est pas forcément pour faire des tours de tour vu qu’il n’aime pas trop ça. Djoul lui s’en fout, il aime bien les tours, même s’il préfère que j’efface des trucs avec les doigts (allez comprendre). Moi j’aime tout et tout le monde… Bon ok, sauf toi, toi… et puis aussi toi là bas, ainsi que toi qui te gratte le nez devant ton écran ! Pour finir, il y avait le Scherzie… Ah ben non, il était po là ! Oukilété alors ??? Ben non, j’ai regardé, il n’y était pas… Ah il était au Hockey pour supporter le SCBéééééééé ! Mouais, enfin ça n’a pas du être suffisamment efficace puisqu’il ont fini par perdre le championnat de Suisse face à Davos 4 à 3…
Allez, sans plus tarder, levons le voile sur les trois chapitres que je vous ai concocter !
Après les numéros 1 et 2, voici venir la fin de la trilogie God Save the Foune avec ce numéro 3. En attendant bien sûr que ça devienne une tétralogie avec un quatrième numéro…Donc ce coup-ci, c’est quoi le concept ? Et bien après s’être occupé des Middlands en 2005 et de Londres en 2006, on s’est dit qu’il serait de bon ton d’en finir avec l’Angleterre et de faire les quelques gros crédits qui manquaient encore à notre compteur.
Du coup, direction Flamingoland, Lightwater Valley et quelques autres parcs pas forcément très connus mais possédant chacun des bébêtes intéressantes (enfin qui en avait l’air on va dire après coup) comme le plus long grand huit d’Europe (Ultimate), le plus haut Inverted d’Europe (Jubilee Odyssey) ou, last but not least comme on dit là bas, le seul Boomerang anglais actuellement en fonctionnement (sic). Et puis, vu que c’est dans le coin, on va aussi se faire deux jours à Alton Towers, parce que, l’Air de rien, on n’aime(esis) quand même beaucoup, beaucoup ce parc !
La grande question que vous vous posez tous, et vous avez bien raison, c’est mais qui donc a pu participé à un trip pareil, quels sont les fous qui ont dit oui à l’idée d’aller faire un SLC Vekoma de 51m de haut ???
Rescapé de God Save The Foune n°2, Baloo est de retour mais ce n’est pas forcément pour faire des tours de tour vu qu’il n’aime pas trop ça. Djoul lui s’en fout, il aime bien les tours, même s’il préfère que j’efface des trucs avec les doigts (allez comprendre). Moi j’aime tout et tout le monde… Bon ok, sauf toi, toi… et puis aussi toi là bas, ainsi que toi qui te gratte le nez devant ton écran ! Pour finir, il y avait le Scherzie… Ah ben non, il était po là ! Oukilété alors ??? Ben non, j’ai regardé, il n’y était pas… Ah il était au Hockey pour supporter le SCBéééééééé ! Mouais, enfin ça n’a pas du être suffisamment efficace puisqu’il ont fini par perdre le championnat de Suisse face à Davos 4 à 3…
Allez, sans plus tarder, levons le voile sur les trois chapitres que je vous ai concocter !
Chapitre 1 : Glings Prouts par ci…
Parcs visités : Lightwater Valley, Flamingoland
Premier de ce double chapitre consacré à des parcs pas franchement terribles, remplis de crédits qui ne valent guère mieux. Au programme pour commencer : Lightwater Valley et Flamingoland. Lightwater Valley Voilà, on est sur le sol anglais, on a très bien dormi dans le tout neuf Etap Hotel de Leeds et nous voici sur la route de Ligthwater Valley guidé par GPS et par une certaine envie de faire du coaster, le week-end en Allemagne de la semaine dernière n’ayant apparemment pas suffi à nous combler en la matière ! Bref, nous arrivons devant les portes de Ligthwater Valley, ça a l’air joli tout plein, tendance champêtre, un peu dans le même style qu’Oakwood qui nous avait vraiment bien plu l’an passé. Après être entré dans le parc, on déchante un peu… C’est toujours joli côté espaces verts mais niveau attractions, ça sent franchement le « tiens voilà que je te pose comme ça, au p’tit bonheur la chance ». Mais niveau crédits alors, qu’est ce que ça donne ? Et ben, ça va être assez expéditif. Le parc compte six coasters et voici ce qu’on en a pensé : Caterpillar (la Pomme Pinfari) : Sans surprise on va dire Grizzly Bear (encore un Pinfari) : sans intérêt Ladybird (Tivoli Zierer) : réveillez moi quand c’est fini Rat Ride (Wildcat couvert) : Oui bon, ce truc c’était marrant y a 20 ans, là c’est un peu démodé… Twister (Spinning Reverchon) : pas fait car 45 minutes d’attente Ah oui, parce que j’ai oublié de préciser : de un, y avait quand même un peu de peuple (mais ça restait dans les limites du supportables) et de deux, le mode de fonctionnement du parc faisait un peu penser à la fusion improbable de la méthode d’opération d’un Six Flags allié aux employés du Parc Astérix. Alors vas-y que je te fous que trois wagons sur le Reverchon et le Schwarzkopf, vas-y que je n’arrive pas à charger un train d’Ultimate avant que l’autre revienne en gare, un exploit soit dit en passant car le tour dure plus de cinq minute ! Même les opérateurs de Tonnerre de Zeus n’ont pas encore réussi à atteindre ce niveau d’incapacité ! Ultimate venons-y justement… C’est plus ou moins la star du parc et au passage un ex recordman du plus long grand huit au monde avec 2270m. Mouais, ben ils auraient pu en mettre que 300m que ça aurait déjà suffit. C’est très simple : non seulement cette montagne russe ne sert à rien mais en plus elle fait mal partout ! Nul, nul, et re-nul. Bon, on se fait encore la descente en canoës pneumatiques (sympa sans plus) et on se tire de ce parc pourri ! Conclusion sur Lightwater Valley ? Alors autant le cadre est agréable, autant tout le reste est à oublier. Les six crédits du parc rivalisent tous d’inintérêt, y a pas un seul water ride un peu marrant et les employés sont plus mous que n’importe quel coaster Mack. Flamingoland Enfin, si Ligthwater ce n’était pas la joie, que pourrait-on dire du parc suivant, Flamingoland. Non seulement les attractions ne débitent pas (peut être qu’avec 30 minutes de file au SLC il serait de bon ton de sortir de deuxième train…), non seulement les grands huit n’ont rien à envier en qualité à ceux de Ligthwater Valley, non seulement les employés sont des limaces mais, pour couronner le tout, le parc est moche à crever, tendance dalle en béton et décors en papier mâché ! Allez, zou, les crédits qu’on en finisse : Corkscrew Derrière ce nom super original se cache un super douloureux Corkscrew Vekoma, tendance viens là mon gros que je te donne ta ration de baffes ! Aie, ouille, bang, bing, fuyez pauvres fous ! Dragon Coaster et Runaway Mine Train Deux crédits pour gamins sans intérêt aucun si ce n’est qu’il n’y avait pas de file et que ça faisait +1. Le troisième Kiddie Coaster, Go Gator, est interdit aux grands. Commence à faire chier ces mômes ! Kumali Aha, un SLC nouvelle génération, soit disant doux comme un cul de bébé (dixit notre muse Theme Park Review), ça ne donne pas qu’envie à Micheal Jackson, même si ce n’est pas pour les mêmes raisons… Bref, au programme : une grosse descente suivie d’un virage qui te rase le gazon, un enchaînement Looping, Cobra Roll et Zero G Roll et pour finir une spirale d’un tour un quart. Verdict ? Euh, vous êtes sur qu’il n’y a pas eu erreur dans la formulation ? C’est pas plutôt cul de vieux motard, ridé jusqu’à la raie que vous vouliez dire ? Non parce que franchement, ok c’est pas aussi catastrophique qu’un MP Express, mais vraiment pas mieux qu’un Vampire non plus ! En tout cas, on est très loin, voire à des années lumière d’un Inverted B&M ! Ensuite, pour ce qui est du parcours, c’est sûr que c’est intense mais qu’est-ce que c’est rasoir et sans inspiration ! Tous les virages se font dans la même direction, les inversions sont les unes derrière les autres comme s’il avait fallu en caser le plus possible sur le minimum de longueur de rails. Bref, tu parles d’une déception ! Allez, J-2 avant Nemesis ! Velocity Un Motorbike Coaster Vekoma et surtout, le premier crédit vraiment sympa du trip. Bonne accélération et parcours bien sympa même si un brin court. Seule ombre au tableau : y a un seul train et plein d’autres connards dans la file qui trouvent comme nous que c’est le meilleur coaster du parc… Donc on ne le fera qu’une seule fois avec plus de 30 minutes de poireautage, youpi ! Après un tour sur le Mega Disk’O du parc (5 sièges HS, c’était pas trop une surprise) vient un dilemme : fait-on d’abord le Splash du parc qui a l’air marrant ou assure-t-on le crédit Wild Mouse où la file tire bien la tronche ? Allez, il reste 1h15 avant la fermeture, on va se lancer dans le Splash tant qu’il y a encore un peu de soleil et on fera la souris à la fin. Mais c’était sans compter le dynamisme des employés et les bateaux en total sous nombre ! Un départ toutes les cinq minutes et à la clé, 45 minutes d’attente. Concernant l’attraction, c’est pas trop mal. Ca commence par une ballade assez longue au milieu d’enclos d’animaux (Flamingoland est aussi un zoo) et ça se finit par une chute d’une vingtaine de mètres et un splash très rafraîchissant. Donc on sort du truc bien trempé, il nous reste un quart d’heure se faire la Wild Mouse. Ah oui mais on ne vous avait pas prévenu ? Quand on vous dit 18h15, c’est l’heure à laquelle se tirent ces employés mous du bulbe, du gland et de tout le reste ! Donc en fait, la file, elle est fermée depuis 20 minutes et tu l’as dans le baba mon coco ! Une tirade d’insultes dont je vous passerais les noms d’oiseaux plus tard, on se casse de ce parc de merde qui ne vaut même pas le tarif réduit offert par l’ECC et pour lequel j’ai du me battre à la caisse ! Hasta la pas vista Flamingoland ! |
Chapitre 2 : … Glings Prouts par là
Parc visité : Pleasure Island, Fantasy Island
Deuxième jour de cette course effrénée aux crédits pourris. Après la bretonne campagne, voici la mer, que l'on voit danser le long des golfes clair et qui a sans doute des reflets d'argent vu le nombre de casino et de buibuis remplis de machines à sous que l'on trouve sur sa cote. Parc n°1 du jour : Pleasure Island à Cleethorpes. Curieusement le parc qui m'a le moins déçu sur ces deux jours. Disons que je n'en attendais pas beaucoup donc du coup, même si ça n'a pas été l'explosion de foufoune, ça n'a pas non plus été la soupe à la grimace. Niveau crédits, c'est pas là qu'il faut venir chercher les méga sensations de la mort qui tue, enfin, à moins que vous arriviez à prendre votre pied sur Boomerang et un Junior Coaster Vekoma bien sûr. Et pour le Go Gator ? Ah ben c'est réservé aux gémiards ! Et encore un de moins, super ! Par contre, niveau attractions annexes, y avait plutôt du bon choix et des trucs assez originaux. Je passe sur le Fly Away Huss (même si on me paie je ne monte plus sur ce truc) pour en arriver directement au Double Shot S&S bien fourni en airtime et au Booster Fabbri sur lequel j'ai eu bien du mal à monter mais qui m'a finalement fait plein de guilis dans le ventre et je l'en remercie ! La suite c'est une Paratower comme il y avait jadis à Walibi, non Six Flags, non re Walibi Belgium. Très vintage donc mais assez foune en même temps. Je passe sur un toboggan en carpet' qui glisse pas et sur une descente en canoës sans grand intérêt pour en arriver au Dark Ride du parc, vraiment bien fichu pour un si petit truc, orienté fabrique de bonbons et de chocolats et surtout, remplis d'odeurs plus qu'appétissantes ! Même Djoul, pourtant plus grand scénographe du monde, a apprécié, c'est vous dire ! Après même pas deux heures dans le parc, on a décidé que ça suffisait (surtout que la foule commençait à débarquer, temps magnifique oblige) et on a repris la route direction Skegness et Fantasy Island. Alors Fantasy Island, ou plutôt d'abord Skegness... Comment vous décrire ça... Faut imaginer une immense pelouse, sans aucun arbre, avec des centaines, non des milliers de mobil homes et de caravanes posés dessus. C'est ça Skegness, y a pas une maison en dur, que du préfabriqué partout. Alors bien sûr, chacun y va de sa petite touche perso : balcons en simili fer forgé, jardinières posées sur l'attache caravanes, nains devant la porte, bref, c'est le paradis du plus mauvais des goûts. Il n'est alors pas tellement étonnant de voir que Fantasy Island n'est pas le parc le plus raffiné qui soit. Il se compose en fait de deux parties. La première, en extérieur est, disons-le, à vomir. C'est du posé n'importe comment, bariolé à tout va, criard, moche, ça pue le graillon encore plus que dans les Studios 1 des Walt Disney Studios, en gros, c'es tout sauf magique ! Rajouter au milieu de tout cela un marché de la contrefaçon où les iPods sont à 35£, où l'on tente aussi bien de vous vendre des tapis percés que de la lingerie coquine. La deuxième partie est, elle, entièrement abritée à l'intérieur d'une immense pyramide et, très curieusement, c'est assez réussi. La théma est vraiment pas mal, cohérente jusque dans les petits coins, bref, ça tranche vraiment avec l'extérieur ! Passons maintenant aux attractions. Fantasy Island fonctionne suivant le système du pay per ride sans toutefois proposer de bracelet tout inclus, ce qui oblige à payer chaque attraction séparément. Niveau prix, c'est raisonnable, 0.60£ le jeton sachant que les manèges les plus chers en nécessitent quatre (sauf Millennium Roller Coaster, Jubilee Odyssey et Absolutly Insane qui sont au prix de 4£). Première constatation : Absolutly Insane, le drôle de truc à câble S&S est fermé. Trop de vent. Tu parles, il fait grand beau temps et y a pas un pet de zef ! N'importe quoi ! Du coup, direction Jubilee Odyssey qui se trouve juste à côté. Alors, alors... Un SLC de 51m, qu'est ce que ça va bien pouvoir donner... Ben à la non surprise générale : des baffes ! Si le début (first drop et looping) sont assez agréables, le reste c'est juste du « allô maman bobo » à répétition, que ce soit dans le Cobra Roll, dans l'infâme Sidewinder Loop où dans la Corkscrew qui clôt le parcours. De plus, si le coaster est violent, il est en plus horriblement mou ! là où Kumali délivrait quand même une bonne dose de G, Jubilee Odyssey ne fait que se promener d'élément en élément, en distribuant sa dose de coups mais sans à aucun moment vous pressez un tant soit peu sur votre siège. Conclusion : n'est pas Katun qui veut ! Deuxième crédit : Millennium Roller Coaster, un looper standard à nouveau Vekoma de 46m de hauteur avec trois inversions. Je peux vous dire qu'après Odyssey, on se préparait déjà à se prendre à nouveau une bonne dose de baffes. Et ben non, pas une seule ! En même temps, la moitié du circuit, ce sont des lignes droites et pour le reste, les éléments sont tellement larges que ça passe sans problème. Au final, pas franchement le grand huit du siècle mais au moins, on n'en descend pas avec une envie de meurtre de hollandais. Les deux crédits suivants, ce sont un Spinning Reverchon, le même que tous les autres, avec le même intérêt très discutable, et un Powered WGH (le constructeur de Trans'Demonium) pas renversant pour un clou. Dernière attraction à tester dans la zone extérieure : le Space Shot S&S, le seul au monde avec des sièges tilt. Ah mais ça n'a pas l'air d'être ouvert pour les visiteurs... Pourtant c'était marqué ouvert à la caisse ! Et puis on a acheté les jetons pour le faire surtout ! Renseignements pris, c'est kaputt... Donc retour à la caisse pour râler un coup. Mais là, pas de bol, on est tombé sur une vrai connasse, moche en plus, bref une bonne grosse truie bien violette qui n'a rien voulu savoir et qui nous a juste répondu que si elle n'avait pas mis que l'attraction était fermée sur son tableau, c'est parce qu'elle n'avait pas le sticker « closed ». Ravalant notre haine, nous passons à la partie couverte. Après être passé devant un kiddie crédit réservé aux enfants (je les hais), direction Dragon Mountain Descent, une immense descente en canoës, avec vagues qui passent par-dessus l'embarcation et donc un taux de foune de 200%. On restera d'ailleurs ensuite pas mal de temps sur la passerelle d'observation à regarder tous les passagers suivants se ramasser l'eau dans la figure. Plaisir sadique certes mais tellement jouissif ! On finit la visite par deux petits dark rides pas mal fichus (un en bouées et l'autre à bord d'un monorail) et puis adios Fantasy Island, il est 15h30 et on a vraiment eu notre dose ! Conclusion ? Mouais ben pas franchement terrible ce parc. Si la partie intérieure s'en tire avec les honneurs, l'extérieur est simplement à gerber. Ca rappelle une de ces fêtes foraines pourries, remplie d'une faune particulièrement étrange, où l'odeur de friture a imprégné tous les murs, bref, où l'on ne prend vraiment aucun plaisir à se balader ! |
Chapitre 3 : Un Tour d’Alton
Parc visité : Alton Towers
Après deux jours de déprime, de crédits pourris voire pourris et qui font mal, je ne peux vous décrire le bien que ça nous a fait de passer les portes d’Alton Towers et surtout de constater que tout est toujours aussi génial dans ce parc ! Nemesis, malgré ses 13 ans d’âge reste toujours une petite merveille et même si je lui préfère aujourd’hui Black Mamba, il faut quand même reconnaître que ça a été un des tout premier grand huit à allier sensations extrêmes et théma du tonnerre. Ensuite Air, Air, tellement merveilleux Air, tellement planant, Oblivion, toujours trop court mais c’est pas si grave, on l’aime quand même, surtout par la file Single Rider qui permet de faire son tour en 5 minutes alors que les gens poireautent une heure dans la file classique ! Et puis il y a aussi Rita, Spinball Whizzer, Duel, Hex qui sont tous fantastiques, pas du tout familiaux mais c’est pas grave, ça ne nous dérange pas le moins du monde, à bas les familles, vivent les pré pubères boutonneux et les manèges qui vont avec ! Enfin, avec toutes ces louanges, j’oublie un peu de parler des nouveautés… Commençons par celles de 2007, ça sera vite fait. Donc Haunted Hollow, c’est tout bonnement du fouttage de gueule : une dizaine de statue en résine de morts plus ou moins vivants, quelques bruitage et basta. Même pas peur ! Ensuite, la nouvelle aire de jeux sur le thème des insectes dans la zone de la ferme… Mais qu’est ce que c’est que cette horreur ???? Même l’aire de jeux du Bioscope est plus réussie ! Non, non, non là ça ne va pas du tout ! Enfin, en même temps, c’est pour les gosses et les gosses, on s’en tamponne royalement qu’ils leur fassent des trucs nuls du temps que nous on a droit à nos grosses machines à sensations ! Autre attraction pas encore testée : Charlie et la Chocolaterie. Mouais, on va lui donner l’appréciation de bien mais pas top… Le concept est sympa, le traitement aussi mais au final ça fait assez vide, statique et même si le coup de l’ascenseur de verre est assez bien fichu, les images défilent tellement vite qu’on ne comprend absolument rien. Donc un petit tour et puis sans va sur Nemesis, puis Air, puis Duel, puis Oblivion, puis Rita, puis Hex, puis Spinball, puis re Nemesis, puis re Air et puis re re Nemesis parce que c’est trop bien, etc… Conclusion ? Il vous en faut vraiment une ? Et bien c’est simple et sans surprise : Alton Towers a beau être le parc le plus difficile d’accès d’Angleterre, voire d’Europe, ça reste un des meilleurs, non pas parce que la théma y est particulièrement chiadée, mais simplement parce qu’ils ont des attractions de malades que l’on ne se lasse pas de refaire, encore et toujours ! Egalement à noter qu’on a trouvé un très chouette petit hôtel juste à côté de l’entrée du parc ainsi qu’un excellent resto dans le village d’Alton. Pour plus d’infos, direction la fiche futée du parc. Voilà, finito avec l’Angleterre, c’était sympa mais je ne sais pas pour autant si, mis à par Alton Towers, on refera un jour les autres parcs de ce trip. Peut être dans 15 ans quand ils auront trouvé le moyen de rendre moins moche Flamingoland, de construire un bon crédit à Lightwater Valley ou quand ils auront rasés tous les mobil homes de Skegness et la partie extérieure de Fantasy Island, Vekomas bien entendu inclus ! |