Mai 2023
Revis notre aventure en live sur Instagram !
Après le trip en Allemagne pour bien commencer la saison… le deuxième trip en Allemagne pour encore mieux la continuer ! Ok, on ne va pas se mentir, le but de celui-ci était avant tout de faire grimper au max le compteur à crédits sans trop s’éloigner de la maison.
Du coup, ce ne sera pas moins de neuf parcs en deux jours, souvent en mode quantité plutôt que qualité. J’espère que vous êtes prêts, va falloir suivre !!
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Après le trip en Allemagne pour bien commencer la saison… le deuxième trip en Allemagne pour encore mieux la continuer ! Ok, on ne va pas se mentir, le but de celui-ci était avant tout de faire grimper au max le compteur à crédits sans trop s’éloigner de la maison.
Du coup, ce ne sera pas moins de neuf parcs en deux jours, souvent en mode quantité plutôt que qualité. J’espère que vous êtes prêts, va falloir suivre !!
Chapitre 1 : Un château et des fleurs (ou pas)
Parcs visités : Schloss Thurn, Churpfalzpark
On attaque derechef avec un chapitre consacré à deux parcs : Schloss Thurn et Churpfalz Park. Eh oui, on est comme ça chez TnP, on fonce tête baissée avec le crédit pour seul horizon ! Cela étant dit, il faut préciser que ces deux parcs ne sont pas ce qu’on pourrait appeler des mastodontes, c’est même tout l’inverse ! Là, on est sur du petit parcounet particulièrement paumé (PPPP), pas hyper folichon mais, comme il y a du +1 à y faire, on ne pouvait pas passer à côté ! Schloss Thurn Premier arrêt avec ce Château de Thurn, déjà visité en 2006, autrement dit il y a fort, fort longtemps. A l’époque, le site nous avait laissé une impression de sympa mais sans plus, impression qui n’a pas tellement évoluée après cette nouvelle visite. Côté points forts, on peut mentionner la taille du parc ainsi que son côté boisé et donc plutôt agréable. Niveau déco, sans en faire des caisses, il s’en sort également pas mal, avec notamment une ville western assez réussie et le fameux château qui fait joli en arrière-plan, même s’il n’est cependant pas possible de le visiter. Côté points faibles ensuite, on ne va pas se mentir, l’offre en attraction n’est pas fofolle… Beaucoup de Heege, ce qu’il faut de Zierer, et une tendance à aller vers du SBF ces dernières années. Au rayon des crédits, vous trouverez à Schloss Thurn deux Butterfly (dont un fut un +1 pour nous) ainsi qu’un Force 2 Zierer, équipé de casques VR s’il vous plait, et dont le débit était tellement pathétique qu’on n’a même pas pris la peine de s’en faire un tour ! De toute façon, pour ce qui est de la réalité virtuelle, il y avait une alternative au coaster avec Steampunk Scooter, autrement dit des autos tamponneuses en mode VR. Eh ben vous savez quoi, c’était franchement pas mal, limite une des meilleures utilisations de cette technologie qu’on ait vu sur une attraction ! Ok, on n’a pas le droit de se tamponner (le but du jeu est de collecter des points et lorsqu’on rentre dans un autre véhicule, on en perd) mais la fin du cycle, lorsque le plateau de jeu projeté dans vos lunettes se met subitement à se replier sur lui-même façon Inception, était particulièrement troublante, avec un effet de vertige qui marchait super bien ! Sinon quoi d’autre de testé ? Pas grand-chose en fait… Le Flume, Reverchon, modèle standard avec les deux lifts et les deux descentes en parallèle, un peu de parcours d’équilibre, la descente en canots pneumatique, la Family Tower SBF locale ainsi qu’un Luna Loop parce que pourquoi pas ! Churpfalzpark Vous aimez le kitch ? Vous allez adorer Churpfalzpark ! Ici, le bon goût a été mis au garage depuis longtemps… et le garage a lui-même été coulé dans une chappe de béton, elle-même jetée dans la fosse des Mariannes, histoire qu’on soit bien certain de ne jamais le revoir !! Du coup, envoyez les sculptures hideuses, les couleurs qui pètent dix fois trop, les résines dégueulasses, j’en passe et des meilleures… ou pas ! Côté attractions, un peu comme à Schloss Thurn, on ne peut pas dire que c’était la panacée… plutôt l’inverse en fait ! En fait, le seul manège qui sortait quelque peu du lot était High Speed Rafting, une descente en bouées façon Oxygénarium en mode fait maison, où les virages sont particulièrement serrés ce qui fait que l’on se fait méchamment bringuebaler tout du long ! Faut se cramponner mais y a moyen de se payer une bonne barre de rire ! Sinon il y avait aussi le +2 qu’on était venu glinger car, aussi surprenant soit-il, on n’était pas seulement là pour les horribles dinos en plastique du mini-golf du parc ! Crédit n°1 : le pire Bobkart Wiegand qu’on n’ait jamais fait, avec des secousses à chaque jointure et un parcours qui se finit à peine a-t-il eu le temps de commencer. En même temps, vu le niveau de qualité, ce n’était sans doute pas plus mal comme ça. Crédit n°2 ensuite : un Spinning SBF avec circuit en 8, le même qu’absolument partout, ici avec une théma égyptienne parce que, après tout, pourquoi pas ! Pour le reste, un petit tour de Flume bien lamentable, un peu de Paratrooper parce que ces vieilles machines sont toujours très fun, un coup de toboggan avec tapis et v’là-t-y pas que la visite était déjà finie ! |
Chapitre 2 : Alpines dans les prés
Parc visité : Altmühlbob, Greuther Keller, Monte Kaolino, Freizeitzentrum Hohenbogen, Erlebnispark Voglsam
Afin de faire une pause entre deux rasades de parcs déprimants, laissons-nous aller à un petit chapitre Alpine Coasters ! C’est qu’il y en a toute une collection en Bavière, notamment du côté des pré-Alpes, dans le sud de la région. Toutefois, là on est plutôt au nord, mais on a tout de même trouvé de quoi créditer en poussant du manche à balais, et on va donc passer tout cela en revue vite fait bien fait ! Altmühlbob Pour cette étape, on est non loin de Ratisbonne, dans un site qui comporte non pas un mais deux crédits, youpi !! Le premier, c’est un Alpine Coaster Wiegand tout ce qu’il y a de plus standard, long de 670 mètres, sans les freins magnétiques relous des modèles nouvelle génération mais sans énormément de sensations pour autant. Dommage… Quant au second, il est nettement plus intrigant ! Également signé Wiegand et baptisé Speed Bob, est en fait le deuxième modèle au monde de Sport Coaster, un Alpine sans possibilité de contrôler sa vitesse, dont le premier exemplaire était Dawson Duel à Bellewaerde. Oui, je sais, Dawson Duel c’est naze, ça se traîne et le founomètre est proche du néant mais ce Speed Bob n’a absolument rien à voir avec ! En effet, ici, pas de tracé classique composé uniquement de virages, non, Speed Bob c’est uniquement une grande ligne droite ponctuée de trois gros camelback, que l’on franchit à bord de notre luge équipée d’une simple ceinture trois points ! Du coup, et même si l’airtime sur chaque bosse est somme toute assez limité, la vitesse et les sensations sont franchement pas mal ! On regrettera juste que ce soit trop vite fini ! Greuther Keller Un Alpine Coaster de 360 mètres de longueur, n’est-ce pas un peu court ? Si ! Monte Kaolino Pour notre arrêt suivant, direction l’étonnante base de loisirs de Monte Kaolino, construite au bord et sur une dune artificielle, née du sable amassé par une ancienne exploitation industrielle de kaolin (d’où le nom) et sur lequel on peut pratiquer du ski sur sable… Ok, le ski sur sable, ça doit être rigolo mais ça ne fait pas pour autant un +1 ! Pour cela il faut se tourner du côté de l’Alpine Coaster qui se trouve juste à côté de la piste et qui, du long de ses 845 mètres, propose l’un des meilleurs et des plus vicieux parcours qu’on n’ait jamais testé pour une attraction de ce genre ! Vraiment excellent de bout en bout, avec une bonne vitesse, quelques mini airtimes dans les petites cassures qui ponctuent la descente et surtout la race de G latéraux dans chaque virage ! Erlebnispark Voglsam On va un peu tricher par rapport au thème de ce chapitre avec les deux derniers sites visités mais, comme ils ne méritaient sans doute pas d’en avoir un pour eux tous seuls, ainsi soit-il ! Là, on est donc à Voglsam, un micro parc d’attractions situé non loin de Bayern Park, dont l’entrée est gratuite et où le crédit tant convoité est un Bobkart Wiegand. Et puis c’est tout ! Freizeitzentrum Hohenbogen Pas tellement plus folichon que son prédécesseur Voglsam, voici à présent Freizeitzentrum Hohenbogen et son Butterfly Sunkid ! Plus ça va, moins ça dans ce chapitre on dirait… C’est pas faux, même si ce centre de loisirs proposait également une luge d’été plutôt rigolote qui a permis d’un peu sauver les meubles ! |
Chapitre 3 : Forain-Land Geiselwind
Parc visité : Freizeit-Land Geiselwind
Dans la looooongue liste des parcs que l’on a visités tout au long de notre carrière de chasseurs de crédits, il y a ceux que l’on adore, ceux que l’on aime bien, ceux qui nous laissent totalement indifférents et ceux où l’on se demande ce qu’on est venu y faire tant c’est la déprime (ah oui, c’est vrai, des crédits). Et c’est malheureusement dans cette triste dernière catégorie que vient se ranger le parc auquel ce chapitre est consacré, Freizeit-Land Geiselwind ! FLG, pour les intimes (dont on n’a pas envie d’être, ce sera donc Freizeit-Land Geiselwind), on l’avait déjà visité pour la première et unique fois en 2006, quand on était encore jeunes et sans doute un brin tolérant. Et déjà à l’époque on avait trouvé ça très très mauvais ! D’ailleurs, je vais reprendre mes propres mots d’alors en disant que le parc est « hideux, laid, moche, pas beau, avec des dinosaures fluos en plastique qui côtoient des Tortues Ninja, elles-mêmes menacées sur leur territoire par une horde de cannibales, le tout agrémenté de restes de décos de fêtes foraines. » Bonne (ou mauvaise, c’est selon) nouvelle, les choses n’ont pas changé en 17 ans ! Pire, le parc a gagné pas loin de 50% de superficie et on a donc droit à encore plus de mauvais goût, de couleurs criardes et autres horreurs dont nos yeux ont eu bien du mal à se remettre ! Côté attractions, si ce n’était déjà pas la panacée en 2006, là aussi, le parc a parfaitement su continuer dans la trajectoire de médiocrité de laquelle il ne semble pas vouloir sortir ! Du coup, vas-y que je te récupère encore plus de merdes foraines, vas-y que je te colle du SBF dégueulasse partout et vas-y que je te noie tout ça dans encore plus de résine et de trucs informes qu’il n’est même pas possible d’appeler décors ! Pour vous dire à quel point c’est la catastrophe ce parc, on va déjà dire qu’on n’a refait aucun des crédits qu’on avait déjà glingés au cours de cette nouvelle visite, à savoir un Spinning Coaster Zierer apathique, un Powered Mack et un Tivoli Large Zierer inintéressants au possible, sans oublier un Boomerang Vekoma qui n’a pas besoin de qualificatif pour dire que c’est de la merde ! On s’est donc contenté des plus ou moins nouveautés… Dans le lot on a trouvé deux montagnes russes déjà testées ailleurs, à savoir Drachen Höhle, un petit Zierer indoor avec des wagons façon Flitzer, et Cobra, une belle grosse bouse de Looping Coaster signée Interpark, qui se baladait auparavant sur les champs de foire suisses et allemands. Après cela, place à de vrais +1 avec Taka Waka, un Steel Coaster SBF avec lapbar et ceintures cinq points, on ne sait jamais, et Doggy Dog, l’indispensable Pomme qui, avec son train thématisé dalmatien à lunettes de soleil, arrive à faire encore plus moche que l’habituelle chenille ! Après cela, quoi d’autre… Ah oui, les parcours à pied forains ! C’est qu’ils ont l’air d’aimer ça à Geiselwind puisqu’on n’en trouve pas moins de quatre plantés le long des allées du parc ! Il y a ainsi celui thématisé Egypte avec ses momies en plastique, celui en mode hôpital psychiatrique qui essaie désespérément de vous faire peur avec autre chose que sa déco dégueu, celui en mode Fun House pas spécialement fun et celui sur les pirates qui, allez, était le moins pourri du lot ! Ensuite, je ne vais pas vous parler des Flat Rides, ils sont tous vieux et aussi excitants qu’une intervention des dents de sagesse, et je vais omettre de vous dire quoi que ce soit sur les attractions familiales qui piquent tellement les yeux que des protections sont vivement conseillées avant de monter dessus ! Allez, pour la fin, je vais tout de même prendre un paragraphe pour parler de deux choses que l’on a apprécié dans ce parc de merde ! La première, c’est le Flume Ride, signé Reverchon, pourvu de trois descentes et qui y va relativement mollo sur la théma (et c’est tant mieux). La seconde, c’est le Sling Shot (la boule avec les élastiques si vous préférez), inclus dans le billet d’entrée et qui vous propulsera à 80 mètres au-dessus du plancher des vaches pour une bonne dose de sensations totalement jouissives ! Voilà, c’est bon, ça suffit pour les compliments, Freizeit-Land Geiselwind n’en mérite pas plus ! Pour en revenir aux critiques acerbes, je ne vais pas pouvoir vous parler de la bouffe puisqu’on ne s’est surtout pas risqué à manger quoi que ce soit là-bas, en revanche, je peux vous dire que le parc n’est pas spécialement bien entretenu, que ce soit dans ses décors (si l’on peut qualifier ça de décors) ou ses espaces verts, et que si sa partie boisée n’est pas désagréable, celle plus proche de l’entrée semble avoir été dessinée sur Roller Coaster Tycoon. Pour finir, évoquons les opérateurs, parfaitement dans la lignée du côté forain qui transpire de tout le parc, et qui n’en n’ont constamment juste rien à faire de votre gueule ! Je conclurais donc ce chapitre et paraphrasant un de mes bons amis qui m’avait dit une fois qu’il y a des parcs qui arriveraient à vous dégoûter de votre passion. Eh bien Freizeit-Land Geiselwind en fait définitivement partie ! |
Chapitre 4 : Bayern’s best !
Parc visité : Bayern Park
Si vous cherchez quel est le meilleur parc de Bavière, ce n’est pas compliqué, c’est celui qui porte le nom de la plus grande des régions allemandes directement dans son patronyme, j’ai nommé Bayern Park ! Le parc est situé à une grosse heure de route à l’est de Munich, au milieu des champs, et son approche rappelle un peu celle de Nigloland, à la fois par la traversée d’une succession de charmants petits villages et de vallons boisés mais aussi parce que l’on est tout du long guidé par une énorme Free Fall Funtime qui se dresse à l’horizon ! Ok, c’est choupinet, c’est bucolique… et ça sent plus la Curry Wurst que la Poêlé du Bûcheron, on n’est donc pas à Niglo… mais, bref, qu’est-ce qu’on est venu faire à Bayern Park ?? Ben du crédit, tu crois quoi toi ?!! Le crédit, il y en a, cinq pour être très précis, dont quatre qu’on avait déjà faits. Dans le lot, je vous passe les deux Junior Coasters Zierer et le Butterfly, je vous rappelle que Freischütz, le X-Car Maurer ouvert en 2011 est une sombre merdre, bien trop intense et remuante pour être agréable, et j’en arrive au nouveau +1 qui nous intéresse, FirleFranz. Au menu, Family Launch Coaster Gerstlauer, avec une première chez le constructeur allemand, un Fast Switch, autrement dit un aiguillage qui change super rapidement de position (comme celui sur Toutatis par exemple) et qui permet au train d’emprunter une portion de circuit en marche avant puis en marche arrière, sans avoir à s’arrêter. Toutefois, au contraire de ce que l’on peut trouver sur la montagne russe du Parc Astérix, sur FirleFranz, ce n’est pas une partie mais tout le circuit que l’on fait en avant puis en arrière, le Fast Switch étant positionné juste avant la gare. Ainsi, malgré les seulement 240 mètres de rail que comporte l’attraction, vous en avalerez au total plus de 500 mètres, et les 2 catapultes à pneus qui jalonnent le parcours seront utilisées pas moins de cinq fois ! Et niveau sensations, c’est bien ? Plutôt oui, même si le fait de devoir franchir tous les éléments en avant et en arrière limite sans doute un peu les possibilités côté éléments afin que l’expérience reste agréable même lorsque l’on ne peut pas anticiper ce qui vient. A côté de cela FirleFranz est super confortable et on remarque d’ailleurs que les lapbars du train ont été modifiées par rapport aux autres modèles de Family Coaster Gerstlauer. Non, le seul point un peu négatif, c’est le débit… Le concept de circuit dans un sens puis dans l’autre est malin mais il impose cependant un fonctionnement à un seul train. Et même si celui-ci dispose de 20 places, ça reste un peu léger ! Ah et ne soyez pas surpris par l’apparence encore très « chantier » de l’attraction sur les photos, la déco ne sera finie que l’an prochain. Ça c’était pour la nouveauté de l’année… Y en a-t-il eu d’autres depuis notre dernière visite ? Oui, après tout c’était il y a 10 ans et on est à Bayern Park, pas à Disneyland Paris !! Première dans le lot : Voltrum, l’énorme Free Fall Funtime dont je parlais dans l’intro du chapitre. Neuf mètres plus haute que sa collègue de Nigloland, elle est pour sûr tout aussi efficace lorsqu’arrive le moment de la chute. Et avant cela, vous aurez pu profiter d’un superbe panorama sur la campagne bavaroise ! On continue ensuite avec du plus familial et Stadlgaudi 4D, une petite attraction média interactive conçue par Lagotronics, qui combine théâtre tournant façon Historama à Europa Park et Dark Ride interactif à la Toy Story Mania. En gros, vous prenez place sur une tournette, assis sur un banc orienté vers l’extérieur du cercle, vous mettez vos lunettes 3D et c’est parti pour quatre scènes de shoot entre lesquelles la tournette pivote à chaque fois d’un cinquième de tour (la cinquième position étant utilisée pour l’embarquement / débarquement). Le résultat est simple mais efficace, la déco est mignonne et le jeu, très pompé dans son gameplay et son visuel sur le hit de Disney, fonctionne parfaitement ! Après cela, dernière nouveauté avec Thaolon, une Family Tower Zierer, le truc classique par excellence mais qui comporte à Bayern Park deux spécificités ! Primo, on est en indoor et il y a de la déco, ce qui apporte toujours son petit plus, secundo, le programme est juste bien meilleur que d’habitude, pas que normalement il ne soit pas fun, juste que là tout est beaucoup plus fluide et les sensations de flottement plus prononcées ! Messieurs dames de chez Zierer, vous ne voudriez pas implanter ce programme sur vos autres Family Towers ?? Voilà, les nouveautés, c’est fait ! Y avait aussi un Sky Fly Gerstlauer mais on l’a zappé, trop de monde dans la file. Pour le reste, on était un peu short en timing donc on n’a pas pris le temps de refaire tout le tour du parc, qui est somme toute assez grand. Si vous voulez la visite complète, n’hésitez pas à aller jeter un coup d’œil à nos précédents Trip Report de Bayern Park. Là, on s’est contenté des attractions aquatiques (dont le très chouette Raft ABC Ride), d’une pizza vite fait bien fait (et plutôt bonne) et on a repris la route ! Conclusion sur Bayern Park ? Toujours très bien. Le parc est grand, verdoyant et donc hyper agréable. Côté attractions, il y a du choix, avant tout destiné à la famille, et c’est peut-être là qu’est le manque. Certes pour ce qui est des sensations plus fortes il y a l’excellente Voltrum mais Freischütz est une sombre bouse et le parc aurait donc besoin d’une montagne russe plus thrill digne de ce nom. Et pas besoin d’aller dans les extrêmes, hein, un Megalite à la Alpina Blitz ou un Infinity Coaster à la Mystic feraient parfaitement l’affaire ! |