Avril 2023
Revis notre aventure en live sur Instagram !
Le petit trip de début de saison qui va bien, le voici, le voilà !
Ok, techniquement ce n’est pas la première sortie de l’année vu qu’on vient déjà de passer une vingtaine de jours en Asie. Mais là, ce sont nos premiers parcs de 2023 en Europe, donc on va quand même dire que c’est le début de saison… et de toute façon, c’est moi qui tape donc c’est moi qui décide, non mais sans blague !
Premiers émois parconautiques de l’année donc, alors où est-on aller pour cela ? A votre avis ? Ben oui, sans surprise, à Europa Park ! Ok, c’est un grand classique, vu et revu, et même rererererevu, mais on sait qu’on va forcément y passer du bon temps, et surtout, le parc allemand venait d’ouvrir une nouveauté que l’on avait très envie de tester : Eatrenalin !
Toutefois, avant d’aller se régaler dans ce resto Dark Ride complètement fou, passage par la case Legoland Deutschland pour y découvrir le premier B&M ouvert en Europe depuis 2021, Maximus Flug der Wächters, rare exemplaire de montagne russe familiale créé par le constructeur suisse. Était-ce là une bonne idée ? Vous le verrez bien !
En attendant, tout le monde en voiture, et du monde, il y en a ! 14 participants, un record depuis la création de TnP !! Et quelque chose me dit qu’ils sont plus venus pour Eatrenalin que pour le mini Wing Coaster de Legoland !
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Le petit trip de début de saison qui va bien, le voici, le voilà !
Ok, techniquement ce n’est pas la première sortie de l’année vu qu’on vient déjà de passer une vingtaine de jours en Asie. Mais là, ce sont nos premiers parcs de 2023 en Europe, donc on va quand même dire que c’est le début de saison… et de toute façon, c’est moi qui tape donc c’est moi qui décide, non mais sans blague !
Premiers émois parconautiques de l’année donc, alors où est-on aller pour cela ? A votre avis ? Ben oui, sans surprise, à Europa Park ! Ok, c’est un grand classique, vu et revu, et même rererererevu, mais on sait qu’on va forcément y passer du bon temps, et surtout, le parc allemand venait d’ouvrir une nouveauté que l’on avait très envie de tester : Eatrenalin !
Toutefois, avant d’aller se régaler dans ce resto Dark Ride complètement fou, passage par la case Legoland Deutschland pour y découvrir le premier B&M ouvert en Europe depuis 2021, Maximus Flug der Wächters, rare exemplaire de montagne russe familiale créé par le constructeur suisse. Était-ce là une bonne idée ? Vous le verrez bien !
En attendant, tout le monde en voiture, et du monde, il y en a ! 14 participants, un record depuis la création de TnP !! Et quelque chose me dit qu’ils sont plus venus pour Eatrenalin que pour le mini Wing Coaster de Legoland !
Chapitre 1 : Maximus, mais il fait le minimum !
Parc visité : Legoland Deutschland
Legoland Deutschland… Ça fait combien de temps qu’on n’y était pas venu ? Ben je sais même plus, un bail en tout cas, ce qui n’est jamais très bon signe lorsque l’on fait le rapprochement avec les qualités du parc ! Toujours est il que, si on est là en ce début de mois d’avril bien frisquet et humide, c’est parce que le parc Lego allemand s’est enfin décidé à ouvrir une nouvelle montagne russe, sa première en 20 ans !! Répondant au doux patronyme de Maximus, der Flug der Wächters (Maximus, le vol des gardiens en VF), l’attraction est un Wing Coaster construit par le duo suisse B&M venant s’intégrer dans une nouvelle zone Mythica, dédiée à la licence maison du même nom. Euh attendez… Un Wing Coaster B&M dans un Legoland ?? Sérieux ?!! Ben oui… Cependant, n’allez pas croire que vous aurez affaire à un monstre façon GateKeeper (Cedar Point), Fenix (Toverland) ou Wild Eagle (Dollywood), non non non ! Là où est sur de la version XXS, avec 457m de longueur de parcours, une hauteur de 17m, une vitesse de pointe de 54km/h et tout de même deux inversions pour faire bonne figure. Pour autant, les trains sont les mêmes, toujours aussi larges, et toujours avec ces lapbars à harnais souples dont on n’a jamais été de grands fans. La seule différence est qu’au lieu d’avoir 7 ou 8 rangées de sièges, la version de Legoland n’en compte que 5. Ok, c’est bien joli tout ça, mais c’est quoi l’intérêt de prendre une aussi grosse machine, capable de faire des circuits de plus de 60m et d’atteindre facile les 120km/h, pour en faire un Junior Coaster ? Je ne suis pas certain qu’il y en ait un… Mais bon, encore faut-il tester ce Maximus avant de tirer des conclusions trop hâtives. Et c’est ce que l’on va faire derechef ! Comme dit quelques lignes plus haut, le Wing Coaster se trouve dans une nouvelle zone, Mythica, qui témoigne pas mal de la tendance à aller vers la facilité dans laquelle s’est engouffrée Merlin depuis quelques années déjà. L’ensemble est petit, assez vide et foncièrement cheap, et ce n’est pas les quelques jolies sculptures Lego qui parviennent à sauver quoi que ce soit ! Côté file d’attente, s’il n’y a rien à dire sur la partie extérieure, gros parc à bœufs sans autre forme de procès, il faut tout de même que je vous parle un peu de ce que l’on trouve une fois entré à l’intérieur du bâtiment de la gare. Déjà, c’est du gros hangar en tôle des plus basique, sombre et très peu décoré. Ensuite, l’éclairage se fait uniquement via 4 gros projos LED pointés sur les visiteurs et suffisamment forts pour vous éblouir lorsque vous les avez dans la figure ! Mis à part ça, pas grand-chose à voir, si ce n’est quelques figurines assez ridicules présentées dans des vitrines au centre de la pièce. Niveau débit, ce n’est pas tellement plus fou. On était un samedi mais il ne fallait pas pour autant compter sur un fonctionnement à deux trains, et tant pis s’il s’agit de la nouveauté de l’année. Ajoutez que la configuration des trains Wing Coaster ne facilite pas du tout le chargement et tout cela fait qu’on aura eu à attendre 20 à 30 minutes pour chacun de nos deux tours. Et comme vous allez pouvoir le lire juste après, ça ne les valait clairement pas !! Allez, on embarque, on baisse son harnais, ça checke un peu, ça traine beaucoup, mais finalement ça part ! Immédiatement après être sorti de la gare, le train prend un virage à 90° et s’engage sur le lift, haut d’à peine 17 mètres. La descente qui s’en suit ne doit pas faire plus de la moitié et débouche dans une spirale à 450°, où vous ressentirez pour la seule et unique fois du parcours un semblant de G positifs. Après cela, on redescend dans la première inversion, prise bien lentement, on fait deux trois zigzags, repasse la tête en bas et… ah ben c’est déjà fini ! 30 secondes du sommet du lift au frein de fin de parcours et puis c’est tout !! Verdict ? Euuuh… comment vous dire ? C’est quand même un peu une blague ce truc non ? Alors, ok, c’est de loin la montagne russe la plus impressionnante de Legoland Deutschland et, vu le niveau du reste, je n’ai aucun doute qu’elle va trouver son public et qu’elle permettra à de jeunes enfants de découvrir les joies d’un coaster un peu plus adultes, pour autant, je n’arrive pas à m’empêcher de voir ça purement et simplement comme un énorme gâchis ! Non mais c’est vrai, pourquoi prendre un modèle de coaster qui peut faire autant de chose et n’en exploiter que 20% voire moins ? Pourquoi ne pas avoir plutôt privilégier une bonne montagne russe familiales à sensations, ce ne sont pourtant pas les chouettes exemples qui manquent ! Vous avez par exemple le Junior Suspended Coaster de Vekoma, l’ATV Intamin façon Yukon Quad au Pal, le Family Launch Coaster de Gerstlauer, le Wooden midsize de chez Gravity Group, etc. Même quelque chose de similaire au Polar Xpedition de Legoland Billund (Family Coaster Zierer avec Free Fall) aurait donné un meilleur résultat ! Parce que là, Maximus, c’est juste de la confiture donnée aux cochons ! En plus d’être extrêmement court, le coaster se traine comme ce n’est pas permis, il n’y a aucune sensation de vitesse, aucune variation de G amusante, pas le moindre élément marquant, bref, c’est le néant absolu. Pire, les vibrations ne sont pas absente et on a clairement l’impression que le train est trop large et trop lourd pour négocier sans effort ce circuit plutôt compact. En un mot comme en cent, c’est juste un bon gros ratage !! Allez, je crois qu’on en a assez dit sur cette montagne russe qui ne méritait sans doute pas une telle tartine ! Passons donc au reste du parc dont je me suis rendu compte qu’il n’existait en fait aucun Trip Report sur TnP. Toutefois, au vu de la piètre qualité de ses installations et d’une certaine flemme qui m’envahit, on va la faire courte, en mode bullet point et par catégories de manèges. Les coasters : - Das Grosse Lego Rennen (la Grande Course Lego) : une Wild Mouse Mack freinée à fond tous les 20m et donc sans le moindre intérêt ! - Feuerdrache : l’habituelle montagne russe dragon des parcs Lego, dont l’intérêt réside principalement dans son petit bout de Dark Ride en début de parcours plutôt que dans la partie gravitaire extrêmement fade. - Drachenjagd : le même Dragon en version Junior signée Gerstlauer A noter d’ailleurs que les deux derniers étaient fermés lors de notre visite, sans bien sûr que l’on soit prévenu à l’entrée ! Les attractions à sensations : - Power Builder : un ensemble de robots Kuka, dans la même veine de Danse avec les Robots au Futuroscope. Fut un temps, on pouvait soit même programmer son tour en assemblant des séquences de mouvement. Mais ça, c’était avant ! - Flying Ninjago : un Sky Fly Gerstlauer, très classique et pas testé. Les attractions aquatiques : - Dschungel X-pedition : un Flume Ride signé Intamin avec 2 descentes dont une en arrière. L’attraction est joliment thématisée mais ça manque un peu d’animation sur le parcours - Käpt’n Nicks Pirantenschlacht : un Splash Battle Mack, pas testé, le temps ne s’y prêtait vraiment pas ! Les Dark Rides : - Temple X-pedition : un Dark Ride interactif Mack/Lagotronics à thème égyptien, présent dans pas mal d’autres parcs Lego. C’est court, cheap et l’ambiance est particulièrement nulle, en grande partie dû fait qu’il n’y a aucune musique pendant le tour ! - Ninjago the Ride : un autre Dark Ride interactif, cette fois signé Triotech et pourvu d’un système de tir sans les mains (comme Spiderman aux Walt Disney Studios). Si le concept est sympa, la jouabilité est juste catastrophique : on ne comprend pas du tout où l’on tire et on ne marque des points que parce que l’écran est rempli d’ennemis et qu’il en impossible de ne pas en toucher un ou deux, même sans faire exprès ! Quant au reste, je ne vais pas m’éterniser dessus, c’est beaucoup de manèges classiques en mode Lego. Pêle-mêle vous avez un train, une tour panoramique, des tasses, un Round-A-Bout, des tours Zierer ainsi que des Sunkid, des jet skis, plusieurs petits circuits pour les enfants, un Fire Brigade, un Horse Track et j’en oublie encore sans doute quelques-uns. En revanche, ce qu’on ne va pas oublier, c’est le Miniland, toujours l’un des endroits les plus sympas des parcs Legoland. Oui parce qu’autant aucune attraction du parc n’est particulièrement marquante, autant ces reconstitutions de villes et de paysages en petite brisques Lego, ça a vraiment de la gueule, et on ne peut qu’être admiratif de la patience et du temps que construire tout cela a dû demander ! Allez, c’est tout pour cette visite de Legoland Deutschland ! La conclusion ? Ben c’est que ce n’était pas bien foufou… Je l’ai dit un paragraphe plus haut, le gros problème de ce parc (et des parcs Lego en général, hors peut-être celui de Billund), c’est que ça manque cruellement d’attractions emblématiques, fun et qui méritent d’être refaites plusieurs fois dans la journée. Là, on passe juste d’un manège à l’autre, en ayant limite déjà oublié le précédent lorsque l’on embarque sur le suivant ! En somme, c’est juste extrêmement fade, en comble pour un parc dédié à des briques de plastique aux couleurs pétantes ! |
Chapitre 2 : Hit-renalin
Parcs visités : Europa Park, Rulantica
Faisons un bon qualitatif depuis le chapitre précédent (en même temps que trois heures de route) pour nous retrouver dans le meilleur parc préféré des familles dans l’univers (ou un truc comme ça) : Europa Park ! Depuis la dernière fois (septembre 2020), il ne s’est pas passé grand-chose du côté du parc sec. Ok, les Radeaux de la Jungle ont été rethématisé en mode Sissi et compagnie, le totalement indispensable quartier liechtensteinois a fait son apparition et un gros coaster ainsi que la première phase d’un quartier croate sont train de sortir de terre pour 2024. Du coup, on se refait les classiques mais on ne s’attarde pas non plus et on passe rapidement au parc aquatique Rulantica où là il y avait de la nouveauté, de la vraie, que je vais d'ailleurs vous détailler dans les paragraphes qui suivent ! Vikinglop Le dernier toboggan en date de Rulantica, installé dans une troisième tour construite pour l’occasion. Au programme, MatRacer de chez Proslide, avec huit pistes plus ou moins en parallèle que l’on descend la tête la première sur un matelas en mousse. On ne va pas y aller par quatre chemins, il s’agit là du meilleur toboggan de tout le parc aquatique ! C’est rapide, il y a de bonnes doses de G dans les virages (préférez pour cela les pistes 4 et 5) et la grande descente juste avant la ligne d’arrivée est particulièrement impressionnante ! Tellement fun qu’on pourrait l’enchaîner en boucle ! Seul problème, la tour est vraiment super haute et on finit par se lasser d’en grimper les escaliers ! A noter sinon que, dans cette fameuse tour, il y a aussi toute une nouvelle zone de relaxation. Si vous cherchez un peu de calme entre deux glissades, je vous recommande fortement celle du deuxième étage, c’est tellement planqué qu’il n’y a jamais personne ! Svalgurok On passe à l’extérieur afin de découvrir cette grande structure de jeux, là encore signée Proslide. Il parait que c’est la plus grande d’Europe et je veux bien le croire tant la chose est énorme ! Dessus vous trouverez pas moins de neuf toboggans, dans l’ensemble plutôt gentillets, avec tout de même un coup de cœur pour celui en spirale serrée (Spiralrok) et un gros boooouh c’est nul pour celui avec la soupière (Stormrok). Pour le reste, c’est du jet d’eau à tout va, des litres de flotte qui se déversent absolument partout, sans oublier l’indispensable saut qui se vide sur la structure à intervalle régulier. Au final, c’est très chouette, même par moins de 10° comme ce fut le cas lors de notre visite ! Tønnevirvel Une attraction aquatique… dans un parc aquatique. Étonnant qu’on n’en voit pas plus souvent. C’est vrai, il y a bien le Shoot the Chute de Noah’s Ark, le ciné 4D en mode sous-marin de Yas WaterWorld mais à part ça… et bien il y a Tønnevirvel, un Twist’n’Splash Mack, sorte de Tea Cups avec canons à eau pour une bataille navale des plus fun ! Mal de bras garanti à la fin du tour !! Snorri Snorekling VR Ok, là c’est plus anecdotique mais on va tout de même en parler vite fait… Parce que c’est Europa Park et qu’il semble désormais impossible de ne pas trouver de la VR partout dans ce resort, y compris à Rulantica donc, où l’on vous propose accompagner la petite pieuvre Snorry dans une aventure « under the sea » plutôt rigolote. Après, est-ce que ça vaut les 6€ demandés en supplément du billet d’entrée ? Pas sûr… Et voilà pour Rulantica. Ouvert depuis même pas quatre ans (inclus deux ans de Covid), on ne pourra pas dire que le parc aquatique d’Europa Park s’est reposé sur ses lauriers ! Et si l’offre nous avait semblé manquer un brin de folie lors de notre première visite, force est de constater que les derniers ajouts sont vraiment qualitatifs et poussent de plus en plus le site vers le sommet des meilleur water parks européens. Bon après, y a encore un peu de boulot avant d’espérer détrôner le must incontestable qu’est Siam Park à Tenerife ! Europa Park c’est fait, Rulantica aussi. On remballe ? Vous êtes fous !! On n’a même pas encore parlé de la véritable raison de notre visite dans le resort allemand !! Eatrenalin, ça vous dit quelque chose ? Oui ? Non ? En même temps, peu importe vu que je vais tout de suite vous en parler ! Déjà Eatrenalin, qu’est-ce que c’est ? Je pense que le mieux pour le décrire est de parler d’une expérience culinaire comme il n’en existe nulle part ailleurs au monde ! Pour la faire simple, c’est un resto gastronomique dans lequel on prend place à bord de fauteuils individuels, autonomes et sans rail, qui se déplacent comme par magie de salle en salle. Chacune de ces dernières est ensuite l’occasion d’explorer un composante du goût, le tout noyé dans tout un habillage média hyper immersif. Ok, dis comme ça, ça a l’air à minima original mais est-ce que c’est bien ? Non, ce n’est pas bien… c’est extraordinaire ! Sincèrement, je pense avoir fait mon lot d’expériences immersives (et aussi de bons restos), qu’il faut y aller pour me surprendre, et bien ça a été le cas avec Eatrenalin. Je suis juste resté sur le cul ! Et tout le reste de la troupe aussi ! Faut le dire (et le saluer), Europa Park a vraiment inventé quelque chose de totalement révolutionnaire avec ce concept et il ne fait aucun doute que c’est la meilleure chose que le parc allemand ait jamais créée, de très très très très loin !! Oui mais alors pourquoi c’est si génial ? Déjà parce qu’on mange bien ! J’avoue que c’était un peu ma crainte avant de faire Eatrenalin, à savoir que le concept prenne le pas sur ce que l’on a dans l’assiette. Mais non, pas du tout, c’est vraiment au niveau d’un restaurant gastronomique, aucun doute là-dessus ! Ensuite, l’immense force d’Eatrenalin, c’est d’offrir une expérience de plus de deux heures où l’on passe notre temps à aller de surprise en surprise ! Parmi les éléments marquants, il y a tout d’abord le système de transport totalement génial, avec ces 16 fauteuils qui circulent de manière hyper fluide dans une même pièce, dansant entre eux et se frôlant souvent à moins de 20cm. Ok, ça ne va pas vite mais c’est juste dingue ! Et puis la manière dont ils vous sont présentés en début de parcours, wow, c’est juste incroyable et tellement bien pensé ! Après cela, il y a aussi les apparitions des plats, à chaque fois différentes, parfois très étonnantes et constamment impeccablement mises en scène. Enfin, il y a tout le décor, les vidéos, la musique, l’ambiance générale, qui, parfaitement combinés, vous plongent dans ce monde à part, en dehors du temps et de l’espace. D’ailleurs, en parlant d’espace, mention spéciale à la salle qui vous y envoie et où les effets de simulation sont particulièrement bluffants ! Vous l’aurez donc compris, Eatrenalin, c’est vraiment quelque chose à vivre ! Je sais que ça coûte la peau des fesses mais je vous invite très très vivement à tenter l’expérience, en dormant pas loin, on en ressort un peu alcoolisé. Croyez-moi, vous ne regretterez pas d’y avoir lâché 195€ ! Pour une fois, Europa Park a réussi à créer un produit totalement abouti, bien pensé, bien fini, qui se tient de bout en bout, et surtout, qui ne sent pas le réchauffé mais vous plonge, au contraire, dans quelque chose de totalement nouveau ! Chapeau bas, on y retournera à coup sûr !! |