Avril 2022
Trouver des crédits pas trop loin de chez soi devient de plus en plus difficile pour nous, pauvre chasseurs au compteur bien fourni que nous sommes ! Ainsi, entre les trips grandioses à l'autre bout de la planète ou ceux visant à tester les nouveautés les plus sexys de l'année pas trop loin de chez nous, il y a aussi ces voyages en mode abattage de coasters, où l'on s'enchaîne tous les parcs d'une région sans trop se poser de questions, et peu importe si la plus grosse montagne russe que l'on croisera sur notre chemin est un vieux Pinfari des années 80 !
Dans le genre, on avait déjà bien ratissé les Alpes suisses et autrichiennes en 2020 et 2021. Du coup, pour un peu se changer des montagnes, direction cette fois-ci l'ouest de la France, paradis du petit parc perdu ! Sur le papier, rien de bien foufou côté crédits mais, peu importe, on n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise (et il y en a eu).
Au final, on aura visité pas moins de 8 sites en 3 jours et voici sans plus attendre ce que l'on en a pensé !
Trouver des crédits pas trop loin de chez soi devient de plus en plus difficile pour nous, pauvre chasseurs au compteur bien fourni que nous sommes ! Ainsi, entre les trips grandioses à l'autre bout de la planète ou ceux visant à tester les nouveautés les plus sexys de l'année pas trop loin de chez nous, il y a aussi ces voyages en mode abattage de coasters, où l'on s'enchaîne tous les parcs d'une région sans trop se poser de questions, et peu importe si la plus grosse montagne russe que l'on croisera sur notre chemin est un vieux Pinfari des années 80 !
Dans le genre, on avait déjà bien ratissé les Alpes suisses et autrichiennes en 2020 et 2021. Du coup, pour un peu se changer des montagnes, direction cette fois-ci l'ouest de la France, paradis du petit parc perdu ! Sur le papier, rien de bien foufou côté crédits mais, peu importe, on n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise (et il y en a eu).
Au final, on aura visité pas moins de 8 sites en 3 jours et voici sans plus attendre ce que l'on en a pensé !
Chapitre 1 : Ridez des Pommes !
Parcs visités : Parc de la Vallée, Family Park, Papéa Parc, Foire de Nantes
Aaaaah les Pommes… ou Big Apple… ou Wacky Worm… ou non-mais-attend-on-va-pas-faire-ce-truc-c-est-pour-les-gosses (je l’ai souvent entendu celle-là), bref, je veux parler de ces Junior Coasters italiens - voire parfois turcs - au circuit simplissime et parfaitement ridicule, lot de tout chasseur de crédits qui se respecte ! Eh ben je peux vous dire qu’on en a croisées au cours de ce périple dans l’ouest de la France, ce qui vaut bien de leur consacrer un chapitre, en parlant au passage des parcs dans lesquels on les a trouvées ! Pomme 1 : Parc de la Vallée Première étape, on est dans les Deux Sèvres, perdus au milieu de nulle part, dans une vallée où coule la rivière Argenton et où se trouve donc un petit parc, le Parc de la Vallée. Côté look, si le cadre est relativement agréable, pour le reste, c’est très forain, avec des manèges aux couleurs souvent criardes, posés de-ci de-là, sans autre forme de procès ! Dans le lot il y a notre fameuse Pomme, ex-Chenille de Nigloland, ainsi qu’un autre ancien du parc champenois en la personne du Bobsleigh, qui a trouvé au Parc de la Vallée sa nouvelle demeure. Côté parcours, rien n’a changé (et le freinage est toujours aussi violent), en revanche, côté déco, c’est bien plus sommaire ! Oubliez le chalet suisse et les sapins, là c’est juste une grosse dalle en béton et puis c’est tout ! Pour trouver les deux autres crédits, vous aurez ensuite à longer la rivière sur environ 200 mètres pour atteindre la deuxième partie du parc, légèrement en retrait par rapport à la première. S’y trouve tout d’abord une espèce de Butterfly Togo qui n’ouvrait que dans l’après-midi et qu’on n’aura du coup pas pu tester (on avait un planning à tenir). Dommage, à défaut d’avoir l’air super palpitant, ça avait au moins le mérite d’être inédit ! L’autre crédit, très discutable dans ce qualificatif, est une espèce de luge à roulettes dévalant un canal en polyester façon toboggan aquatique. Vu que le fonctionnement de l’attraction est entièrement manuel (il faut pousser soi-même son embarcation jusqu’au sommet du parcours avant de monter dedans), on a pu s’en faire un tour sans avoir à attendre un opérateur. Côté sensations, si ça ne casse pas trois pattes à un canard (voire pas même deux, ni une), la descente a pour elle d’être plutôt rigolote et surtout bien plus confortable que ce que l’aspect extérieur pouvait laisser présager. A noter que l’attraction (répondant au nom catalogue de Turbobob) est fabriquée par une entreprise locale, qui en a livré quelques autres exemplaires à plusieurs parcs du coin. Après cela, on ne s’est pas trop attardé dans ce Parc de la Vallée. Il n’y avait pas d’autres attractions qui nous tentaient et il fallait surtout que l’on enchaîne avec la Pomme suivante !! Pomme 2 : Family Park Arrêt suivant, on est maintenant au sud de Tours, à Family Park, un parc qui partage pas mal des caractéristiques de son prédécesseur, à savoir un site arboré et pas désagréable mais un look trop forain pour que l’on ait envie de trop s’y attarder. Pour autant, il y a du crédit à faire avec… ben oui, une Pomme, c’est la thématique de ce chapitre non ? Et puis un Four Man Bob Zierer, modèle assez rare (et plus tout jeune) et ce n’est personnellement pas moi qui vais le regretter tant il présente un intérêt limité, surtout si on le compare à d’autres créations de la même époque, notamment les différentes séries des Jet Star Schwarzkopf. A côté de cela, on s’est fait un petit tour de Grande Roue pour admirer la vue et un autre de Flume parce qu’il faisait plutôt chaud. Pour le reste, on a laissé de côté les Bumper Boats, chaises volantes, autos tamponneuses, petit train et autres carrousels en tout genre. Notons sur une touche plus originale que Family Park possède également un Frisbee Huss et un Aerobat Rush Flight Technical Park mais, comme ce ne sont pas le genre de manèges que Scherzie et moi apprécions particulièrement, on les a également zappés ! C’est que la Pomme suivante nous attendait !! Pomme 3 : Papéa Parc Direction à présent Papéa Parc, un parc situé non loin du centre du Mans. Ici on est déjà sur un site de plus grande ampleur que les deux précédents, bénéficiant toujours d’un cadre verdoyant mais surtout d’un travail un peu plus poussé pour ce qui est de l’intégration des différentes infrastructures. Côté crédits, en complément de la Pomme tant attendue, on a eu droit à un coaster Soquet dans la plus pure tradition des réalisations du constructeur français, virages à l’inclinaison approximative inclus, ainsi qu’à un grand Tivoli Zierer, rescapé du parc américain Geauga Lake, fermé à la fin de la décennie 2000 (et qu’on avait visité il y a… 15 ans !!). Pour le reste, on est toujours dans les grands classiques avec du Carrousel, du Bateau Pirate, de la balade en tracteur, du petit train et tout ce qu’il faut de manèges made in Italy. Dans le lot, on s’est fait un tour de Mega Disk’O (qui avait beaucoup de mal à atteindre les sommets de sa rampe), une descente sur un toboggan en canots Metallbau et un peu de Flume Ride (modèle forain classique avec les 2 descentes), sans oublier l’indispensable séquence de grande roue. Last but not least, on a testé le gros Flat Ride local, un Typhoon 360 signé Technical Park, qui envoie ce qu’il faut mais ne fait malheureusement qu’une seule rotation complète au cours de son cycle. Une ou deux de plus n’auraient franchement pas été de trop ! Voilà donc pour Papéa Parc... Au choix des trois parcs visités ce jour-là, je pense sans trop me tromper que c’était le meilleur ! Ok, ce n’est clairement pas le genre de visite qui mérite un détour de 200km mais si vous êtes dans les parages, qui plus est avec de jeunes enfants, ça peut valoir le coup d’œil le temps d’une après-midi. Pomme 4 : Foire de Nantes Comme si on n’avait pas eu notre dose de machines foraines dans ce chapitre, on a encore ajouté cet arrêt à la foire de Nantes où nous attendait la quatrième et dernière Pomme de la journée ! Et après, c’est bon, il est temps de passer à autre chose !! |
Chapitre 2 : Alpine dans le Bocage
Parcs visités : Clécy Gliss, Normandie Luge
Après les Pommes, place aux Alpine Coasters ! Pour cela, direction la Normandie, et plus précisément la Suisse Normande comme ils disent là-bas, parce qu’apparemment, avoir trois collines, un bout de falaise et une petite rivière en fond de vallée suffit à vous autoriser à utiliser le qualificatif ! Vérification faite auprès des autorités compétentes (enfin surtout pétantes), on est quand même bien loin des paysages helvètes… Qu’importe, le coin regorge de suffisamment de pente pour y trouver deux luges sur rail à environ une demi-heure de route l’un de l’autre, on n’en demandait pas tellement plus ! Clécy Gliss On commence avec un modèle Brandauer, perdu à tel point qu’on a d’abord cru que le GPS nous jouait des tours. Mais non, là, tout au fond du trou du cul de la Normandie, v’là-t-y pas qu’on a trouvé un champ sur lequel zigzaguait le rail caractéristique du constructeur autrichien (racheté depuis par Sunkid). Au programme, parcours de 650m, ce n’est pas très long mais les sensations étaient assez bonnes et c’est à peu près tout ce qu’on en attendait ! Normandie Luge Une cinquantaine de kilomètres de route départementale plus tard, on arrive à présent au Viaduc de la Souleuvre, un ancien pont de chemin fer conçu par Eiffel, dont il ne reste aujourd’hui plus que les piliers maçonnés, désormais utilisés comme supports à différentes activités sportives type saut à l’élastique, tyrolienne ou balançoire géante. Juste à côté se trouve le +1, sous la forme d’un Alpine Coaster Wiegand, première génération s’il vous plait, à savoir sans ces fichues lames de frein magnétiques tout du long qui ont une fâcheuse tendance à vous brider la vitesse sur toute la descente. Non, là c’est certes court (570m) mais ça va à pleine balle et les G latéraux dans les virages se font particulièrement bien sentir ! Voilà donc pour ce chapitre vite fait bien fait ! Après s’être échauffé à coup de Pomme et d’Alpine, on va pouvoir maintenant passer au parc qui nous a le plus marqué du voyage ! Tremblez Islands of Adventure, Phantasialand et autre DisneySea, treeeemblez, car voici l’heure de la visite de… suspens… |
Chapitre 3 : L’occasion fait le breton !
Parc visité : Kingoland
… Kingoland !!! Ok, j’y suis peut-être allé trop fort ! N’empêche on a été positivement surpris par ce parc… que vous ne connaissez pas ! Ah oui, c’est vrai, où avais-je la tête ! Kingoland, ça se trouve en Bretagne, non loin de Vannes, le long de la voie rapide qui relie Rennes à Lorient (ah ben ça, les bretons, ils ont des crêpes mais pas d’autoroutes hein). Le parc est assez récent puisqu’il a ouvert en 2014, soit la même année qu’Energylandia, dont la trajectoire de croissance a néanmoins été quelque peu différente, merci les fonds européens pour le développement ! Toujours est-il que malgré les moyens sans doute limités, les promoteurs du parc ont voulu offrir à leur public quelque chose de mieux qu’une simple fête foraine sédentarisée, et on les en remercie ! Il y a donc des thèmes, de la musique qui va avec et souvent beaucoup d’efforts déployés dans les décors qui font plaisir à voir ! il faut d’ailleurs croire que cela paie puisque Kingoland était de loin le parc le plus remplis de tous ceux que l’on a visité sur ce week-end pascal ! Et sinon, côté attractions, qu’est-ce qu’on a de beau ? Si on regarde du côté des crédits, c’est 100% de l’occas’, mais ça a à chaque fois été suffisamment bien retapé et intégré pour que l’on puisse croire que ce sont des manèges neufs ! Speed Chenille Les plus âgés d’entre-vous se rappelleront peut-être les débuts au Jardin d’Acclimatation de ce petit Powered Coaster Soquet avant un passage par Fami P.A.R.C. dans les années 2000. Au programme, circuit tout gentillet au ras du sol, avec une seule micro bosse permettant de passer au-dessus de ce qui semble être le générateur électrique de l’attraction. Pour les gamins, c’est très bien, pour nous, c’est juste un +1 ! Apollo SteamRocket On passe en mode Steampunk avec ce Zyklon Pinfari récupéré d’OK Corral. Kingoland y a ajouté pas mal de déco, notamment dans une jolie (et très longue) file d’attente, remplie d’objets chinés à gauche à droite en mode cabinet de curiosités. Côté sensations, ça passe sans trop d’encombres (et ce malgré la présence de harnais aux épaules), non, le seul reproche que l’on pourra faire à cette montagne russe, c’est son débit totalement catastrophique, la faute au fonctionnement à seulement deux wagons quatre places ! Gold Rush Le dernier crédit en date ouvert à Kingoland (c’était en 2020). Ce coup-ci, c’est à un Mini Mega Coaster Pinfari que l’on a à faire. Bien plus Mini que Mega cela dit, le grand huit (venant à la base de Gulliver’s Milton Keynes en Grande Bretagne) ne dépassant pas les 10 mètres de hauteur ! Pour autant, le parcours est sympa, super fluide, et on retrouve un beau travail fait sur la file d’attente, même si on est légèrement en deçà de ce qui a été fait sur Apollo SteamRocket. Après les montagnes russes, place aux autres machines à sensations locales parmi lesquelles figurent un Enterprise (avec effet de feu s’il vous plait), une tour signée SBF tout ce qu’il y a de plus inoffensive ou encore l’indispensable Bateau Pirate, SBF lui aussi. Côté Water Ride, on oubliera rapidement le Flume Ride sans grand intérêt et on notera en revanche la présence d’un Splash Battle (SBF, encore eux) joliment décoré et pas avare en effets d’eau vicieux ! Ensuite il y a les attractions indoor… Le Cinéma 6D (au moins 2 de trop pour nous) et l’expérience VR, ça ne nous disait rien, en revanche on s’est laissé tenter par Old West Shooting, un Dark Ride interactif tout ce qu’il y a de plus old school, qui n’a pas été sans nous rappeler le célèbre El Paso Special de Bobbejaanland avec ses pistolets Nintendo. Autre expérience testée, la Maison Hantée, en mode Walk Through horrifique très light, même si les enfants qui étaient dans le groupe avec nous ne partagerons sans doute pas mon avis ! Pour finir, il y a toute la panoplie des habituelles petites attractions. Dans le genre, envoyez les carrousels, tacots, autos tamponneuses, petits chevaux, montgolfières et consorts. Quasi à chaque fois, il y a un petit quelque chose de fait côté intégration, ce qui fait toujours plaisir à voir ! Voilà donc pour cette visite de Kingoland. Même si c’est loin d’être le parc le plus grandiose de France, ça aura tout de même été une bonne surprise et une belle découverte ! Pour un parc même pas vieux de 10 ans, le site est déjà bien achalandé en attractions et, comme dit en intro, ça fait on ne peut que saluer les efforts qui sont faits côté thématisation, même si c’est fait avec les moyens du bord (qui ne sont clairement pas énormes) ! En somme, continuez comme ça ! |
Chapitre 4 : Petit parc par-ci, petit parc par-là !
Parcs visités : Ange Michel, Parc des Naudières
On finit avec… ben avec les parcs dont je ne vous ai pas encore parlé ! Ils sont au nombre de deux : Ange Michel à côté du Mont Saint… Michel, bravo, et le Parc des Naudières, dans la proche banlieue de Nantes ! J’imagine que vous n’en aviez jamais entendu les noms, ce qui peut se comprendre, on n’est pas franchement sur du site de première catégorie ! Mais la vie de chasseur de crédit c’est aussi ça, des parcs sur lesquels on n’a pas passé des heures et des heures à baver devant notre écran avant de finalement y aller, des découvertes quoi, qui peuvent être bonnes ou mauvaises, c’est selon… et c’est d’ailleurs ce que l’on va tout de suite voir avec ces deux-là ! Ange Michel Le parc se situe à même pas 10 kilomètres de la côte, en surplomb d'une vallée au fond de laquelle coule la rivière Sélune. L’accès se fait par la petite route communale qui va bien, du genre de celles où l’on se demande s’il y a bien des crédits au bout ! Eh ben oui, il y en a ! Trois même… Ah non, deux en fait, y en a un (un Junior Spinning Coaster Gosetto) qui s’est fait porter pâle. Scrgngn ! Allez, qu’importe, on passe les portes du parc et on se rend rapidement compte que l’endroit est tout choupinet, vallonné et surtout bien vert comme on aime ! On se dirige sans trainer vers le premier crédit, que l’on a déjà repéré en faisant le chemin entre le parking et l’entrée. Comme celui-ci se trouve en contrebas, on peut au choix prendre des escaliers ou, tout de suite plus foune, emprunter un toboggan en tapis, accessoirement casse-gueule comme il faut ! Quant au coaster, c’est un de ces innombrables Spinning Coasters Zamperla comme on les adore (ou pas), répondant ici au nom de Tornado. Pour ne rien arranger, cette version s’est avérée être particulièrement molle sur les rotations, qui sont généralement la seule chose qui peut remonter le niveau de ces machines ! Pour trouver l’autre montagne russe d’Ange Michel, il faut ensuite traverser tout le parc, et ça monte pas mal ! Là-haut sur la colline nous attend un petit coaster Soquet, qui s’avère être l’ex Express de Fraispertuis City. N’ayant pas testé la bestiole du temps où elle était du côté de Jeanménil, ça sera donc un +1, qui passe étonnement bien, sans le moins coup de G latéraux indésirable… et sans la grosse dose de sensations non plus, faut pas déconner ! Après avoir fait glinger à deux fois notre compteur, on a passé un peu de temps à explorer le reste du parc. On y aura testé une descente en canots assez marrante et bien humide, une tour Zamperla permettant d’apercevoir le Mont Saint Michel, un Aerobat Technical Park ainsi qu’un Disk’O judicieusement placé en surplomb d’une partie du site. Au final, on sera resté environ deux heures à Ange Michel, ce qui pour un parc de cette taille n’est pas trop mal. Comme dit en intro, on a été positivement surpris par ce qu’on y a découvert, que ce soit par la verdure omniprésente, les aménagements souvent malins ou les quelques éléments de déco toujours réussis, je pense par exemple à ce corps de ferme utilisé pour la gare de la Flash Tower Zamperla où au backdrop simple mais efficace en mode hangars d’aviation pour l’Aerobat. En somme, si d’aventure vous passez du côté du Mont Saint Michel et que vous avez quelques heures à tuer, n’hésitez pas à aller faire un saut à Ange Michel, vous ne pourrez que faire une agréable visite ! Parc des Naudières On change radicalement de style et, autant Ange Michel nous a positivement surpris, autant le Parc des Naudières ce n’a vraiment pas été la joie, limite ce fut le site le plus craignos du séjour ! L’endroit est petit, assez laid, et les « attractions » qu’il comporte sont avant tout des aires de jeux et des gonflables. Enfin dans le lot, il y a deux plus ou moins montagnes russes : un Force Two Zierer qui fait mal et un autre de ces Turbobob (la luge à roulettes comme au Parc de la Vallée), qui passe limite mieux que le crédit allemand. Emballez, c’est pesé… et on s’est barré ! C’est ainsi que se conclut ce petit Trip Pasqual… Certes, on ne peut pas dire qu’il ait été spécialement chargé en gros parcs de malade, pour autant, on a eu quelques bonnes découvertes, en particulier avec Kingoland et Ange Michel. Bien entendu, on reste sur du petit parc, mais ça fait du bien aussi de temps en temps y aller à la cool, sans avoir à courir d’attraction en attraction parce qu’elles sont trop dingues et qu’il faut qu’on en enchaîner des tours et des tours. Mine de rien, ça nous aura par ailleurs fait +12 en 3 jours, ce qu’on commence à avoir du mal à faire en Europe sans devoir partir dans des contrées particulièrement reculées… où les parcs ne sont pas forcément meilleurs que dans l’ouest français !! Contents donc, en espérant que vous l’avez également été de lire ce compte-rendu… D’ici au prochain ! |