Novembre 2014
Revis notre aventure en live !
Floride, nous revoilà ! Quatre ans après notre précédent voyage, il était temps de repasser par la case Orlando pour tester les nouveautés ouvertes depuis, en tête desquelles le très alléchant Wizarding World of Harry Potter Diagon Alley.
Pour le coup on avait prévu un voyage assez compact : 10 jours en tout en pour tout, ce qui nous laissait largement le temps de refaire le tour de l'ensemble des parcs locaux et d'en ajouter quelques nouveaux tels que Legoland Florida ou Fun Spot America. Quant à la dream team du jour, comme d'hab, y a le Scherzie et bibi mais aussi un Baloo et un Sebio qui allait découvrir les joies de la Floride pour la première fois !
Voilà, pas besoin d'en faire des tonnes, j'imagine que ce qui vous intéresse, plus que la passionnante organisation de ce trip, ce sont surtout les parcs que l'on a visités ! Sans transition, on passe donc au compte-rendu !!
Revis notre aventure en live !
Floride, nous revoilà ! Quatre ans après notre précédent voyage, il était temps de repasser par la case Orlando pour tester les nouveautés ouvertes depuis, en tête desquelles le très alléchant Wizarding World of Harry Potter Diagon Alley.
Pour le coup on avait prévu un voyage assez compact : 10 jours en tout en pour tout, ce qui nous laissait largement le temps de refaire le tour de l'ensemble des parcs locaux et d'en ajouter quelques nouveaux tels que Legoland Florida ou Fun Spot America. Quant à la dream team du jour, comme d'hab, y a le Scherzie et bibi mais aussi un Baloo et un Sebio qui allait découvrir les joies de la Floride pour la première fois !
Voilà, pas besoin d'en faire des tonnes, j'imagine que ce qui vous intéresse, plus que la passionnante organisation de ce trip, ce sont surtout les parcs que l'on a visités ! Sans transition, on passe donc au compte-rendu !!
Chapitre 1 : Sea Live
Parc visité : Sea World Orlando
Commençons à fond, commençons poissons avec Sea World Orlando, royaume des bébêtes de la mer, du gros orque Shamu et de quand même deux des plus intéressantes montagnes russes du coin, Manta et Kraken. Comme j'ai déjà dit tout le bien que j'en pensais de ces deux crédits dans le précédent Trip Report consacré à ce parc, je ne vais pas revenir dessus, plutôt m'intéresser aux nouveautés encore totalement inédite pour nous ! La plus récente, c'est Antarctica, un Dark Ride à base de pingouins et de véhicules trackless et dynamiques signés Oceaneering, à qui l'on doit également le moyen de transport du chef d'oeuvre Universal qu'est Spiderman (et ceux de Transformers aussi mais celui là c'est déjà moins une réussite). Le problème c'est que mis à part ces effectivement très chouettes wagonnets, le reste de l'attraction est une catastrophe, où se mêlent histoire cucul la praline, décors kitch à vomir et températures négatives idéales pour vous flanquer une bonne crève alors qu'il fait 25° dehors ! Autre nouveauté, pas tellement plus glorieuse, Turtle Trek. La thématique, y a pas à chercher bien loin, ce sont les tortues (y avait pas besoin d'avoir un doctorat en langue anglaise pour trouver), et la mis en scène, ben c'est un gros dôme de projection 3D. Comme pour Antarctica, si côté technique y a pas grand-chose à redire, pour ce qui est du scénario, c'est juste affligeant, l'histoire étant noyée dans une bouillie écolo ultra simpliste où les soigneurs de Sea World sont érigés au statut de héros et le discours tellement pavé de poncifs gnangnans qu'on se croirait un film familial de Noël ! Voilà donc pour les dernières additions de Sea World Orlando. Au cas où je n'aurais pas été assez clair, elles ne nous ont pas plu du tout ! Heureusement qu'il y avait Kraken et Manta pour se remonter le moral !! Non parce que sinon ce parc c'est quand même pas terrible terrible... On a laissé sa chance au show Shamu et on l'a bien regretté tant on a frôlé à maintes reprises l'endormissement quand ce n'était pas l'envie de vomir avec leurs nunucheries de communion avec la nature. Non mais je vous jure, même Disney n'arrive pas à un tel niveau de guimauve et pourtant ils sont très forts dans cet exercice ! Bref, tout ça pour dire que Sea World c'est vraiment pas notre came et que je pense que la prochaine fois qu'on passera par la case Orlando on n'aura pas trop de mal à s'éviter une revisite ! Ok on en reparlera peut-être s'ils rajoutent un nouveau méga crédit de la mort qui tue, je suis un homme de principe mais faut pas non plus pousser... |
Chapitre 2 : Faucon en fasse une tour !
Parc visité : Busch Gardens Tampa
Après les poissons, passons au deuxième parc floridien de Sea World Entertainment , Busch Gardens Tampa ! Ah là c'est tout de suite mieux !! Le parc est plus grand et moins vieillot que son confrère, et surtout, on y trouve la meilleure collection d'attractions à sensations de Floride, composée entre autres de trois grands huit B&M, d'un Launch Coaster Intamin à triple catapultes ou d'une toute nouvelle tour de chute libre signée également du constructeur helvétique. Falcon's Fury, c'est son nom, a la particularité d'être la première Free Fall au monde à positionner ses passagers face au sol. Pour ne rien gâcher, la tour fait une bonne centaine de mètres de hauteur, ce qui n'était pas pour diminuer la petite sensation de stress qui nous a envahi alors que nous nous en approchions. Pour autant, ce n'est pas ça qui allait nous arrêter, ni une ni deux, nous voici dessus en route vers les sommets ! Plus que la chute, le moment particulièrement jouissif sur cette attraction tout de même bien barge est celui où la nacelle bascule subitement au sommet de la tour pour vous positionner face vers le sol ! Alors que durant la monté le siège baquet et le harnais souple vous plaquent au siège et vous empêchent ainsi de regarder en bas, là on se retrouve brutalement à contempler le plancher des vaches en se disant justement : « la vache ! ». Et puis arrive la chute, un peu moins intense que je l'imaginais mais bien sympa quand même. Le retour à l'horizontale se fait quant à lui sans encombre au dernier tiers de la hauteur, avant que la nacelle ne soit freinée. Conclusion, très bonne machine, capricieuse (on n'a pas échappé à une ou deux pannes) mais bien marrante. Après je dois bien dire que je préfère encore et toujours la Stand Up Tilt de Drayton Manor mais bon, je ne suis pas non plus contre le fait qu'ils en construisent une ou deux autres comme celle de Busch Gardens Tampa ! Chose peu coutume, on n'a pas commencé par les crédits. Oui parce que, ok le parc n'en a pas construit de nouveau depuis 2011, mais nous la dernière fois qu'on était là c'était en 2010 et, à l'époque, on avait en plus eu droit à un Kumba en maintenance. Un +2 ? Oui monsieur, un +3 même vu qu'on a pu aussi faire la seconde voie de Gwazi avant sa fermeture définitive. Kumba Honneur à l'ainé, au premier gros coaster B&M même vu qu'avant son ouverture en 1993 le duo suisse n'avait que construit quelques Stand Up ainsi que le prototype de Batman the Ride. Pour Kumba, ils passaient donc à la vitesse supérieure, avec un circuit de 1200 mètres de longueur, 44 mètres de hauteur et pourvu de sept inversions. Pour ceux qui connaissent Dragon Khan, Kumba quasiment pareil, à un looping près. Le circuit est long, puissant, sans temps mort, bien loin des montagnes russes parfois fadasses que B&M a pu sortir ces dernières années. Gros plus sur Kumba également, la très bonne intégration du circuit au milieu de la végétation, si bien qu'on ne voit presque jamais quel sera l'élément qui suivra celui que l'on est en train de traverser. En somme, du très grand art et un coaster qui n'a rien perdu de ses charmes malgré ses 21 printemps ! Cheetah Hunt On fait un bon de 18 ans en avant avec ce LSM Coaster construit par Intamin en 2011. Au programme, encore un circuit très long (1350 mètres), encore une très belle intégration dans le paysage mais des sensations beaucoup plus soft, Cheetah Hunt se voulant plus familial que les trois monstres B&M locaux. Niveau parcours, ça commence par deux catapultes LSM successives, qui envoient le train au sommet d'une espèce de figure en huit soutenue par un étrange assemblage de poteaux, au final bien plus joli à regarder de l'extérieur qu'intéressant en termes de sensations une fois à bord. Arrive alors une jolie descente bien raide dans un tunnel puis la traversée de la savane africaine où s'enchaînent un grand S Turn et une vrille très étirée (la seule inversion du circuit). Après un coup de freins de mi parcours arrive alors la partie la plus intéressante de Cheetah Hunt, une succession de virages très serrés au ras de l'eau qui utilise l'ancien canal de feu Rhyno Rallye. Une troisième et dernière catapulte et nous voici reparti vers la gare via deux autres S-Turn séparés par un passage dans une tranchée. Voilà pour ce qui est du parcours. Et pour ce qui est du verdict ? Franchement bof, je n'ai pas accroché... Certes il y a de bonnes choses comme la longueur et le génial passage au-dessus de l'eau mais pour le reste, Cheetah Hunt manque cruellement de dynamisme et de fun, la faute à des éléments peu intéressants et souvent trop étirés pour que l'on ressente une quelconque sensation de vitesse. Bon ben c'est ballot tout ça. En même temps, côté gros crédits, Busch Gardens était déjà bien équipé donc on ne va pas pleurer s'il y en a un dans le lot qui n'est pas topissime ! Oui parce que maintenant que toutes les nouveautés sont testées, on va pouvoir enchaîner les tours de Sheikra à gogo, constater que Montu est bien plus intense que dans nos souvenirs et puis aussi se refaire du Kumba et du Falcon's Fury, se poser avec une bière, aller voir un show même, bref, profiter à fond de ce génial parc qu'est Busch Gardens Tampa. Parce qu'au contraire de Sea World, celui-ci on y reviendra, nouveauté ou pas ! |
Chapitre 3 : Lego et les couleurs
Parc visité : Legoland Florida
Oooooh un nouveau parc. Ah mais c'est un Legoland... Tout de suite moins excitant hein ! Alors parait que c'est le plus grand au monde. Mouais, je ne suis pas certains que ça change grand-chose... Attendez, attendez, ne fuyez pas tout de suite, c'est aussi le seul Legoland a ne pas avoir été construit de toute pièce (enfin de toute brique dans le cas présent). Avant Lego, le parc s'appelait Cypress Gardens et était réputé pour ses très jolis jardins tropicaux. Bon après c'est vrai que passé la Main Street où l'on sent encore les restes de l'ancien parc et les fameux jardins que Merlin a eu la gentillesse de conserver, ça ressemble quand même beaucoup à n'importe quel autre Legoland. Oui mais maintenant on y est, tant pis, en avant la visite ! Déjà le plus important, les crédits ! Legoland Florida en compte quatre : un passionnant Junior Coaster Vekoma thématisé Dragon, un époustouflant Junior Inverted, là aussi Vekoma, flanqué d'une déco d'école de pilotage, l'indispensable et tellement surfreinée Wild Mouse Mack et... oho... un crédit inédit, un mini Wooden de chez Martin & Vleminckx fonctionnant avec un train GCI. Et s'il y en a bien un à sauver dans le lot, c'est bien lui ! Certes ça reste de la montagne russe pour enfant mais le parcours est plutôt chouette, très doux et avec même quelques airtimes ! Ensuite, les attractions à sensations. Euh, on est chez Lego je vous le rappelle... Et si d'habitude on peut espérer trouver quelques Robocoaster pour se faire secouer, dans la version floridienne, vous pouvez oublier ! Les attractions aquatiques alors... Ah là y en a une, un Splash Battle de chez Mack, très humide s'il vous plait ! Avouez que vu le climat local ça fait néanmoins bien peu... Ou alors serait-ce pour vendre plus de suppléments pour le parc aquatique ? Merlin n'oserait pas faire ça, rassurez-moi... Pour le reste du petit manège en veux-tu en voilà, grosso modo les mêmes que dans tous les autres Legoland genre Fire Brigade, petits bateaux, école de conduite, safari, tours Heege, j'en passe et des pas meilleurs. Accessoirement y aussi le sempiternel Dark Ride Sally à thème égyptien, une Flying Island (reste de Cypress Gardens) et, si vous êtes d'humeur à vous faire un spectacle, le show de ski nautique ! On termine avec le Miniland, USA uniquement, oui faudrait pas faire peur aux autochtones en leur montrant des pays qu'ils ne seraient même pas capables de pointer sur une carte. Donc là y a du Vegas, du New York, du San Francisco, du L.A., du Washington (Barack et toute la famille inclus) ainsi que du Star Wars parce qu'il faut bien rentabiliser la licence ! Au final, vous l'aurez compris, Legoland Florida n'est pas le parc le plus indispensable du coin. Si vous avez déjà visité un parc Lego et que vous ne courrez pas après les crédits, inutile de faire un détour par celui-ci au risque de finir comme nous avec une très grosse impression de déjà vu ! |
Chapitre 4 : Fun spots
Parcs visités : Fun Spot USA, Fun Spot America
Orlando, ce ne sont pas que les Disney, Universal ou autre Sea World, il y a aussi les Fun Spot ! Ah, là ça nous fait une belle jambe ! Non mais ça sent encore le chassage de crédit compulsif surtout !! Vous n’avez pas totalement tord… Cela dit, on trouve tout de même une ou deux choses plutôt sympathiques dans chacun des deux Fun Spot, ce que l’on va voir derechef, sans pour autant y passer des plombes ! Fun Spot USA Le premier Fun Spot se trouve à Kissimmee, à une petite vingtaine de minutes de route de Disney World. Côté crédits, y en a deux et ce sont autant de bouses, à savoir un Spinning Zamperla et Kiddie de chez Miler. Je vous passe ensuite la longue collection de Flat Rides pas bandants et d’attractions foraines dont la déco criarde pique bien les yeux, encore plus lorsque le matin même on était encore dans le New Fantasyland chez la souris ! Non, s’il y a deux choses à retenir de Fun Spot version Kissimmee c’est la piste de karts avec la méga descente et surtout le plus haut Sky Coaster au monde ! 90m en chute libre, sanglé dans un harnais et retenu uniquement par quelques câbles, je peux vous dire qu’à côté Falcon’s Fury, c’est de la rigolade !! Alors certes ça fait un peu mal au portefeuille lorsqu’il s’agit de passer à la caisse (35$ le tour tout de même), il n’empêche, ça les vaut ! Fun Spot America Direction ensuite Orlando pour ce deuxième Fun Spot, situé à quelques centaines de mètres d’Universal Resort à peine. Alors que la version de Kissimmee date des années 90, celle-ci est beaucoup plus récente puisqu’elle a ouvert en 2013. Et ce qui fait plaisir à voir, c’est qu’ils se sont un peu plus foulé pour ce qui est des montagnes russes ! La première, répondant au nom de Freedom Flyer, est un Junior Inverted Coaster Vekoma, clone du Kvasten de Gröna Lund. Si en Suède, l’intérêt principal de l’attraction vient de ses interactions avec le décor et les autres manèges qu’elle frôle, à Fun Spot, à part de la pelouse et quelques allée, y a rien. Du coup, c’est tout de suite moins rigolo ! Cela dit, pour une dose de bonnes sensations, suffit de faire quelques mètres jusqu’à la gare de White Lightning. Cette montagne russe en bois GCI est à ce jour la plus petite signée du constructeur américain, et aussi la seule à bénéficier d’une structure en acier. Néanmoins, faudra finir par s’y faire, ce ne sont pas les statistiques qui font une bon grand huit ! Car malgré ses seulement 20 mètres de hauteur et ses 620 mètres de longueur, ce White Lightning est une petite bombe, au circuit certes bref mais pourtant ultra dynamique, bourré d’une bonne dizaine de bosses riches en airtime et de changements de direction bien brusques dont GCI a le secret ! On n’est pas passé loin du gling aaah, il aurait juste fallu un chouilla plus de longueur… Alors ok, le Wooden il cartonne, mais quoi d’autre encore à Fun Spot America. Un troisième crédit tout d’abord, un peu moins dingue que le précédent vu qu’il s’agit de Kiddie Miler de service. Et puis ensuite, comme à Fun Spot USA, beaucoup de manèges forains, des karts et aussi un très gros SkyCoaster, cela dit un peu moins haut que celui de Kissimmee… Sur ce, ça suffit pour les Fun Spot ! Si celui de Kissimmee n’a pas grand intérêt si ce n’est son SkyCoaster, je vous conseille vivement de ne pas rater celui d’Orlando. C’est à même pas 10 minutes de voiture du complexe Universal, le parc est gratuit, ouvert tous les jours jusqu’à minuit et s’y trouve donc ce petit bijou qu’est White Lightning, peut-être pas le plus grand mais tout de même un des plus foune crédit d’Orlando à côté duquel il serait vraiment dommage de passer ! |
Chapitre 5 : Miami, bitch !
Parc visité : -
On quitte les parcs le temps d’un chapitre… Oui, je sais, c’est dur mais faut savoir faire des pauses sinon c’est le burn out ! L’étape du jour c’est Miami Beach et que voulez-vous que je vous dise là-dessus si ce n’est que c’est le pied, il fait un temps de rêve, y a des bars partout, la playa… et plein de méduses dans l’eau !!!! Non mais c’est quoi ces cochonneries, impossible de se baquer ! Bah, du coup, on a pu passer plus de temps à siroter des cocktails sur Ocean Drive… Et puis, comme un chapitre sans parc c’est tout de même un peu tristounet, on a fait un petit crochet par Uncle Bernie’s Theme Park, situé à Fort Lauderdale. Le lieu est particulièrement étrange car il mixe cinéma drive in, marchés aux puces, expo de bagnoles et ce qu’ils osent donc appeler un parc à thèmes ! Alors c’est sûr que si on considère la rouille, la crasse et les attractions qui tombent en lambeaux, alors là, effectivement, il y a bien une thématique ! Perso, j’aurais plutôt tendance à dire que c’est le parc le plus craignos que j’ais jamais visité aux Etats Unis… Enfin, vous jugerez avec les photos ! |
Chapitre 6 : Around the (Disney) World, part 1
Parcs visités : Animal Kingdom, Magic Kingdom
J’aime pas Disney World ! J’adore Disneyland Californie, je me régale d’un Tokyo Disneyland, j’aime bien la version de Hong Kong, surtout depuis qu’ils ont rajouté le Mine Train et Mystic Manor, Disneyland Paris je… euh… joker, et je n’aime donc pas Disney World ! C’est trop grand, trop étouffant, trop laborieux en termes de transport de parc en parc, y a trop de gamins, de poussettes et, pour ne rien arranger, il y a désormais ce fichu FastPass+ qui parvient à supprimer tout ce qu’il pouvait rester de spontanéité dans la visite du resort… Non là si vous voulez avoir une chance de faire un tour de Soarin’ ou de Toy Story Mania, faut s’y prendre un mois à l’avance pour réserver son FastPass+, organiser le reste de sa journée autour et tant pis si vous pensiez faire autre chose à ce moment-là, limite faut s’estimer heureux d’avoir trouvé un créneau sur les trois jours de présence sur le resort ! Autre point énervant, maintenant quasi toutes les attractions des parcs sont équipées de FastPass+, donc, quand vous n’en avez pas, bonjour l’attente, surtout dans les parcs assez mal achalandés que sont Disney’s Hollywood Studios et Animal Kingdom ! Et puis enfin, n’oubliez pas de bien charger votre portable la nuit. Parce qu’en 10 voire 12 heures d’ouverture de parc et de consultation régulière de l’appli mobile, y a des batteries qui souffrent ! Bref tout ça pour dire que je n’aime pas Disney World et que j’aime encore moins depuis l’arrivée des FastPass+ !! Cela étant dit, je vais quand même vous faire un petit compte-rendu de la visite, y a quelques nouveautés de-ci de-là desquelles il faut que je vous cause ! On commence par les royaumes, parce que c’est magique les royaumes… et aussi animal, grrr ! Animal Kingdom Ici rien de neuf si ce n’est le théâtre du Roi Lion qui a bougé pour laisser le champ libre au futur Avatarland. A côté de cela le parc est toujours aussi magnifique, trop léger côté attractions mais dans le lot il y en a quand même quelques unes de très chouettes comme Kilimanjaro Safari, Kali River Rapids ou Everest. Voilà, rien d’autre à ajouter, on enchaine ! Magic Kingdom Même si ce n’est pas le plus original des parcs de Disney World, ça reste de très loin le plus complet et le seul où il est possible de passer une journée entière sans trop tourner en rond. Accessoirement c’était aussi là que ce trouvaient les nouveautés qu’on était venues testées, toutes réunies dans le New Fantasyland, et avec, en point d’orgue, le crédit Seven Dwarf Mine Train. Niveau déco, rien à redire, c’est superbe, extrêmement chiadé, avec des détails en veux-tu en voilà, des animatronics bluffants de réalisme, une file bien sympathique avec plein de petites animations interactive pour faire passer le temps, bref, sur ce point, c’est un sans faute ! Là où ça coince en revanche, c’est sur l’attraction elle-même. Un Mine Train à Disney World, wow, voilà qui est original ! C’est pas comme s’il y avait déjà Expedition Everest et pire, dans le même parc, Big Thunder Mountain !! Ah oui mais là y a les wagons qui se balancent… C’est sûr que ça change tout, surtout que les oscillations en questions sont souvent peu perceptibles. Ajouter à cela que côté circuit, c’est très très court et on en arrive à la conclusion que c’est bien mignon tout ça mais ça ne sert pas à grand-chose ! On continue dans le New Fantasyland avec la Petite Sirène. Rien de bien nouveau pour nous vu qu’on connaissait déjà l’attraction par la version de California Adventure qui est en tout point identique, du moins, pour ce qui est du circuit. En ce qui concerne le bâtiment et la file d’attente, c’est bien plus travaillé au Magic Kingdom. Mais bon, au final, ça reste assez bof bof et on ne retrouve pas dans cette Petite Sirène les charmes des grands Dark Rides Disney. Quoi d’autre encore… La Belle et la Bête, avec un mini quartier s’il vous plaît, comportant une taverne proposant la version locale de la Butterbier à seulement 10$ le verre (même pas peur), un nouveau resto à table correct niveau nourriture mais pas du tout donné côté addition, et une rencontre de personnages nouvelle génération. Attendez, attendez, je me lis bien là ? On a fait une rencontre avec des personnages ?!! Eh attendez, nous on teste tout ! Et puis j’avais vu la vidéo du très chouette effet de miroir et j’avais donc envie de voir ça en vrai ! Alors effectivement, ce miroir, il est bien bluffant et je n’ai pas compris comment ça marchait tellement c’est rapide, quant au reste, ça a sans doute été la meilleure surprise de toute notre visite à Disney World ! Non mais c’est vrai, c’est juste super bien fait ce meet’n’greet ! Le décor est chouette, les acteurs font ça bien, y a ce petit côté intime d’être « seulement » une vingtaine en tête à tête avec Belle et surtout, y a encore quelques animatronics bien hallucinants en tête desquels un Lumière plus vrai que nature ! Allez, concluons à présent sur ce New Fantasyland… Je crois que l’expression que j’emprunterais pour le qualifier dans son ensemble ce serait un truc du genre « mignon tout plein mais pas grand-chose de neuf sous le soleil de Floride ». On sent très clairement que Disney n’a sur le coup pas cherche à être innovant, simplement à faire ce qu’il sait que ces visiteurs aiment : un peu de princesses, un peu de coaster familial, un joli emballage et le tour est joué ! Et pour le reste du Magic Kingdom ? Ben Splash Mountain est toujours aussi excellent et les deux autres montagnes locales également fort réjouissantes, qu’elles soient de l’espace ou du grand tonnerre. Après tous grands classiques Disney, de Peter Pan à Small World en passant par Pirates, Haunted Mansion ou Jungle Cruise se refont toujours sans déplaisir. Comme je l’ai dit en intro, le Magic Kingdom reste le parc de Disney World le plus sympa à visiter, le seul où l’on ne finit pas par tourner en rond, même si les attractions sont bien moins originales qu’à Epcot, Animal Kingdom ou aux Studios ! |
Chapitre 7 : Around the (Disney) World, part 2
Parcs visitées : Epcot, Disney's Hollywood Studios
Suite de notre tour du monde, du Disney monde of course, avec Epcot et Disney's Hollywood Studios. Epcot Un grand concept que ce parc... Disney voulait que ce soit la ville de demain, ça a fini en une espèce d'exposition universelle permanente... Honnêtement j'ai du mal à statuer sur mon ressenti concernant Epcot. Si d'un côté je ne suis clairement pas fan du site, de l'autre, je ne le déteste pas pour autant. Peut-être est-ce dû au fait qu'on n'y trouve rien de ce que comporterait n'importe quel autre parc d'attractions. Ou alors est-ce que côté rétro et un brin naïf, qui nous présente d'un côté les technologies de demain dans des bâtiments tout droit sortis des années 80 (Future World) et de l'autre veut nous faire croire à l'union des peuples du monde au travers de pavillons débordants de clichés (World Showcase). Enfin bon, on s'en fiche un peu, voyons plutôt s'il y a de la nouveauté dans le coin. Nouveauté, c'est peut être un grand mot, mais ils ont relifté Test Track, mettant au rebus le concept du crash test au profit d'un univers techno où l'on vous invite à concevoir la voiture de demain. Les crash dummies et le côté un peu second degré qui allait avec ont ainsi été remplacés par un univers résolument moderne et des décors principalement faits de projections dont le graphisme n'est pas sans rappeler le film Tron. Au final, ça ne change pas grand-chose à cette attraction qui reste bien marrante et sans trop d'hésitation la meilleure du parc (ou du moins la seule qui peut valoir le coup d'être refaite). Après... Et bien après c'est tout, rien d'autre de neuf. Du vieux en revanche, ça y a, à commencer par Soarin' dont il serait vraiment temps qu'ils changent le projecteur et passent au numérique ! Là les taches sur la pellicule sont presque plus grosses que les nuages dans le ciel ! Sinon on s'est refait un tour d'Universe of Energy, de Spaceship Earth, de Mission Space, de Living with the Land et de Nemo. Dans tous les cas, c'est pas déplaisant, juste on le fait une fois et ça suffit. Ah et puis on a aussi du refaire Journey into Imagination with Figment, merci Sebio. Ça pour le coup c'était bien déplaisant !! Ensuite World Showcase. Là y a pas tellement à faire si ce n'est bouffer, ce qu'on a fait, à nouveau au pavillon marocain, comme en 2010. J'avoue que j'aime vraiment bien ce resto : on y mange bien, c'est pas trop cher pour Disney World et on a même droit à une petite danse du ventre ! Cela dit, je crois que ce que je préfère dans ce restaurant, c'est le fait qu'il n'y ait personne et surtout pas un môme à l'horizon, le pied ! Pour la suite on aurait bien enchaîné avec une digestion dans American Adventure, qu'on avait raté lors de notre précédente visite. Rebelote, on a raté la séance, et comme la suivante était 45 minutes plus tard, on s'est dit que les parait-il superbes animatronics de cette attraction pourraient bien encore patienter quelques années avant qu'on ne leur rende visite ! Disney's Hollywood Studios Si à Epcot il y avait un semblant de nouveauté à tester, aux Studios, que dalle ! Néanmoins, refaire quelques tours de ToT et un peu de Toy Story Mania, on n'allait pas dire non. Sauf que voilà, Toy Story Mania : 90 minutes d'attente, ToT et Rock'n Roller Coaster : une heure ! Ok ben ça sera un seul et unique tour de chaque, en FastPass pour les deux premiers, et en single rider pour le troisième, point barre ! Pour le reste, un coup de Star Tours (j'accroche vraiment pas du tout à cette nouvelle version qui sent trop l'image de synthèse), un peu de ciné 4D en compagnie des Muppets (marrant et alleluia, ils sont passés au numérique !!!), un peu de ciné tout court avec Great Movie Ride (ou comment rendre chiante une attraction dont la thématique est pourtant passionnante) et, last but not least, le show musical de la Petite Sirène, plutôt sympa, surtout pour les grands enfants des années 80 que nous sommes ! Voilà, pas grand-chose à ajouter sur les Disney's Hollywood Studios. Comme Animal Kingdom, le parc possède peu d'attractions, qui du coup saturent très vite, et ce malgré la présence de nombreux spectacles en offre parallèle. Allez, on n'y pense plus et on passe au vrai spécialiste du parc à thème cinématographique, Universal ! Ensorcellement en perspective... |
Chapitre 8 : Studios Tour
Parc visité : Universal Studios Florida, Universal Islands of Adventure
Bon alors là les enfants on arrive aux choses très sérieuses. Disney, Busch Gardens, tout ça c'est bien gentil mais à côté d'Universal, c'est juste de la gnognote ! Non parce que soyons clair, Universal Orlando c'est le meilleur resort au monde !! C'était déjà vrai lors de notre passage il y a quatre ans, ça l'est encore plus aujourd'hui alors qu'ont ouvert entre temps quatre nouveautés incluant la V2.0 du Wizarding World of Harry Potter ! Le sorcier, on en parlera dans le chapitre suivant, il mérite largement d'en avoir un pour lui tout seul ! Du coup c'est quoi les trois autres nouveautés ? Et bien vous avez Despicable Me Minion Mayhem, Transformers the Ride et la zone Simpsons. Tout cela c'est à Universal Studios et c'est tout de suite que je vais vous dire ce qu'on en a pensé ! Transformers the Ride (en 3D s'il vous plait) Un clone de l'attraction ouverte en 2012 à Universal Studios Singapore et Hollywood, qu'on n'a pas plus appréciée en Floride que lorsqu'on l'avait testée en Californie il y a deux ans. Si ce n'est la technologie et la qualité des projections, il n'y a pas grand-chose à sauver dans ce cousin malheureux de l'immense Spiderman, qui n'arrive même pas à la cheville et son illustre parent tant la storyline de l'attraction est confuse et inintéressante. La question est alors, pourquoi l'avoir construit en Floride alors que Spiderman est déjà présent juste à côté à Islands of Adventure. Euh je sais pas... Peut être parce que la saga robotique a déjà rapporté presque trois milliards de recette dans le monde... Ça aide non ? Et puis il suffit de voir que l'attraction est la troisième plus prisée des Studios après Despicable Me et Harry Potter pour se dire qu'ils n'ont pas du avoir tord les gens du marketing qui ont eu cette grande idée... Despicable Me Minion Mayhem Moi Moche et Méchant, les Minions, j'imagine que tout le monde connait... Et bien voici leur attraction, un simulateur 3D remplaçant celui de feu Jimmy Neutron (pas une grande perte). Si les préshows sont particulièrement drôles et réussis, le film en lui-même n'a que peu d'intérêt et est surtout trop classique pour se distinguer du lot. Pas mauvais mais pas indispensable en somme... Springfield Fort de la razzia faite par les produits food et merchandising Harry Potter sur les porte-monnaies de ses visiteurs, Universal s'est payé une autre licence parfaitement apte à faire vendre de la bouffe et des produits dérivés customisés, les Simpsons ! Ainsi la zone dédiée aux personnages jaunes les plus connus d'Amérique n'est rien de plus qu'un grand food court où vous pourrez consommer à l'envie de la Duff, du Flamming Moe, des Krusty Burgers et plus si affinité. Ok, je suis mauvaise langue, ils ont aussi ajouté un manège d'avions thématisés sur les deux extra-terrestres baveux de la série... Mouais, au final, ce qui reste le plus sympa dans cette nouvelle zone, c'est l'attraction Simpsons qui était déjà là avant ! Ok, voilà pour les nouveautés d'Universal Orlando. Suite à tout le bien que j'en ai dit, vous avez peut-être du mal à comprendre ce que je voulais dire lorsque je parlais d'un resort encore mieux qu'avant. Ah mais ça c'est parce qu'on n'a pas encore parlé du sorcier, ce qui sera chose faite dès le prochain chapitre ! |
Chapitre 9 : It’s a Kind of Magic
Parcs visitées : Universal Studios Florida, Universal Islands of Adventure
Il y a quatre ans, on s'était pris une bonne grosse baffe en découvrant le premier Wizarding World of Harry Potter à Islands of Adventure. A l'époque Universal avait totalement révolutionné l'industrie des parcs à thèmes car jamais aucun n'avait offert une expérience immersive aussi complète, et j'inclus DisneySea dans le lot ! La particularité chez le petit sorcier, c'est que la thématique ne se décline pas qu'en décors et en attractions, elle continue dans les boutiques avec le marchandising, dans les restaurants avec ce qu'on vous y sert comme plats, dans les toilettes, etc. En somme vous faites des attractions Harry Potter, vous acheter Harry Potter, vous manger Harry Potter et ça ne s'arrête pas du temps que vous ne sortez pas de la zone ! Au vu de l'immense succès rencontré par l'ouverture de Hogmeade en 2010, il n'a pas été étonnant de très rapidement apprendre qu'une extension allait voir le jour. Faut dire que l'univers d'Harry Potter est suffisamment vaste pour se décliner largement sans pour autant tomber dans la redite. Et là où Universal a été très malin, c'est que plutôt que de coller la nouvelle zone à celle existante, ils l'ont mise dans les Studios et ont créé un funiculaire traversant les backstages entre les deux parcs pour les relier. Du coup, si vous voulez vivre l'expérience complète, y a pas le choix, il faut un billet 1 jour 2 parc. Et quand on sait qu'il est vendu 40$ plus cher que le 1 jour 1 parc, on ne peut qu'imaginer la rentrée d'argent supplémentaire que cela a dû générer ! Enfin, assez de blabla, passons à ce Wizarding World V2.0, baptisé Diagon Alley. La zone est donc située dans les Studios et a remplacé l'attraction des Dents de la Mer (pas une grande perte). Chose originale, Diagon Alley est totalement cachée du reste du parc. De l'extérieur, on a droit à une grande enfilade de façades londoniennes, qui ne laissent en rien présager de ce qui se trouve derrière. A peine y a-t-il quelques indices comme la présence du Knight Bus ou l'apparition à intervalles réguliers d'un elfe à l'une des fenêtres. Après, même s'il n'y a aucune enseigne ni aucun panneau qui en indique l'entrée, il n'est pas du tout difficile de trouver l'accès à Diagon Alley, suffit de suivre la foule ! On passe donc sous les façades, à travers un mur de briques et là, abracadabra, envoyez la claque visuelle ! Les créatifs d'Universal avaient déjà fait très très forts avec Hogsmeade mais là ils se sont surpassés !! Déjà le fait qu'aucune intrusion visuelle (attraction, bâtiment d'une autre zone, etc.) ne vienne casser l'illusion renforce grandement l'immersion. Ensuite les boutiques et les restos sont plus nombreux, donnant ainsi encore plus de vie à l'ensemble. Autre très gros point positif, la variété des environnements à l'intérieur de cette zone pourtant assez petite : ainsi vous passez de la ruelle principale à un passage couvert puis à Knockturn Alley, l'allée des mages noirs plongée dans les quasi ténèbres ! Ajoutez les innombrables détails, clins d'oeil, animations de vitrines, bruitages divers et variés, et aussi le fait que les visiteurs déguisés sont forts nombreux (et parfois un peu bizarres lorsqu'il s'agit d'adultes en groupe) et voilà qui renforce encore l'immersion. Enfin, n'oublions pas le dragon. Alors certes il ne bouge pas mais je peux vous dire qu'à chacun de ses crachat de flamme, c'est comme si toute la zone retenait son souffle : les gens s'arrêtent de marcher, se tournent vers lui, sortent leur portable et attendent le moment fatidique où le feu jaillira de la gueule béante du monstre. Franchement, ça fonctionne tellement bien que le faire bouger n'aurait quasi rien apporté de plus ! Et puis il y a bien sûr il y les deux nouvelles attractions, à commencer par Harry Potter and the Escape from Gringotts. Derrière se nom à rallonge se cache une espèce de Dark Coaster 3D totalement hors norme, sorte de mix entre Revenge of the Mummy et Spiderman, le tout noyé dans des décors à couper le souffle et sans doute les plus grands écrans 3D jamais créés pour une attraction ! Je ne rentrerai pas dans le détail du parcours ni des effets, mieux vaut que vous gardiez la surprise. Ce que je peux vous dire en revanche, c'est que c'est ultra impressionnant, peut être pas aussi dingue et original que Forbidden Journey mais néanmoins plus abouti techniquement, notamment en ce qui concerne l'intégration des projecteurs, des éclairages, etc. Après, c'est vrai que c'est encore de la 3D et qu'entre Spiderman, Transformer, Despicable Me, Terminator et un ou deux autres que j'oublie, ça commence à faire un peu beaucoup. Mais d'un autre côté c'est toujours tellement bien fait que c'est un défaut somme toute mineur... On passe ensuite au Poudlard Express, le train qui relie Diagon Alley (et donc les Studios) à Hogsmeade situé dans Islands of Adventure. Pour l'emprunter, il faut sortir de Diagon Alley et pénétrer dans la reconstitution de la gare de King's Cross qui se trouve juste à côté. Une fois le ticket multi parcs vérifié (c'est bête mais ça fait aussi partie de l'immersion, comme un contrôle de billet dans une vraie gare), et après être passé au travers du mur (via un effet spécial aussi simple qu'efficace), on arrive sur le quai 9 ¾ où nous attend l'énorme train, plus vrai que nature ! Là encore, l'illusion est parfaite. Le train a beau être un funiculaire (tiré par un câble et donc totalement silencieux), la fumée que crache la locomotive et les bruitages de sifflements et de crissements des roues font qu'on y croit totalement ! A l'intérieur, là aussi c'est juste sublime. Les compartiments sont cosys à souhait et les projections et autres effets spéciaux qui rythment la ballade arrivent parfaitement à vous plonger dans l'ambiance, mention spéciale aux Démentors et aux petites araignées qui se baladent sur les vitres ! Au final, voilà un sans faute pour Universal. Le pari de faire aussi bien sinon mieux qu'en 2010 avec le premier Wizarding World était loin d'être aisé, il a été gagné avec brio ! Diagon Alley est un chef d'oeuvre d'immersion, sans doute une des plus belles zones jamais crée dans un parc à thèmes (avec Mysterious Island à DisneySea), servie par deux attractions extraordinaires et un complément parfait à Hogsmeade, à la fois dans la continuité en termes de thématique et totalement différent en termes de traitement. Autre bénéfice de cet ajout, le fait d'abolir totalement la frontière entre les Studios et Islands of Adventure. Grâce au Poudlard Express, ils ne forment désormais plus qu'un seul et gigantesque parc, pourvu de ce qui est sans conteste la meilleure collection d'attractions de la planète ! Chapeau bas (de sorcier bien entendu) ! |
Chapitre 10 : Diagon-clusion
Une conclusion sur ce voyage en Floride ? Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise, avec des parcs d'un tel niveau, il est difficile de ne pas en repartir satisfait !
La principale leçon à retenir de ce nouveau voyage dans la Mecque des parcs de loisirs est que, quatre ans après l'arrivée de premier Wizarding World chez Universal, Disney n'a pas réussi à se ré-hisser au niveau de son grand concurrent. Bien que mignon et qualitatif, le New Fantasyland reste en effet très fade en termes d'offres et surtout terriblement vu et revu.
C'est donc en ayant pour une fois presque pitié pour la souris qu'on voit qu'en face la barre est repoussée encore plus loin avec Diagon Alley, dont l'incroyable univers immersif et les attractions ultra poussées aussi bien thématiquement que techniquement; renvoient les Tower of Terror, Mission Space et autre Expedition Everest à l'âge de pierre ! Tout cela en attendant AvatarLand... Enfin, ça c'est pour 2017, et d'ici là, Universal ne compte pas relâcher la pression, confère les arrivées prochaines de King Kong, d'un cinquième hôtel et d'un nouveau parc aquatique !
A côté de cela pas trop de mouvement chez les autres parcs floridien. Sea World reste aussi inutile que Busch Gardens indispensable et Legoland est un n-ième parc Lego sans charme et sans saveur. Heureusement qu'il y avait Fun Spot qui nous a régalé de son petit Wooden bien punchy !
Au final, remettons de l'ordre dans le classement des meilleures attractions de Floride. Avantage à Universal, y a rien à dire d'autre !
1- Spiderman
2- Harry Potter and the Forbidden Journey
3- Harry Potter and the Escape from Gringotts
4- Tower of Terror
5- Splash Mountain
Pour les coasters, pas beaucoup de mouvement... En même temps mis à part White Lightning, Seven Dwarfs Mine Train et Gingotts (que je considère plus comme un Dark Ride que comme un crédit), il n'y a pas eu beaucoup de nouveauté de ce côté-là !
1- Sheikra
2- Manta
3- Montu
4- White Lightning
5- Kumba
Pour finir, les parcs. Là c'est très facile, Universal est n°1, tellement loin devant les autres que la suite du classement importe peu !
Voilà, ça suffit pour ce trip report, j'espère que vous avez eu votre dose ! Si non, revenez dans quelques semaines pour le suivant !!
La principale leçon à retenir de ce nouveau voyage dans la Mecque des parcs de loisirs est que, quatre ans après l'arrivée de premier Wizarding World chez Universal, Disney n'a pas réussi à se ré-hisser au niveau de son grand concurrent. Bien que mignon et qualitatif, le New Fantasyland reste en effet très fade en termes d'offres et surtout terriblement vu et revu.
C'est donc en ayant pour une fois presque pitié pour la souris qu'on voit qu'en face la barre est repoussée encore plus loin avec Diagon Alley, dont l'incroyable univers immersif et les attractions ultra poussées aussi bien thématiquement que techniquement; renvoient les Tower of Terror, Mission Space et autre Expedition Everest à l'âge de pierre ! Tout cela en attendant AvatarLand... Enfin, ça c'est pour 2017, et d'ici là, Universal ne compte pas relâcher la pression, confère les arrivées prochaines de King Kong, d'un cinquième hôtel et d'un nouveau parc aquatique !
A côté de cela pas trop de mouvement chez les autres parcs floridien. Sea World reste aussi inutile que Busch Gardens indispensable et Legoland est un n-ième parc Lego sans charme et sans saveur. Heureusement qu'il y avait Fun Spot qui nous a régalé de son petit Wooden bien punchy !
Au final, remettons de l'ordre dans le classement des meilleures attractions de Floride. Avantage à Universal, y a rien à dire d'autre !
1- Spiderman
2- Harry Potter and the Forbidden Journey
3- Harry Potter and the Escape from Gringotts
4- Tower of Terror
5- Splash Mountain
Pour les coasters, pas beaucoup de mouvement... En même temps mis à part White Lightning, Seven Dwarfs Mine Train et Gingotts (que je considère plus comme un Dark Ride que comme un crédit), il n'y a pas eu beaucoup de nouveauté de ce côté-là !
1- Sheikra
2- Manta
3- Montu
4- White Lightning
5- Kumba
Pour finir, les parcs. Là c'est très facile, Universal est n°1, tellement loin devant les autres que la suite du classement importe peu !
Voilà, ça suffit pour ce trip report, j'espère que vous avez eu votre dose ! Si non, revenez dans quelques semaines pour le suivant !!