Septembre 2010
Six ans après le BLAG, voici venu le temps du PAF Tour. Pas PAF comme le chien mais PAF comme Pays bas, Allemagne et France, les trois pays que nous avons traversé au cours de ces trois jours de trip. Un jour chacun, comme ça pas de jaloux !
Le programme, vachement original, c'est du parc, du parc et encore du parc, du bon et du pas bon du tout, avec sur la to-do list des petits trucs sympas genre Monster, Joris en de Draak ou encore Black Mamba.
Les participants, vous les connaissez déjà tous. Il y a le Scherzie et moi-même bien entendu. Ensuite, Vincecoaster, qui voulait se faire une piqure de rappel de Walygator avant d'aller voir Mickey version konichiwa à Tokyo pour un petit choc culturel. Enfin, il y a Ralph, alias la vous-savez-quoi de poney, alias je roi des jets d'eau dansants et alias paraît-il aussi le cousin à Mabillard...
Voilà, tout le monde est là, on va pouvoir y aller ! Et si tu t'intéresses pour le planning : C'est ici !
Six ans après le BLAG, voici venu le temps du PAF Tour. Pas PAF comme le chien mais PAF comme Pays bas, Allemagne et France, les trois pays que nous avons traversé au cours de ces trois jours de trip. Un jour chacun, comme ça pas de jaloux !
Le programme, vachement original, c'est du parc, du parc et encore du parc, du bon et du pas bon du tout, avec sur la to-do list des petits trucs sympas genre Monster, Joris en de Draak ou encore Black Mamba.
Les participants, vous les connaissez déjà tous. Il y a le Scherzie et moi-même bien entendu. Ensuite, Vincecoaster, qui voulait se faire une piqure de rappel de Walygator avant d'aller voir Mickey version konichiwa à Tokyo pour un petit choc culturel. Enfin, il y a Ralph, alias la vous-savez-quoi de poney, alias je roi des jets d'eau dansants et alias paraît-il aussi le cousin à Mabillard...
Voilà, tout le monde est là, on va pouvoir y aller ! Et si tu t'intéresses pour le planning : C'est ici !
Un parc monstrueux
Parc visité : Walygator
Walygator, ex Walibi Lorraine, ex Walibi Schtroumpf, ex Big Bang Schtroumpf, le parc de mon enfance, le parc où j'ai découvert les joies du grand huit sur Anaconda et Comet Space. Je sais, c'est pas terrible mais à l'époque c'était pour moi l'équivalent d'un X ou d'un El Toro ! Et m'y revoici, avec vingt ans de plus, quelques crédits supplémentaires au compteur et ma désormais indécrottable blasé attitude… La raison de la visite ? Elle tient en un mot : Monster. Le premier B&M de France, enfin ! Il aura fallu en attendre du temps pour le voir arriver celui-là ! Limite on n'y croyait plus et on a d'ailleurs eu du mal à le croire quand on a appris que c'était Walygator qui allait le construire. Je vous passe le laborieux épisode de la construction, fait de reports d'ouverture et de communication lamentable, ça y est, il est là et on va pouvoir faire ce +1 qu'on avait raté de quelques mois lors de notre passage au Japon en 2008. Monster La bestiole se trouve tout au fond du parc, plantée au milieu d'un océan de gadoue. Faut être bien armé psychologiquement et mettre tout son amour de la belle théma au placard lorsqu'on arrive face à elle. Parce qu'à côté de ce Monster les grands huit Six Flags plantés sur des restes de parking font figure de petit joueurs ! Il y a ensuite cette magnifique allée bordée de grillages de chantiers, cette gamme couleur pour le moins originale et tellement d'autres trucs à vous faire dresser les poils qu'il me faudrait dix pages pour tous les citer ! Allez, au milieu de cette abomination, un petit détail m'a cependant bien plu : le fait que le train sorte de la gare pile face au cheminement qui mène au grand huit. Je ne suis pas sûr que ça ait été fait exprès, j'en doute même, mais bon, comme ça on ne pourra pas dire que ma critique est 100% à charge ! La file, la gare, je vous les passe, y a rien à en dire si ce n'est des choses pas franchement flatteuses. On avait beau être un samedi de septembre avec un beau soleil, pas un rat sur le quai et au pire un train d'attente pour le premier rang. Ensuite le circuit, ben c'est pile comme celui de Raptor dont je ne suis pas un très grand fan. C'est vrai que c'est long, assez intense mais ça manque d'une vraie bonne sensation de vitesse, absence sans doute due au fait que le train ne passe que très rarement au ras du sol. Ce qui est sûr, c'est qu'en Europe, je préfère largement Nemesis, Black Mamba ou Katun à ce Monster ! Enfin, il y a quelque chose que ces trois là n'ont pas, et que Monster est d'ailleurs à ma connaissance le seul grand huit au monde à posséder, c'est la fonction odorama. On n'a pas clairement réussi à identifier d'où cela venait, si c'était de la terre, du bassin de rétention ou des friches industrielles voisines, toujours était-il que ça sentait l'égout d'une manière difficilement supportable tout autour de la montagne russe ! Une odeur juste infâme, à vous vriller l'estomac, tellement irrespirable qu'on avait du mal à passer la spirale finale en supportant à la fois les G et en retenant notre souffle. C'est inédit mais on s'en serait bien passer de celle-là ! Pour conclure sur Monster, ben voilà, c'est le premier B&M de France et sans trop d'hésitation le meilleur Steel Coaster du pays. Mais fallait qu'il atterrisse à Walygator... Pauvre de lui, il ne le méritait pas. Et la réciproque est encore plus vraie quand on voit ce que le parc en a fait ! Un B&M ça a beau être joli sans trop de fioritures autour, au milieu de la boue, avec une vue sur les vieilles usines et cette odeur absolument infâme, c'est purement et simplement catastrophique ! Anaconda Aaaaaaaaaah Anaconda, le plus gros tas de bois de chauffage d'Europe ! Même si dans le genre le Coaster Express de Parque Warner à Madrid se défend bien, celui-ci a définitivement la palme. C'est nul, terriblement poussif, ça vibre, ça peine, non y a pas à tourner autour du pot, c'est juste de la merde ! Family Coaster Une Pomme sponsorisée par le Crédit Mutuel, la grande classe ! Waly Coaster Fermé ! Tout comme le Space Shot, tout comme le Tang'Or. Je ne vous raconte pas l'ambiance qu'il y avait dans cette partie du parc. Avec la bâche à moitié décrochée du théâtre et les restes de déco manquant de s'effondrer, on se serait presque cru dans une zone abandonné ! Brrr, ça vous file des frissons ce genre de choses ! Tiens, en parlant de frissons, la Terror House. J'en tremble rien que d'y penser ! Entre la façade qui tombe en ruine, les décors du premier niveau faits à coup de taches fluos par un élève de maternelle et l'employé avec son masque d'Halloween qui passe plus de temps à draguer les minettes qu'à tenter de vous faire peur, on peut dire que le niveau de ce Walk Through soit disant horrifique est à des années lumières d'un Hotel Gasten, et de d'ailleurs toutes les autres attractions du même genre. On pourrait presque en rire si on n'avait pas en plus à subir un remix dance de Thriller pour nous détruire les oreilles alors que nos yeux sont déjà en piteux état après ce qu'ils ont vu ! Bon, par quoi continue-t-on le massacre ? Ah oui, les attractions aquatiques, rebaptisées ici les attractions fosses septiques. Jamais je n'avais vu une eau aussi crade ! Celle du Flashback de Walibi Belgium, c'est de la qualité piscine à côté ! A se demander si les canaux ont une fois été nettoyés. Je suis con, bien sûr que non ils ne l'ont jamais été ! On finit avec les quelques « divers » qu'on a fait. R.A.S. avec la grande roue, bon si ce n'est que ça fait forain, mais ça ce n'est pas une grande révélation à Walygator. Sinon, on a aussi fait le Desperado. Son pourri, effets en panne et, le détail qui tue, les câbles du vidéoprojecteur qui pendent du faux plafond, dont les dalles n'ont pas été remises après l'installation ! Voilà, ça suffit, j'arrête là ! Rien que me remémorer cette visite à Walygator tient du supplice. Du temps des précédents proprios ce n'était déjà pas glorieux, mais aux côtés vieillots, dépassés et mal entretenus, les nouveaux ont réussi à ajouter le côté forain, avec des attractions bariolées et un mauvais goût à faire frémir, ainsi que le côté répugnant, avec cette odeur d'égout et ces attractions aquatiques dont la DASS n'oserait pas faire un relevé sanitaire des eaux ! Je crois que jamais je n'avais été aussi écoeuré dans un parc d'attractions que par ce que j'ai vu à Walygator. Si dans un Beech Bend ou un Karolinelund pour prendre quelques exemples de visites désastreuses, y avait encore une ou deux choses à sauver en grattant un peu, à Walygator, y a rien, rien du tout ! C'est juste une honte, une blague de mauvais goût, pour laquelle on ose en plus demander 28 euros, soit seulement un de moins que pour Efteling ! Allez, rasez-moi ce parc et qu'on n'en parle plus ! |
Les p’tits à-côtés
Parcs visités : Didiland, Triolago
Après s'être presque trop amusé à Walygator, il est temps de passer à la suite avec... Didiland. Ok, j'avoue, c'est pas du méga lourd mais au moins là ça ne sent pas les vieilles odeurs d'égouts refoulées ! Pour ceux qui ne connaissent pas, le parc se trouve dans le nord de l'Alsace, à une petite demi-heure de route de Strasbourg. Côté manèges, rien d'extraordinaire mais au moins y a du choix, pas un rat et quelques crédits pour le compteur ! Magic Mouse Honneur à la nouveauté de l'année, un Spinning Coaster SBF, bien repompé sur la version Zamperla, elle-même déjà pas mal inspirée de celle de Reverchon. Toutefois, le constructeur italien a su y apporter sa touche perso avec tout d'abord des wagonnets avec harnais (youpi) et ensuite, une vitesse telle qu'on avait l'impression d'aller plus vite sur les petits chevaux Soquet ! Enfin, elle a beau ne pas dépasser les 15km/h de vitesse de pointe, la bestiole arrivait à vibrer et à couiner... et à bien vous agresser les yeux avec sa couleur rose bonbon ! La Pomme C'est tellement inédit qu'on va passer direct à la suite ! Le Drakkar Troisième et dernier grand huit du parc, le Drakkar est un petit Soquet, pas trop mal si on le compare aux deux autres... Après Monster, le meilleur crédit de la partie française du trip, c'est dire si on est toujours bien à la traine ! Les montagnes russes, c'est finie, alors que trouve-t-on d'autre à Didiland ? Pas mal de choses mine de rien, enfin essentiellement du manège made in Italy. Dans le lot, le plus sympa est la mini Free Fall, délicieusement tape-cul et étonnement remuante pour une version familiale. Sinon y a aussi trois manèges à flotte : un Flume sans intérêt, un Raft Soquet assez rigolo et sans doute le plus étonnant spécimen de Splash Battle qu'on n'ait jamais croisé ! Là vous avez le canal, les petits bateaux avec leurs canons à eau... et rien d'autre ! Aucun lac, ce qui fait que toute la flotte tombe dans les graviers autour de l'attraction (pas très écolo ça !) et aussi absolument aucune déco si ce n'est une palette de bois recouverte de fausse herbe et sur laquelle sont plantés trois gros champignons. Y a pas à dire, c'est inédit tout ça ! Allez, on ne va pas s'éterniser sur Didiland. Pour les locaux avec des enfants en bas âge, ça peut être sympa, surtout que c'est assez peu cher en comparaison avec le nombre de manèges proposés. Si tout est un peu posé n'importe comment et fait souvent cheap, au moins le parc est propre, les espaces verts entretenus et ça ne sent pas la mort comme chez le voisin lorrain ! Et maintenant, direction Efteling !!! A nous les lutins et les fées... quoi ça on s'en fout ? Ah oui, c'est juste ! Néanmoins ce dont on ne se fiche pas du tout, c'est le +2 Joris en de Draak ! Stoooooooooooop ! Avant cela, arrêt express à Riol, près de Trèves en Allemagne. Au programme un petit Alpine d'un kilomètre de longueur, perché sur les collines avec une jolie vue sur la Moselle. Perso, je l'ai trouvé un chouilla trop bridé par rapport à d'autres, même si la descente était somme toute des plus sympathiques. Voilà, c'est dit, maintenant place aux vrais bons parcs dès le chapitre suivant ! |
Dueling Dragons
Parc visité : Efteling
Bon ce coup-ci, promis juré, c'en est fini de la rigolade, on passe à du parc sérieux avec Efteling. Autant le dire tout de suite, Efteling je n'en suis sans doute pas le plus grand fan du monde... On m'en avait dressé un tel tableau élogieux que la première fois que je l'ai visité, j'ai été pas mal déçu. Par la suite et maintenant que je sais à quoi m'attendre, ça passe mieux. Faut dire que le parc est très beau, très vert (et ça j'adore) et que, pour peu qu'il fasse beau, s'y balader est un véritable plaisir. La chose qu'il manquait jusqu'alors très clairement à Efteling, c'était un bon crédit. Ok le Bobbaan et Vogelrok sont sympa, mais pas tellement plus que ça. Et puis que dire du catastrophique Python et du très bof Vliegende Hollander ? Ainsi, lorsque le parc a annoncé la construction d'une nouvelle montagne russe pour la saison 2010, ce fut une double bonne surprise ! Primo parce qu'ils allaient dégager au passage cette bouse de Pegasus. Bon débarras ! Secondo, parce que le remplaçant serait un Wooden signé GCI. D'ailleurs, y a même un tertio dans l'affaire : le Wooden, non content d'être un GCI, allait aussi être un Dueling. Donc un +2 ! Bref de quoi se réjouir et justifier un petit détour par la Hollande ! C'est ainsi qu'en ce dimanche 19 septembre nous voici devant la monumentale entrée d'Efteling. Y a pas trop de peuple, le soleil est encore un peu timide mais ne demandera qu'à se montrer un peu plus tard dans la journée. A peine rentré dans le parc et sans surprise, direction Joris et son dragon, situés tout au fond, en face de Vliegende Hollander. Comme tous les autres GCI, le grand huit est très beau, tout en courbes et en petites bosses. Egalement et à la manière de l'excellent El Toro de Plohn, mis à part le lift, tout le parcours est très proche du sol. Ça promet de bien blinder tout du long ! Côté file d'attente, rien à redire : c'est sobre mais très joli, presque uniquement fait de bois, avec des passerelles enjambant un petit marais et des arbres pour protéger les futurs passagers du soleil. Et puis, vu qu'il y a deux voies, ça avance très vite ! Enfin, le matin, y avait pas un rat et c'était d'ailleurs très bien comme ça ! La gare ensuite. Là encore, rien à redire. On retrouve la patte d'Efteling dans la déco très soignée, idem pour les trains, c'est sans chichi et vraiment très classe ! Tout ça c'est bien gentil mais le parcours, ça donne quoi ? Ça donne du très très bon ! Peut-être pas aussi génial qu'El Toro ou Thunderbird mais pas loin derrière ! Certes le circuit manque un peu de longueur, mais il se fait à fond la caisse, avec bien plus d'airtime que sur beaucoup d'autres GCI et dans une douceur comme on en voit très rarement sur un Wooden. Pour le côté duel, ça ajoute un petit plus, mais pas autant que sur Lightning Racer par exemple. Par contre, pour ce qui est du dragon, c'est à peine si on a le temps de l'apercevoir sur le côté de la voie ! Au final, un excellent grand huit qui offre enfin à Efteling une attraction foune et refaisable en boucle, ce qui manquait cruellement au parc jusque là ! Après cela, on s'est refait à peu près tous les classiques. Niveau affluence, c'était raisonnable et mis à part pour Vliegende Hollander qui n'avait envie que de tourner à un quai, on n'a jamais attendu plus de quinze minutes. Le problème à Efteling c'est que, même si l'on n'attend pas beaucoup, la journée passe très vite, la faute à ces kilomètres de marche qu'il faut à chaque fois faire entre les attractions ! Du coup, on a dû zapper le Bois des Contes, non pas que je mourrais d'envie de le refaire, juste que je voulais voir l'arbre qui parle et le théâtre optique de la Petite Fille au Allumettes. Et puis on s'est aussi bien fait avoir par le fait que, quand le parc annonce la fermeture à 18 heures, les files elles ferment une bonne demi-heure avant ! A cause de cela, pas de quatrième tour de Joris... On aura fait une fois le feu et deux fois l'eau, le meilleur des deux soit dit en passant, ce qui après tout n'est pas si mal ! En conclusion, une très bonne journée au pays des contes de fées : du soleil, un excellent nouveau crédit, Fata Morgana qui reste encore et toujours pour moi le plus beau Dark Ride d'Europe et, le top du top, un repas de midi qui ne s'est pas fini aux toilettes ! Non, là on a mangé au resto de Pandadroom, c'était pas mauvais et surtout, les plats étaient frais ! Vous lisez bien, il est possible de manger en Hollande quelque chose qui n'ait pas été passé à la friteuse ! A force, on était venu à en douter ! |
Wuze’s Who
Parc visité : Phantasialand
Wow, ça faisait un bail qu'on n'avait pas été à Phantasialand ! Attends, c'était quand l'ouverture du Matamba ? En 2008 ? Ça veut dire qu'on a réussi à tenir deux années complètes sans retourner dans un de nos parcs préférés en Europe ! Finalement, on n'est peut être pas si intoxiqués que ça ! Et alors, quoi de neuf depuis le temps à Phanta ? Ben comment vous dire... Ils ont rasé la moitié de la partie gauche du parc. Adios le Walzertraum, le Gondelbahn, la Porte de Brandenburg et les manèges pour mioches, vive la méga extension de Wuze Town et la Kaiser Platz. La Kaiser Platz, c'est encore le gros chantier. Pour l'instant ça fait assez vide mais je suis sûr que d'ici 2011 ils vont nous remplir ça avec plein de belles choses. Côté Wuze Town par contre, ça a beaucoup changé et la zone est maintenant très isolée du reste du parc et encore plus magnifique qu'elle ne l'était déjà avant. Entre Alt Berlin et la halle de Wuze Town, c'est tout le cheminement qui a été revu. Il est aujourd'hui moins raide et longe le nouveau bâtiment construit contre Atlantis, dont la magnifique façade comprend un Crazy Bus Zamperla. Une fois sur la place principale, outre l'ajout de manèges made in Italy (tous très joliment thématisés), on remarque que la façade de Wuze Town a subi un lifting et s'est vu agrémenté de nombreux éléments de déco, ce qui la rend beaucoup moins lisse qu'avant. Toutefois, ce n'est pas là qu'est le plus beau à voir. Pour cela, il faut passer Temple of the Night Hawk et longer le lac jusqu'au fond du parc. Les rives ont été entièrement réaménagées et le résultat est juste sublime. Entre la végétation, les maisons en forme d'arbres et les innombrables détails de théma tous plus mignons les uns que les autres disséminés au milieu de tout cela, on ne sait plus où donner de la tête ! J'adore Phantasialand mais je trouvais jusqu'ici que le parc était trop bétonné et manquait d'un endroit calme et un peu verdoyant. Ben plus maintenant ! Mis à part les magnifiques aménagements paysagers, on trouve aussi à cet endroit Wakobato, le premier Splash Battle qui ne mouille pas, un concept inédit et pas super intéressant, pour lequel il ne faut pas blâmer le parc mais plutôt les riverains. Eh oui, si on ne peut pas s'arroser, c'est simplement parce que le parc voulait éviter que les passagers de l'attraction hurlent et donc troublent les voisins dans leur petite sieste. Après, est-ce que ça valait le coup de mettre des pistolets à eau pour déclencher de minables fontaines, est-ce qu'un simple Boat Ride n'aurait pas été aussi efficace, on peut en discuter. Ce qui est sûr par contre, c'est que, là encore, la thématisation est des plus réussies, mention spéciale aux bateaux ! Voilà, les découvertes, c'est fait, il est temps de retourner voir les vieilles connaissances. La bonne nouvelle c'est que le parc est désert : pas une seconde d'attente aux attractions si ce n'est cinq minutes à Winjas et dix pour le premier rang de Black Mamba, le rêve ! Du coup, tu parles qu'on s'est fait plaisir ! Vas-y qu'on a enchaîné les tours de Winjas, de Black Mamba, de Talocan, de River Quest, de Mystery Castle, de Colorado Adventure, encore et encore, jusqu'à plus soif ! Enfin même en repartant du parc, on n'était pas rassasié ! Verdict, pour pas changer, excellente journée à Phantasialand. Temps sublime, pas un rat, des attractions au poil, que faut-il de plus ? Une nuit au Ling Bao, ben on a fait aussi ! Un dîner chez les petites chanteuses chinoises ? Ah ça on n'a pas pu, elles étaient en relâche... Par contre, on a testé le service à table du Matamba, hmmm, j'en salive rien que d'y repenser ! Allez, vivement l'an prochain qu'on y retourne pour tester la version locale de Toy Story Mania, avec un peu de chance ça fera encore une très bonne attraction de plus dans ce parc qui n'en manque pourtant vraiment pas ! |
Retour en Ge Force
Parc visité : Holiday Park
Petit chapitre bonus avant de refermer ce Trip Report avec un passage par la case Holiday Park. On est pile un mois après la journée à Phantasialand et malheureusement le soleil n'est plus vraiment de la partie : même pas 10° au thermomètre, des gros nuages tout gris mais, ouf, pas de pluie ! Et puis plus de Vincecoaster ni de Ralph. Le premier nous trompe avec DisneySea et le second avec sa nouvelle Mimaki. Bien plus que le +1 Wild Mouse sans grand intérêt, revenir à Holiday Park, c'était avant tout l'occasion de se remettre une bonne dose de Ge Force parce que, mine de rien, ça faisait un sacré bout de temps qu'on n'avait plus posé nos féfesses dessus ! Ben oui, on sillonne la planète en long en large et en travers et on en oublierait parfois presque qu'on a aussi quelques très chouettes montagnes russes tout près de chez nous ! Car (Ge) force est de constater que la bestiole n'a pas pris une ride ! Ça passe toujours aussi bien avec des méga airtimes toujours aussi fantastiques, des quelles belles bosses à tout va et des 4.5G en veux-tu en voilà ! Y a pas à dire, il est terrible ce grand huit ! Sur ce, on ne va pas s'attarder, encore une rapide série de photos et on remballe, on attendant le Trip Report prochain bien entendu ! |