Mai 2007
Revis notre aventure en live !
Et c’est reparti pour un tour ! Un tour des Pays Bas cette fois-ci, avec une petite incursion en Belgique. Au programme, sept parcs en quatre jours, soit ce qu’on pourrait appeler un véritable parcothon ! Enfin on a tenu bon, même pas peur, on a tout fait, tout testé, sauf bien entendu ce qui n’était pas encore ouvert pour les visiteurs, vous connaissez l’histoire… Et comme d’habitude, on va tout vous raconter, avec des mots, des photos, des vannes et autres contrepétries, bref tout ce à quoi on vous a habitué depuis maintenant plus de deux ans.
Avant de commencer, jetons un petit coup d’œil au programme :
- Jour 1 : Drievliet et Duinrell
- Jour 2 : Slagharen et Hellendoorn
- Jour 3 : Efteling
- Jour 4 : Plopsa Indoor et Plopsa Coo
Mouais comme ça, ça ne fait pas trop rêver… Mais n’empêche, curieusement, ceux dont on attendait le plus ont plutôt déçu et ceux dont on n’attendait pas grand-chose ont bien surpris. Et vu que, mis à part Efteling, on n’attendait rien des autres, les surprises ont donc été nombreuses !
Enfin avant de détailler tout cela, on va présenter la fine équipe. Comme je n’ai pas franchement envie de travailler plus (surtout que je ne gagne absolument rien), je vais pas me faire chier et vous remettre ce que j’avais écrit pour le Live… je cite : « la saison de Hockey est finie, je suis heureux de vous annoncer que le Scherzie est de retour. Il est remonté à bloc et ne rêve que de tester à Hellendoorn l’ancêtre du tellement founetastique Abenteuer Atlantis : Discovery Club. Dans son sillage guidé par GPS suivent Katharina et le toujours très blagueur Matthieu, à qui l’on doit d’ailleurs le titre très actuel de ce trip ! »
Voilà, je crois que le décor est bien planté, on va donc y aller pour quatre chapitres. En avant la musique !
Revis notre aventure en live !
Et c’est reparti pour un tour ! Un tour des Pays Bas cette fois-ci, avec une petite incursion en Belgique. Au programme, sept parcs en quatre jours, soit ce qu’on pourrait appeler un véritable parcothon ! Enfin on a tenu bon, même pas peur, on a tout fait, tout testé, sauf bien entendu ce qui n’était pas encore ouvert pour les visiteurs, vous connaissez l’histoire… Et comme d’habitude, on va tout vous raconter, avec des mots, des photos, des vannes et autres contrepétries, bref tout ce à quoi on vous a habitué depuis maintenant plus de deux ans.
Avant de commencer, jetons un petit coup d’œil au programme :
- Jour 1 : Drievliet et Duinrell
- Jour 2 : Slagharen et Hellendoorn
- Jour 3 : Efteling
- Jour 4 : Plopsa Indoor et Plopsa Coo
Mouais comme ça, ça ne fait pas trop rêver… Mais n’empêche, curieusement, ceux dont on attendait le plus ont plutôt déçu et ceux dont on n’attendait pas grand-chose ont bien surpris. Et vu que, mis à part Efteling, on n’attendait rien des autres, les surprises ont donc été nombreuses !
Enfin avant de détailler tout cela, on va présenter la fine équipe. Comme je n’ai pas franchement envie de travailler plus (surtout que je ne gagne absolument rien), je vais pas me faire chier et vous remettre ce que j’avais écrit pour le Live… je cite : « la saison de Hockey est finie, je suis heureux de vous annoncer que le Scherzie est de retour. Il est remonté à bloc et ne rêve que de tester à Hellendoorn l’ancêtre du tellement founetastique Abenteuer Atlantis : Discovery Club. Dans son sillage guidé par GPS suivent Katharina et le toujours très blagueur Matthieu, à qui l’on doit d’ailleurs le titre très actuel de ce trip ! »
Voilà, je crois que le décor est bien planté, on va donc y aller pour quatre chapitres. En avant la musique !
Chapitre 1 : Maurer : 1, Gerstlauer : 0
Parc visité : Drievliet, Duinrell
En préparant ce trip, il y a fort fort longtemps, il était acquis que nous ferions deux nouveautés grand-huistiques en ce premier jour : le X-Car catapulté à Drievliet et un Euro-Fighter, clone de celui qui vient d’ouvrir à Adventure Island en Angleterre, à Duinrell. Mais voilà, les riverains n’étaient pas trop d’accord avec le concept, une montagne russe de 25m de haut ça risquait de ruiner le paysage et de faire crier les demoiselles de plaisir occasionnant une gène sonore à des kilomètres à la ronde ! Bref, pas de crédit mais l’explication du titre d’aujourd’hui… Premier parc visité en cet ensoleillé samedi 28 avril 2007 : Drievliet. On est à La Haye, à même pas 15 minutes du centre ville et on a affaire là à un tout petit parc qui propose néanmoins bon nombre d’attractions dans un cadre très soigné. Tout de suite, revue en détail en commençant comme d’habitude par les crédits. On va expédier vite fait les trois premiers, à savoir Dynamite Express, un E-Powered Mack aussi poussif et inintéressant que les autres, Kopemijn, une Wild Mouse Maurer pas super passionnante et Twistrix, un autre Maurer, Spinning cette fois-ci, avec un circuit carré et quelques bref moments de rigolade quand ça se met à tourner un peu violemment. Passons maintenant au gling n°4, la nouveauté de l’année : Formule X, the Michael Schumacher Thrill Ride. Eh oui, parce que figurez-vous que c’est Schumi himself qui fait la voix de l’attraction, la méga classe ! Enfin bon, Schumi en même temps on s’en fout un peu, limite on s’en tamponne royalement le coquillard, nous ce qui nous intéresse c’est le Coaster, sera-t-il plutôt prout comme le G-Force de Drayton Manor ou carrément aaaaaah comme notre bien aimé Sky-Wheel ? Et bien, bonne nouvelle, on tire plutôt vers le aaaah ! Certes c’est court, certes la catapulte n’est pas méga puissante, mais le reste est horriblement foune ! Du Hang Time à tout va, des inversions vraiment originales, de l’airtime, il y a absolument tout ce qu’on pourrait souhaiter sur un coaster et cela, sur même pas 400m de rail ! En plus, Maurer a enfin réglé le problème de ses harnais qui ne se ferment maintenant plus au fur et à mesure du parcours. Du tout bon donc, petit mais vraiment costaud ! Pour ce qui est du reste des attractions, on a un petit Flume Reverchon standard, quelques Flat Rides marrants (Afterburner, Troika), quelques autres gerbant (Enterprise, bateau pirate), une petite descente en canoës, une grande roue, des trucs pour les mômes et, last but not least un superbe train fantôme digne successeur de Phantom Manor ! Non en fait, il était complètement naze, c’était juste pour faire peur aux Disneyfans qui nous lisent (s’il y en a encore après le coup du quiz…) Pour conclure, Drievliet est un petit parc fort charmant, de quoi passer une très bonne demie journée sans s’ennuyer. Les attractions sont nombreuses, variées, le parc est très bien entretenu, bref, si ce n’est que la bouffe qui n’est pas terrible, le reste c’est du tout bon ! Disons que, comme pour Formule X, c’est du petit mais du costaud ! Passons au parc suivant : Duinrell. Situé dans une banlieue très cossue de La Haye, à environ 20 minutes de route de Drievliet, Duinrell n’est pas vraiment un parc d’attractions au sens classique du terme. C’est plutôt une espèce de Center Park au milieu duquel on été construites quelques attractions. Ainsi, les résidents des bungalows du parc ont accès de manière illimitée aux manèges ainsi qu’à la piscine couverte Tikibad pour toute la durée de leur séjour, concept plutôt sympa surtout que le tout se trouve dans une immense et très agréable forêt. Après, niveau manèges, c’est pas vraiment renversant. Un crédit Zierer (Tivoli grand modèle), un Shoot the Chute bien humide, deux flat rides (Top Spin méga poussif et Frisbee méga vomitif), une double descente de luges d’été ainsi qu’une dizaine d’autres attractions pour compléter l’offre. On va dire que c’est plutôt maigre… A côté de cela il y a le Tikibad qui propose une dizaine de toboggans aquatiques. Parmi ceux-là il y a du bon comme les descentes en bouées dans le noir ou les deux toboggans rapides, du sympa sans plus : les deux toboggans classiques avec jointures bien marquées et du qui fait carrément mal, les deux Bowls pour ne pas les citer. Vraiment autant avec des bouées ce type de toboggans est foune, autant sur le cul, c’est horriblement désagréable. Pour le reste il y a aussi une Lazy River assez longue, une piscine à vague sans vagues et les indispensables saunas et bains à bouillons. Voila voila, on ne va pas épiloguer trois plombes sur ce parc. Au final Duinrell nous a bien plu, malgré l’offre somme toute limitée. Le cadre est vraiment beau et agréable, le Tikibad parfait pour deux heures de défoulement aquatique, bref, même si je n’y serais pas resté la journée entière, on peut dire que les quatre heures que nous avons passées dans ce parc n’auront pas été du temps perdu ! Pour finir notre journée, nous avons été voir la mer. Ben oui, on était juste à côté alors ça aurait été dommage de ne pas y faire un tour. Verdict : elle était froide ! |
Chapitre 2 : Petits parcs et grandes surprises
Parc visité : Slagharen, Hellendoorn
Deuxième jour et à nouveau deux parcs : Slagharen et Hellendoorn Slagharen est situé un peu au milieu de nulle part, au nord-est des Pays Bas. Le thème ici c’est l’ouest sauvage, les cow-boys et tout l’attirail western, avec quelques transgressions par-ci par-là mais c’est pas trop grave, dans l’ensemble c’est bien fait et surtout très bien entretenu. Ce qui est assez marrant c’est que le parc est coupé en deux parties, reliées entre elles par une très jolie Main Street comptant un nombre assez incroyable de restos et de boutiques, limite y en a encore plus qu’à Disneyland ! Du coup c’est un peu le bordel quand on est d’un côté et qu’on veut faire une attraction qui se trouve de l’autre… Pour faire la navette il y a toujours un télésiège et un monorail, le premier avançant presque aussi lentement que lorsqu’on est à pied, l’autre manquant un peu de trains… Enfin cela n’enlève pas grand-chose aux qualités de ce parc. Niveau crédit, on a droit à un Junior Vekoma grand modèle situé juste à côté de l’entrée et à un bon vieux Looping Star signé Schwarzkopf placé dans la zone au fond du parc. Concernant ce dernier, c’est quand même assez fou de voir comment ces bestioles se conservent bien ! Aucune secousses, que du plaisir avec un parcours certes assez court mais bien intense, surtout dans l’excellent looping ! Pfff franchement, je ne comprendrai jamais comment Vekoma a pu gagner la bataille face à Schwarzkopf !!! Après les crédits, un peu de repos avec deux dark rides. Pareil, il y en a un dans une zone et un dans l’autre. Le premier, nommé Wild West Adventure (devinez le thème) est une promenade en bouées à l’intérieur d’un grand dôme au milieu d’un très joli décors western. Seul petit reproche, comme aucune scène n’est séparée des autres, l’ensemble est assez bruyant, du fait surtout d’une cascade qui résonne dans tout le bâtiment. Dark Ride n°2 : Terror of the Darkness. Là c’est beaucoup plus conceptuel, on prend place par deux dans un petit bathyscaphe complètement fermé et on va se balader au milieu de décors de fonds marins recréés en lumière noire. C’est pas très très réussi mais le concept est quand même bien poilant ! Slagharen possède également une impressionnante collection de vieux Flat Rides pas forcément très chers à mon cœur : bateau pirate, Condor, Rainbow, Troika, Ranger, Enterprise, Break Dance, Polyp, etc… En plus de cela on trouve également un Flume sans grand intérêt mais joliment thématisé, une tour de chute libre et une tour panoramique (tellement peu haute qu’elle dépasse à peine la cime des arbres, pas très malin), une grande roue (pour le coup deux fois plus haute que la tour panoramique), un drôle de carrousel de chaises volantes construit autour d’une énorme lune (je parle de l’astre hein, pas de l’autre lune espèce de petit obsédé) et quelques attractions diverses et variées pour nos amis les enfants. Ah oui, j’allais oublier ; le parc a même une piscine couverte thématisée banquise ! Voilà, maintenant je crois que j’ai tout dit… Niveau bouffe, on a mangé chinois pour éviter le sempiternel tout cuit à la friteuse et dégoulinant de graillon. C’était pas mauvais voire plutôt bon et pas trop cher pour la quantité qu’il y avait. Venons en maintenant à la conclusion. Faut bien dire qu’on n’attendait pas grand-chose de Slagharen et qu’on a plutôt été positivement surpris. Le parc est très propre et parfaitement entretenu. Les attractions, même si ça ne vole pas très haut, sont très nombreuses et la bouffe est bonne, ce qui est plutôt rare dans les parcs néerlandais. Non vraiment je ne trouve pas grand-chose à redire sur Slagharen… Donc si vous êtes dans le coin, que vous aimez les petits parcs sympas et pas prise de tête, je vous conseille vraiment de vous arrêter dans celui-ci. Et puis, si en plus, au contraire de moi, vous êtes fan de vieux flat rides pourris des années 80, vous serez carrément comblés car je crois qu’aucun autre parc en Europe n’en possède une aussi grande collection ! On reprend la Scherziemobile et direction plein sud. Une petite heure de route plus tard, nous voici aux portes de Hellendoorn, notre deuxième visite de la journée. Premier constat : c’est pas bien grand mais c’est mimi tout plein. Le parc est très vert, les attractions ont l’air bien intégrées et on va tout de suite voir ce que ça donne niveau qualité… On a commencé par un crédit : Donderstenen, une petite montagne russe Zierer au circuit en forme de 8. Rien de bien renversant, la théma est jolie mais le circuit présente vraiment très peu d’intérêt. Juste un peu plus loin se trouve Rioolrat, un Junior Coaster Vekoma couvert dont la théma (Rioolrat veut dire rat d’égout) rappelle beaucoup celle du Rat Ride de Lightwater Valley tester il y a à peine un mois. La file d’attente est d’ailleurs un peu dans le même style mais mieux fichue, avec des arrivées d’eau un peu partout, des tunnels voûtés et par-ci par-là et des bas relief de rats belliqueux. Et niveau parcours alors ? Ben c’est franchement pas mal ! Le parcours est somme toute assez long, y a quelques bonnes accélérations et on a droit à deux tours. Vraiment une bonne surprise ! Dernier crédit, le premier Vekoma à Looping du trip (limite ça ne nous avait pas manqué) : Tornado. C’est le même parcours que le Loopen de Tusenfryd, à savoir : descente, looping, demi tour, Corkscrew, demi tour, freins. C’est donc très court mais ça arrive tout de même à faire bien mal ! Gling prout et on dégage ! On continue avec les attractions aquatiques. Au programme un Flume avec une seule descente (c’est un peu maigre) et une rivière à bouées assez longue, avec pas mal d’éléments (cascades, jets d’eau, tunnels, etc…) mais au final un peu mollassonne. Etape suivante : le Dark Ride du parc, interactif s’il vous plaît, construit en 1999 par Mack et qui arrive à être beaucoup plus foune que son homologue europaparkien ouvert cette année. Là au moins, tout s’anime quand on tire sur les cibles, on comprend bien mieux ce qui se passe, bref on se prend vraiment au jeu ! Seul petit reproche, je ne suis pas trop fan des wagons qui pivotent, ça déconcentre un peu le joueur quand ils se mettent brusquement à tourner… On finit à présent par le reste du parc. Pas mal d’attractions classiques : bateau pirate, chaises volante, tacots, promenade en barques, toujours très joliment thématisées, une grande aire de jeux pour les enfants, un labyrinthe dans lequel on a failli perdre le Scherzie et un Top Spin, avec un programme presque aussi nul que celui de la version de Duinrell faite la veille. Bien, je crois qu’on a tout dit. Ma conclusion sur Hellendoorn sera à peu près la même que pour Slagharen : petit parc qui ne paie pas de mine, sans attraction exceptionnelle, mais vraiment agréable pour une petite après midi détente sans se prendre le chou ! |
Chapitre 3 : Hollandais-cevant
Parc visité : Efteling
Aaaaaah Efteling, le parc que j’ai jamais compris pourquoi il déclenchait un tel engouement… Non mais ça doit être le fait que je suis avant tout un amateur d’attractions, de gros défoulement bien brutal et bien founesque plutôt qu’un contemplateur qui peut se satisfaire de quelques jolis arrangements paysagers pour digérer le prix d’entrée au parc… Donc c’est sûr qu’avec ses crédits mou du genou voire carrément désagréables, sa rivière de bouées qui mouille pas, ses nains partout alors qu’on avait déjà le notre en France, bon ben ça va quoi ! Heureusement que pour sauver les meubles, il y a les superbes Dark Rides Droomvlucht et Fata Morgana. Fata Morgana, c’est très simple, pour moi c’est le plus beau Dark Ride d’Europe. J’adore le concept, j’adore le thème et j’hallucine à chaque fois devant la beauté des scènes de cette attraction, notamment celle du palais du sultan (même si ça fait hélas trop de pchit pchit) ou celle tout à la fin du couloir qui bascule. Et puis alors, qu’est-ce que la musique est belle ! Ensuite, Droomvlucht. Là je suis déjà plus partagé. Ok, c’est monumental, c’est super bien fait, je ne dis pas le contraire. Après, y a certaines scènes que je trouve très belles (les châteaux, les planètes et le final) et d’autres horriblement kitch. Non mais les fées c’est définitivement pas mon truc. Et puis aussi, y a quelques fautes de goûts énormes comme cette magnifique entrée qui débouche sur une file d’attente en zigzag sous un hangar ou le quai d’embarquement au milieu d’un resto, qui ressemble plus au départ d’un télécabine de Val d’Isère qu’à autre chose. Enfin, tout ça, on connaissait déjà, si on est venu, c’était pas vraiment pour refaire mais plutôt pour tester la nouveauté de l’année : Vliegende Hollander. Alors ce truc… Dans la collection énorme déception je crois que je n’en avais pas vu de pareille depuis Silverstar. De dehors, c’est magnifique, la file et le quai d’embarquement sont à tomber et après ? Ben après, plus rien. La partie Dark Ride est vide, les quelques effets sont franchement décevants (les cascades éclairées rouges dans le lift, tu parles d’une blague) et la partie coaster, là c’est carrément le pompon ! Ils ont réussi à faire quelque chose d’encore plus dénué d’intérêt qu’un Watercoaster Mack ! C’est mou, ça rame, on a l’impression à chaque élément que le bateau ne va pas passer. Et puis comble du comble pour un pétard mouillé, ben ça ne mouille même pas ! Non non non, vraiment déçu de chez déçu, surtout quand on sait de quoi Efteling est capable en matière de Dark Ride ! Voilà, la messe est dite je crois… Au final, on aura quand même passé une bonne journée à Efteling, essentiellement à marcher dans leurs immenses allées, mais voilà, j’accroche pas à ce parc donc je ne pense pas qu’on n’y remettra les pieds de sitôt ! |
Chapitre 4 : Plopsa & Co(o)
Parcs visités : Plopsa Coo, Plopsa Indoor Hasselt
Dernier jour, on s’est gardé le meilleur pour la fin : Plopsa Coo et Plopsa Indoor. Mouais en fait pas vraiment mais bon, on n’avait pas trop le choix de l’ordre donc c’est comme ça ! Après avoir quitté notre magnifique pied à terre d’Anvers avec vue sur zone industrielle, direction Hasselt sur Flamonie où certains ont réussi à voir des Nautic Jet Heege comme d’autres voyaient des morts et où surtout, nous avons été faire un rapide saut à Polpsa Indoor. Dans le concept, ça rappelle beaucoup Toverland en plus petit mais en plus joli. Le parc comporte un petit crédit : Piratenbaan, Junior Coaster Zierer identique au Donderstenen de Hellendoorn, une mini tour de chute libre, un Kontiki et des chaises volantes, là aussi signées Zierer, quelques toboggans et plusieurs aires de jeux indoor et outdoor. Faut bien le dire, on n’est pas resté trois plombes là dedans, faut croire qu’on n’est pas vraiment dans la cible visée… Donc on a fait notre +1, un petit tour de chaque manège histoire d’avoir l’air bien ridicule devant les parents qui accompagnaient les mouflets et on a pris la poudre d’escampette direction la deuxième étape du jour : Plopsa Coo. Plopsa Coo se trouve en Wallonie et tire son nom de la chute d’eau qui se trouve juste à côté du parc. Mouais, c’est un peu ridicule cette cascade, enfin c’est pas dans un pays plat comme la Belgique qu’on va trouver les chute d’Iguaçu en même temps ! Et le parc alors ? Boh pas grand-chose à signaler… Un terrain coaster Vekoma sans charme particulier, un Flume Ride assez banal, des luges à roulettes qui manquent un peu de peps et puis basta. Au final, Plopsa Coo n’est pas un parc désagréable, mais ça manque quand même d’un ou deux trucs supplémentaires pour justifier les 18€ du bracelet illimité (que l’on n’a d’ailleurs pas pris). D’ici l’été va ouvrir un Star Flyer, après ça serait pas mal qu’ils rajoutent encore quelques attractions assez rapidement parce que, vu le cadre, y a vraiment moyen de faire un très joli petit parc ! Et voilà, après cela, c’est déjà le moment de nous dire au revoir. Tandis que Scherzie et Katharina rentrent vers l’Allemagne et la Suisse, Matthieu et moi on prend le TGV (sans le G, ni le V d’ailleurs) direction Paris. Nous attend une grosse semaine de boulot : trois jours ! Dur dur le mois de mai et ses ponts à répétition… Et après ces trois jours, ben on repart, direction l’Italie ! Ah oui mais ça c’est une autre histoire, ce sera pour la prochaine fois ! |